samedi 31 juillet 2010
Journal
Accélération laser-plasma - Wikipédia
vendredi 30 juillet 2010
mercredi 28 juillet 2010
Stimulation extérieure électromagnétique
Une stimulation extérieure au cerveau, avec des signaux électromagnétiques, peut entraîner le cerveau ou le bloquer en phase avec un générateur de signaux externes. Une stimulation extérieure peut conduire ou pousser des ondes cérébrales dominantes dans de nouvelles bandes de fréquences. En d’autres termes, le programmateur de signaux externes ou générateur d’impulsions peut imposer son propre rythme au cerveau d’une personne : les fréquences normales sont alors altérées artificiellement et les ondes cérébrales s’adaptent à la nouvelle bande de fréquences.
La chimie cérébrale subit à son tour des changements, ce qui modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la condition physique en sont altérées. Le comportement humain est fonction de sa programmation. La manipulation mentale peut-être soit bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet.
Les différentes fréquences, en combinaison avec des formes d’ondes spécifiques, déclenchent des réactions chimiques très particulières dans le cerveau. La libération de ces neurochimiques entraîne des réactions spécifiques dans le cerveau, qui se traduisent par des sentiments de peur, de désirs, de dépression, d’amour, etc. L’éventail complet des réactions émotionnelles et intellectuelles est le résultat de combinaisons neurochimiques très spécifiques des neurotransmetteurs, qui sont sécrétés lors d’impulsions électriques de fréquences spécifiques. Des mélanges précis de ces sécrétions cérébrales peuvent induire des états mentaux très particuliers, comme la peur du noir, ou une concentration intense [224]. Les travaux dans ce domaine avancent à une vitesse fulgurante et on découvre régulièrement de nouvelles choses. Plus nous en saurons sur ces fréquences cérébrales spécifiques, plus nous avancerons dans notre compréhension de l’organisme humain et de son bon fonctionnement. Des radiations de fréquences hertziennes, qui se comportent comme un conducteur sans fil de fréquences extrêmement basses (ELF), peuvent être utilisées pour télécommander les ondes cérébrales. C’est ce que le HAARP pourrait faire dans certaines de ses applications. Toutefois, on ne parle pas des effets secondaires de ce procédé sur l’homme dans les documents de HAARP, mais ils sont mentionnés dans ceux du gouvernement, que nous avons épluchés avant d’écrire ce livre.
M. Light, un chercheur et directeur de Biomedical Instruments, Inc. , un organisme qui commercialise des appareils électro-médicaux utilisés pour le contrôle ou la manipulation de l’activité cérébrale, est souvent cité dans le dernier livre de Hutchison [225]. Le niveau de puissance électrique nécessaire pour effectuer une mesure de contrôle de l’activité cérébrale est très faible (de l’ordre de 5 à 200 microampères) ce qui est des milliers de fois plus faible que la puissance nécessaire pour allumer une ampoule de 60 watts. Il s’agit ici de besoins en énergie très très faibles. L’astuce pour influencer l’activité cérébrale se trouve dans la juste combinaison de la fréquence, du degré de puissance et de la forme d’onde. Ce qui a été réalisé dans ce domaine, au cours des vingt dernières années et, plus particulièrement au cours de ces toutes dernières années, représente un énorme pas en avant.
Les recherches, menées sur le plan international, ont montré que le cerveau peut facilement être excité ou amené à changer d’état de conscience, sous l’influence de champs électromagnétiques externes. Ces nouveaux outils ont fourni de nouveaux moyens aux scientifiques comme aux profanes. Ces moyens sont des appareils électriques de stimulation crânienne, des systèmes sonores, des systèmes à impulsion lumineuse et tout un ensemble varié d’appareils pour l’entraînement du cerveau et le feedback. Les avancées technologiques ont été intégrées dans des systèmes spéciaux de contrôle et de commande, qui permettent aux gens d’apprendre à contrôler et à modifier leur propre activité cérébrale et à obtenir des résultats bénéfiques. Dans les documents, on parle, entre autres, de relaxation, de la maîtrise de la douleur, d’apprentissage accéléré et d’amélioration de la mémoire [226], [227], [228].
Les travaux les plus récents de Hutchison donnent les meilleures descriptions que l’on puisse trouver sur ces techniques destinées à influencer le cerveau. Son dernier livre Mega Brain Power (« Megabrain ») propose au lecteur une mise à jour sur les évolutions dans ce domaine; les développements vont tellement vite, que les applications de cette science galopante n’arrivent plus à suivre. Partant de là, il publie, depuis quelques années, une Newsletter, un bulletin d’informations sur les découvertes les plus récentes. Des publications récentes 229 parlent de technologies capables, entre autres, de guérir des dysfonctionnements du système nerveux, de corriger un déficit de la concentration et les dysfonctionnements dus à l’hyperactivité chez les enfants, de résoudre des problèmes de dépendances aux drogues et à l’alcool. Ce type d’électro-médecine devient un des domaines de recherche médicale les plus passionnants.
Ces dernières années, les scientifiques ont développé des applications médicales et psychologiques et ils ont obtenus des résultats très encourageants. Certains de ces résultats ont éveillé l’intérêt de l’armée de l’air, ainsi que vous le verrez au chapitre suivant. Malheureusement, la recherche militaire continue de considérer ces technologies comme des systèmes d’armement, au lieu d’outils pouvant servir à l’évolution de l’homme.
Un des inventeurs les plus doués d’Amérique, le Dr Patrick Flanagan, prédisait déjà en 1962 une évolution dans la médecine : Je crois qu’un jour l’ensemble des pratiques médicales sera transformé par l’électronique. Les gens auront des traitements électroniques et non plus médicamenteux [230].
Remarque personnelle : ceci n'est pas sans évoquer " La machine de Prioré "
A l’époque, le Dr Flanagan venait d’être reconnu comme l’inventeur de ce qui est toujours l’outil le plus pointu au monde pour influer sur l’activité cérébrale par stimulation électromagnétique et pouvant aussi fonctionner comme interface entre l’homme et l’ordinateur, le Neurophone.
Flanagan a dit, lors d’une récente interview, que HAARP pouvait être non seulement le « réchauffeur ionosphérique » le plus puissant au monde, mais aussi l’appareil le plus puissant jamais conçu pour la manipulation du cerveau. Selon les documents, lorsque HAARP sera pleinement opérationnel, il sera en mesure d’envoyer des ondes ELF et VLF utilisant de nombreuses formes d’ondes à des niveaux d’énergie suffisants pour influer sur le fonctionnement cérébral de l’ensemble de la population d’une région.
Les planificateurs de HAARP n’ont jamais mentionné les recherches de Flanagan, bien que l’Armée de l’air et la Marine aient travaillé dans ce domaine depuis le début des années 60 . Mais comme ils appliquent le cloisonnement et le principe du strict minimum, dont nous avons déjà parlé dans ce livre, il est fort probable que la plupart, sinon tous ceux qui sont impliqués dans la construction et la programmation du projet HAARP dans cette première phase, ne savent rien des possibilités d’utilisation dans le domaine neuroélectrique.
Le Dr Robert O. Becker fit une expérience au début des années 60 avec les ELF (fréquences extrêmement basses) en utilisant un courant continu (CC) pour transporter le signal ELF. En d’autres termes, le signal ELF circulait comme un passager dans un bus : il conservait ses propres caractéristiques, tout en étant porté vers sa destination spécifique. Le Dr Becker a testé ce concept sur des hommes, en utilisant un signal ELF de 1-10Hertz (cycles ou impulsions par seconde). Il en résulta que certaines de ces personnes-cobayes accusèrent une perte de capacité de leur conscience. Les faibles ondes ELF seules ne montraient aucun effet et le CC seul avait un effet très faible. Au dessus de 10Hertz et en association avec le CC, les effets retombaient progressivement jusqu’à atteindre le niveau atteint par le CC seul 231 . Ceci prouve qu’avec des ondes ELF (ces fréquences ont de grandes affinités avec les ondes cérébrales humaines) on peut faire des manipulations externes des processus cérébraux et obtenir de très bons résultats.
( source : rgxm.com )
Modification de l’électro-encéphalogramme
Richard Gautier, Docteur en Pharmacie et co-auteur de Votre GSM, votre Santé : On vous ment. 100 pages pour rétablir la vérité[5], a répertorié pas moins de trente-deux expériences publiées entre 1995 et 2003 montrant une modification notable de l’EEG de sujets humains exposés pendant une courte durée (de quelques minutes à une nuit) à des micro-ondes pulsées en extrêmement basses fréquences. " Une expérimentation de longue durée est actuellement en cours à l’échelle planétaire, dont nous sommes tous les cobayes. Ses conclusions scientifiques ne seront tirées que dans plusieurs dizaines d’années, " commente-t-il. Non seulement nous en sommes les cobayes, mais en plus, nous la finançons en achetant des téléphones, des abonnements, des cartes...
En laboratoire, des études portant sur des expositions chroniques ont été effectuées sur l’animal. Une publication soviétique de 1986, antérieure au déploiement de la téléphonie mobile et portant sur des chats exposés à 2.375 mégahertz (MHz), mettait en évidence une synchronisation de l’activité bioélectrique cérébrale à 6-10 Hz et 12-16 Hz, à la puissance de 500 microwatts par centimètres carrés (µW/cm2)[6].
En clair, l’EEG des chats se calquait sur les fréquences auxquelles ils étaient exposés. De quoi donner des frissons quand on sait quelles basses fréquences sont émises par les portables GSM européens (voir plus loin). De quoi donner encore plus de frissons quand on sait que les puissances limites fixées en 1998 par la recommandation internationale[7], cinq ans après le lancement des premiers portables en France, sont deux fois supérieures pour le 1.800 MHz (900 µW/cm2) et à peine inférieures en 900 MHz (450 µW/cm2). Tous les portables sont désormais bi-bandes et peuvent utiliser ces deux fréquences.
Parmi les autres effets comportementaux préoccupants rapportés chez le rat, citons la diminution d’activité locomotrice et l’amoindrissement des réflexes de défense après quatre mois d’exposition à raison de douze heures par jour (fréquences combinées 9.375 et 1.765 MHz, puissance 375 µW/cm2)[8].
L’augmentation de l’enzyme qui dégrade l’acétylcholine (un neurotransmetteur cérébral impliqué dans la mémoire, l’attention, la vigilance et le potentiel d’action, c’est-à-dire le mouvement) a été rapportée en 1994 sous l’effet d’ondes pulsés à 16 Hz[9]. Cette augmentation entraîne la diminution de l’acétylcholine disponible dans l’espace inter-synaptique (entre les neurones).
Pour comprendre la signification concrète de cet effet biologique, il faut savoir qu’un déficit en acétylcholine a été constaté par autopsie chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer[10], une pathologie dont les signes cliniques sont désormais bien connus : confusion mentale avec perte progressive et irréversible de toutes les facultés cérébrales : mémoire, apprentissage, orientation spatiale, etc.).
( source : rgxm.com )
lundi 26 juillet 2010
Modulateur acousto-optique - Wikipédia -
Un modulateur acousto-optique (MAO), appelé également cellule de Bragg, utilise l’effet acousto-optique pour diffracter et changer la fréquence de la lumière par ondes sonores (généralement proche des fréquences radio). Il est utilisé dans les lasers pour la commutation-Q, en télécommunication pour effectuer de la modulation de signal, et en spectroscopie pour du contrôle de fréquence. Un oscillateur piézo-électrique est relié à un matériau, par exemple du verre. Un signal électrique oscillant force la cellule piézo-électrique à vibrer, ce qui crée des ondes sonores dans le verre. Ceci peut être imaginé comme des plans de dilation et de compression, se déplaçant périodiquement, et venant changer l’indice de réfraction. La lumière entrante est dispersée (voir dispersion de Brillouin) en dehors de la modulation périodique de l’indice résultante, et une interférence a lieu, similaire à celle créée lors d’une diffraction de Bragg. L’interaction peut être pensée comme le mélange de quatre ondes entre phonons et photons. Les propriétés de la lumière sortant du MAO peuvent être contrôlées suivant cinq paramètres :
- 1. Déflection
- Un rayon diffracté ressort avec un angle θ qui dépend du rapport de la longueur d’onde de la lumière λ sur la longueur d’onde du son Λ.
- Avec m = …-2,-1,0,1,2,… l’ordre de diffraction. La diffraction à modulation sinusoïdale dans un petit cristal entraîne les ordres de diffraction m = -1,0,1. Des diffractions en cascade à travers des cristaux d’épaisseur moyenne créent des ordres de diffraction supérieurs. Dans des cristaux épais, à faible modulation, seuls les ordres de fréquence correspondante sont diffractés : on l’appelle alors diffraction de Bragg. La déflection angulaire varie de 1 à 5000 fois la largeur du rayon (le nombre de points de résolution). Par conséquent, la déflection est généralement limitée à quelques dixièmes de milliradians.
- 2. Intensité
- La quantité de lumière diffractée par l’onde sonore dépend de l’intensité du son. Par conséquent, l’intensité du son peut être utilisée pour moduler l’intensité de la lumière dans le rayon diffracté. Typiquement, l’intensité qui est diffracté pour un ordre m = 0 peut varier entre 15 et 99% de l’intensité lumineuse d’entrée. De même, l’intensité pour un ordre m = 1 peut varier entre 0 et 80%.
- 3. Fréquence
- La différence avec la diffraction de Bragg est que la lumière est diffusée à partir de plans mobiles. Cela entraîne que la fréquence d’un rayon diffractée f à l’ordre m doit être corrigée par une quantité proportionnelle à la fréquence de l’onde sonore F (effet Doppler).
- Ce changement de fréquence est nécessaire comme l’exige la loi de la conservation de l’énergie et de la quantité de mouvement (pour les photons et les phonons) pendant le processus. Les valeurs traditionnelles de changement de fréquence peuvent varier entre la dizaine de MHz et 1.5 GHz. Dans certains MAO, deux ondes acoustiques voyagent dans des directions opposées au sein du matériau, formant une onde stationnaire. La diffraction à partir de l’onde stationnaire ne change pas la fréquence de la lumière diffractée.
- 4. Phase
- La phase du rayon diffracté va être elle aussi modifiée par la phase de l’onde sonore. La phase peut être changée d'une valeur arbitraire.
- 5. Polarisation
- Les ondes acoustiques transversales colinéaires ou les ondes longitudinales perpendiculaires peuvent changer de polarisation. Les ondes acoustiques induisent un changement de phase biréfringent, de la même manière que dans une cellule de Pockels. Les filtres acousto-optiques variables, en particulier le « dazzler » qui peut générer des formes de pulsation variables, sont basés sur ce principe.
Les modulateurs acousto-optiques sont plus rapides que leurs homologues mécaniques, comme les miroirs basculants. Le temps que prend un MAO pour modifier le rayon sortant est limité par le temps de transit de l’onde sonore à travers le rayon (généralement compris entre 5 et 100 nanosecondes). C’est suffisamment rapide pour autoriser le verrouillage de mode actif dans un laser ultra-rapide. Quand un contrôle plus rapide est nécessaire, on utilise alors des modulateurs électro-optiques. Il faut cependant les alimenter avec des fortes tensions (de l’ordre de 10 kilovolts), alors que les MAO offrent une plage de déflection plus grande, sont d’une conception simple, et consomment peu de puissance (inférieur à 3 watts).
dimanche 25 juillet 2010
Effets du rayonnement

Le 25/07/2010 , 13 heures 42 .
Effets du rayonnement " ce jour " :
- L'intensité des radiations est de plus en plus forte ,
- 11,6 Volts de crête à crête à la fréquence de 50 Hz ( tension induit dans le corps , graphique ci-dessus )
- Mal au yeux ( pression oculaire très forte )
- Maux de tête
- Sensation vibratoire intense
- Diminution des forces
- grande fatigue
- Harcèlement
- Stimulation induite sur la peau du visage ( petits impacts )
samedi 24 juillet 2010
Radar monopulse - Wikipédia -
Les radars monopulse ressemblent aux radars à balayage conique mais intègrent une sophistication supplémentaire. Au lieu d'émettre le signal tel quel à la sortie de l'antenne, le faisceau est divisé en plusieurs lobes (deux le plus souvent) chacun dirigé dans une direction légèrement différente tout en gardant un certain recouvrement. Ensuite, les signaux réfléchis sont reçus, amplifiés et traités séparément puis comparés les uns aux autres. On détermine ainsi le signal reçu le plus puissant et, partant, la direction de la cible. Étant donné que la comparaison se fait sur des signaux émis pendant le même train, généralement quelques microsecondes, on s'affranchit des changements de position ou de direction de la cible.
Mais pour pouvoir comparer les lobes efficacement, il faut que chacun soit bien repéré. Pour cela, à l'émission, on divise le faisceau généralement en deux et chaque lobe est polarisé de façon différente. Ces lobes sont mis en rotation, comme pour un radar à balayage conique classique. À la réception, les signaux sont à nouveau séparés grâce à la polarisation et un des signaux est inversé en puissance, ensuite les deux sont additionnés. Si la cible est située d'un côté de l'axe optique de l'antenne, la somme résultante sera positive, et de l'autre côté, elle sera négative.
Si les lobes sont suffisamment proches, ce système peut donner un très bon niveau de précision concernant la direction, en plus de la précision normale du système à balayage conique. Là où les radars classiques affichent une erreur de l'ordre de 0,1 degré, les radars monopulse sont dix fois plus pointus, et les modèles les plus sophistiqués comme le AN/FPS-16[3] permettent des précisions de 0,006 degré ; ceci représente une approximation de 10 m pour une portée de 100 km.
La résistance au brouillage est bien meilleure qu'avec les systèmes à balayage conique. On insère des filtres qui suppriment les signaux qui ne sont pas polarisés ou qui ne sont polarisés que dans une seule direction. Un bon système de brouillage devrait donc reproduire à la fois la polarisation et la fréquence de rotation. Comme un avion ne se trouve à un temps t que dans un seul lobe, il est très difficile de déterminer la polarisation du signal. Pour brouiller ces radars, les stations de contre-mesure — plutôt que d'essayer de produire de faux échos — se contentent d'émettre un signal puissant à large spectre pour simplement « aveugler » le radar
La force du signal atteindra son maximum lorsque l'antenne sera exactement pointée dans la direction de la cible ; en maintenant l'antenne dirigée pour un retour maximum on pourra faire une poursuite automatique de la cible.Il est précisé que le faisceau d'un radar monopulse est divisé en deux lobes rotatifs . A l'émission le faisceau est divisé en deux et chaque lobe est polarisé de façon différente .
Or , l'appareil de mesure détecte continuellement l'émission de deux trains d'ondes électromagnétiques rotatifs , polarisé de façon différente .
C'est donc , vraisemblablement un dispositif de type radar monopulse .
vendredi 23 juillet 2010
Journal
Ce que je subis du rayonnement à énergie dirigée aujourd'hui :
Ce matin , en me réveillant , j'ai ressenti une pression énorme sur le dos , pendant 1 heure environ , en ce moment je ressens une douleur forte dans le bas du ventre du coté gauche et de la fatigue .
Sensation vibratoire intense , mes chevilles et mes pieds enflent .
Harcèlement
LES SONS
des infrasons et des ultrasons dont les fréquences sont respectivement ....c'est le champ de pression atmosphérique qui subit des variations. ....
Détection et analyse des infra-sons se propageant dans l'air



Les infra-sons comprennent , toutes variations de pression lentes , depuis l'état statique jusqu'aux variations qui provoquent une sensation auditive . La limite des fréquences audibles d'un individu normal étant située aux environs de 16 Hz .
Les micro-ondes produisent des fréquences très élevées, les ultrasons, mais
engendrent aussi des battements à basse fréquence .
jeudi 22 juillet 2010
Technique acoustique picoseconde - Wikipédia
Journal
A l'évidence , la première chose est de relever toutes les mesures concernant : les infrasons , sons , ultrasons , hypersons ( micro-ondes ) , les analyser pour en extraire l'information et établir ainsi le harcèlement physique et moral .
La deuxième chose , c'est d'inscrire à la suite , toutes les preuves vidéos des faits matériels qui se sont produit et qui se produisent encore , tels que : intrusion d'un faisceau optique et d'un plasma dans le logement et dans la voiture , etc. . Apporter une explication cohérente des phénomènes observés et la probabilité de la source .
Ensuite , mettre en demeure les responsables politiques ( Président de la République , Premier Ministre et Ministre de l'Intérieur ) de prendre les mesures appropriées pour que cesse les agressions électroniques et acoustiques , et éventuellement saisir le tribunal compétant pour faire valoir ses droits .
mercredi 21 juillet 2010
Journal
Journal
Capture d'impulsions électromagnétiques dans le logement



Une impulsion eléctromagnétique est l'envoi instantanée d'une quantité très importante d'énergie.
Or dans l'espace des phases, une impulsion très breve est constituée de TOUTES les longueur d'ondes possibles: une impulsion de Dirac a un spectre de largeur infinie, de la même façon que la lumière blanche comprend TOUTES les impulsions.
Donc une impulsion éléctromagnétique est composée de longueur d'ondes inférieures et supérieures à celles d'une micro-onde harmonique.
mardi 20 juillet 2010
Journal
Avec des infrasons et des pulsations sonores , ils stimulent le système auditif (effet de résonance ) et provoquent le phénomène des " battements binauraux "
Avec la pression de radiation des hyperfréquences , ils provoquent des pressions énormes sur les mécanorécepteurs cutanés , je ressens à ce moment là , des douleurs physiques et un mal-être intense ( les mécanorécepteurs cutanés sont situés dans la peau , plus la pression de radiation est forte , plus la douleur est intense ) et propagent sans cesse un courant induit dans le corps .
La synthèse vocale
La synthèse vocale
La voix
On considère que la voix humaine est le résultat d'une modification continuelle par le conduit vocal du signal émis par trois types de sources sonores:
- une source voisée, qui correspond à la vibration des cordes vocales et se présente sous la forme d'un signal quasi-périodique,
- une source fricative, qui correspond aux turbulences engendrées par les rétrécissements en certains points du conduit buccal (lèvres, langue-palais, glotte), et
- une source plosive qui correspond au bruit d'explosion engendré par la fermeture puis l'ouverture brusque du conduit buccal avec les lèvres ou la langue.
On peut modéliser la production de voix chantée par un modèle de synthèse sonore du type excitateur-résonateur:
- l'excitateur correspond aux cordes vocales et définit le timbre de la voix; il est modélisé par une impulsion ou un arc.
- le résonateur correspond au conduit vocal et définit la voyelle chantée; il est modélisé par un jeu de filtres en parallèle pour constituer une enveloppe spectrale comprenant des formants.
Sur la figure ci-dessus, on peut observer le spectre de l'onde émise par les cordes vocales avant et après filtrage par le conduit vocal.
Les formants
Un formant est un « pic » d’amplitude dans le spectre d’un son composé de fréquences harmoniques, inharmoniques et/ou du bruit. Ci-contre est représenté un formant centré sur la fréquence 1 kHz.
Les pics formantiques sont caractéristiques des sons vocaux voisés (voyelles chantées, parlées ou murmurées) et de plusieurs instruments de musique.
Une voyelle est produite en imposant une position particulière aux différents articulateurs (lèvres, langue, ...). Le conduit vocal présente des fréquences de résonance, ce qui se manifeste dans le spectre en l'apparition de pics formantiques.
La position des formants est indépendante de la hauteur (fréquence fondamentale) et est caractéristique d'une voyelle particulière, comme l'illustre la figure ci-contre donnant le spectre de trois sons voisés ("I", "A", "OU").
Mais il faut aussi préciser que la position des formants pour une même voyelle peut différer d'un locuteur (ou chanteur) à l'autre. La figure ci-dessous donne l'enveloppe spectrale de la voyelle "a" chantée par une chanteuse soprano à gauche et par un chanteur à tessiture basse à droite. On peut en effet remarquer que les enveloppes spectrales différent, surtout dans les plus hautes fréquences, alors que la voyelle chantée est la même.
Les analyses spectrales rapportent aussi que de quatre à cinq formants importants sont présents dans tous les spectres de voix.
Il est donc possible de simuler un timbre de voix chantée si on peut générer ces zones formantiques. Nous étudierons la méthode FOF (Forme d’Onde Formantique) développée à l’Ircam dans les années 80.
Le manuel Csound comprend une annexe donnant les valeurs des paramètres des formants (fréquence centrale, amplitude et largeur de bande) pour différentes voyelles et différentes tessitures de voix. Ce tableau se trouve également sur la page Web suivante: Formants Values.
Les transitions de formants des consonnes plosives
Considérons maintenant les consonnes plosives (ou occlusives). Les consonnes plosives sourdes (non voisées) sont : /p/, /t/ et /k/. Les consonnes plosives sonores (voisées) sont: /b/, /d/ et /g/.
La figure ci-contre représente le spectrogramme simplifié pour les syllabes /di/ et /du/. On remarque les transitions de formants au moment où la consonne plosive dentale /d/ est prononcée. La trajectoire du premier formant est montante. C'est aussi le cas pour les consonnes plosives voisées labiale /b/ et gutturale /g/.
Dans le cas de la syllabe /di/, la trajectoire du second formant est montante, approximativement de 2200 à 2600 Hz.
Dans le cas de la syllabe /du/, la trajectoire du second formant est descendante, approximativement de 1200 à 700 Hz.
On comprend donc que le spectre d'une consonne dépend du contexte. En réalité, la transition de formant fournit à tout instant de l'information sur les deux phonèmes constituant la syllabe (la consonne et la voyelle).
La figure suivante illustre les transitions de formant caractéristiques pour les syllabes /ba/, /da/ et /ga/ ainsi que des sons intermédiaires.
Cette démonstration permet d'illustrer la perception catégorielle des sons de la parole. En effet, la transition entre /ba/ et /da/ et la transition entre /da/ et /ga/ apparaissent brusquement. On ne perçoit pas de consonne intermédiaire. Par contre, si on isole le deuxième formant, les sons entendus ne sont plus perçus comme des sons vocaux et toutes les transitions intermédiaires sont entendues distinctement.
En pratique, pour synthétiser un /b/, peu importe la voyelle ou presque, il suffit de partir de la fréquence du formant divisée par deux, et de parcourir le chemin avec une enveloppe exponentielle, en environ 100 ms.
Le tableau ci-dessous donne la représentation spectrographique schématique de transitions voyelle-consonne-voyelle.
Pour en savoir plus sur la phonétique, consultez par exemple le site web du Laboratoire de Phonétique et Phonologie de l'Université Laval à Québec. Sur ce site, la page intitulée "Identification des sons du français" comprend notamment des tableaux donnant les caractéristiques acoustiques des différents phonèmes du français.
La synthèse à forme d’onde formantique (FOF)
La synthèse à forme d'onde formantique est à la base du système de synthèse sonore CHANT développé à l'IRCAM. Cette technique a été implantée dans les synthétiseurs 4X (1980) et dans Csound en 1990 par J. M. Clarke.
CHANT a été conçu pour modéliser une classe large de mécanismes naturels qui résonnent quand ils sont excités, et qui sont atténués par des forces physiques (de friction par exemple).
La méthode FOF part des méthodes de synthèse à formants basée sur une approche soustractive traditionnelle. En synthèse soustractive, une source à spectre large (comme un train d'impulsions ou un signal de bruit) est envoyé au travers d'un filtre complexe qui en modifie le contenu spectral pour faire apparaître des formants.
Xavier Rodet (Ircam) a montré que les filtres complexes utilisés en synthèse soustractive peuvent être décomposés en un ensemble équivalent de filtres passe-bande en parallèle excités par des impulsions.
Comme les FOFs ont une nature duale, une implantation alternative consiste à remplacer les filtres par une banque de générateurs d'ondes sinusoïdales amorties. Le signal temporel et le spectre de ces générateurs sont équivalents à ceux générés par des filtres passe-bande excités par des impulsions, comme illustré sur la figure ci-dessous (Rappel : la réponse en fréquence d'un filtre est la transformée de Fourier de sa réponse impulsionnelle).
Le signal produit par un générateur FOF est appelé grain formantique ou grain FOF.
D'après Rodet, remplacer les filtres par des générateurs offre plusieurs avantages : les générateurs sinusoïdaux sont efficaces et requièrent moins de précision numérique que les filtres correspondants. De plus, les grains formantiques peuvent être progressivement changés en sinusoïdes (contrôlables en amplitude et en fréquence) permettant une transition continue entre de la synthèse FOF et de la synthèse additive.
On peut facilement valider ce concept de grain formantique en se tapant sur la joue avec un doigt, ce qui a pour effet de faire résonner la cavité buccale. Cette impulsion produit un "pop". À la manière des cordes vocales qui génèrent une série d'impulsions rapides pour exciter les résonances du conduit vocal d'une manière continue (résultant en un son à hauteur déterminée), la synthèse FOF produit des grains de son au rythme de la fréquence fondamentale désirée, ces grains étant "colorés" spectralement, de manière à reproduire les résonances formantiques.
Anatomie et paramètres d'un grain FOF
Un générateur FOF produit un grain de son à chaque période fondamentale. À 440 Hz par exemple, 440 grains sont produits par seconde. Chaque note contient donc un grand nombre de grains. Puisque la durée de chacun de ces grains est indépendante de la fréquence fondamentale, plusieurs grains pourront se superposer. Ceci implique que les FOFs à fréquence élevée sont plus onéreux à générer.
Un grain formantique est constitué d'une onde sinusoïdale amortie, d'une durée fixe, avec une attaque plus ou moins raide et une atténuation quasi-exponentielle. L'enveloppe temporelle d'un grain FOF est appelée l'enveloppe locale, en opposition à l'enveloppe globale de la note.
Le spectre d'une sinusoïde amortie est équivalent à la réponse en fréquence d'un filtre passe-bande. Le résultat de la somme de plusieurs générateurs FOF est donc un signal dont le spectre comprend plusieurs formants.
Chaque générateur FOF est contrôlé par un certain nombre de paramètres, incluant la fréquence fondamentale et l'amplitude. La figure suivante illustre les quatre paramètres de formant principaux, dans le domaine temporel à gauche (a) et dans le domaine fréquentiel à droite (b).
- x1 est la fréquence centrale du formant,
- x2 est la largeur de bande du formant, définie comme la largeur de bande entre les points à -6 dB par rapport à la crête du formant,
- x3 est l'amplitude du formant,
- x4 est la largeur de jupe du formant qui se situe à -40 dB par rapport à la crête du formant.
Les liens entre domaine temporel et domaine fréquentiel se manifestent dans la manière dont les paramètres FOF sont spécifiés. En effet, deux paramètres du formant (x4 et x2) sont spécifiés dans le domaine temporel.
- x4 est spécifié en secondes pour la durée de l'attaque. Si l'attaque s'allonge, la jupe du formant se rétrécit.
- x2 est également spécifié en secondes pour la durée de l'atténuation du grain FOF. Une longue atténuation se traduit en un pic de résonance étroit .
Le signal audio
I. L’enveloppe : L’enveloppe du son est son évolution dans le temps. On découpe cette évolution en quatre parties :
Les quatre parties sont : Attaque - Decay - Sustain - Release :
Attaque = c’est l’apparition de la note.
Decay = formation de la note
Sustain = Tenue de la note
Release = disparition de la note
II. Bande Passante :
La bande passante est une bande de fréquence comprise entre deux valeurs extrêmes. L’exemple le plus connu est la bande passante de l’oreille humaine qui est 20 Hz - 20 000Hz. Ce sont les deux valeurs extrêmes des fréquences que l’on peut entendre.
Dans le cadre de la puissance acoustique, traduisez volume du son, on parle de dB SPL (Sound Presure Level) l’unité de référence est le 0 Db SPL qui correspond à 2.10-5 Pa. Cette valeur correspond en théorie au plus petit son que l’on peut entendre.
IV. Dynamique : La dynamique s’exprime souvent en dB SPL, c’est la différence entre le niveau le plus fort et le bruit de fond. Par exemple : l’oreille humaine a une dynamique de 120 dB SPL. Le son le plus petit que l’on peut entendre est 0 dB SPL et au delà de 130 dB SPL le son est douloureux et dangereux.
V. Phase et opposition de phase :
Pour pouvoir parler de phase et opposition de phase il faut plusieurs signaux de même fréquence. En effet, ces termes servent à comparer la position d’un signal par rapport à un autre.
Deux signaux dits en phase , sont deux signaux dont les crêtes correspondent d’un point de vue spatial. Le mouvement de l’air est alors accentué par ces deux mouvements vibratoires donnant la même impulsion. Deux signaux en phase donnent au final un même signal audio augmenté de trois dB dans le cas où ils était tous les deux au même niveau. Dans tous les cas, deux signaux en phase (donc de même fréquence) donnent un signal de pression acoustique plus fort.
Ce n’est pas la même chose quand ces deux signaux se retrouvent en opposition de phase. On entend par là que la crête positive est au même endroit que la crête négative. Ces signaux transmettent à l’air (ou au milieu de propagation étudié) des mouvements vibratoires radicalement opposés. Dans le cas où ces signaux sont au même niveau sonore il en résulte une perte de signal.
( source : site internet )
samedi 17 juillet 2010
Les armes acoustiques, qui utilisent des sons audibles, des infrasons ou des ultrasons
130 dB à 4 mètres10. Une personne exposée très longtemps à des niveaux de 80 dB peut subir des dommages auditifs, et en cas d’exposition même très brève à des niveaux de 120 dB ou plus,l’individu risque de perdre l’ouïe11. En plus des douleurs, certains engins HIDA peuvent provoquer des effets secondaires tels que la perte d’équilibre, des nausées ou des migraines12. Le prototype d’un système portatif basé sur la même technologie, le directed stick radiator, a fait l’objet d’une démonstration. Il projette pendant une ou deux secondes des « balles sonores » de forte intensité, autrement dit des impulsions de sons comprises entre 125 et 150 dB. Une telle arme, une fois au point, aurait la capacité de faire tomber une personne. Les armes qui utilisent les fréquences infrasonores pourraient provoquer nausées, désorientation et spasmes intestinaux. Un engin est en train d’être mis au point capable de générer des ondes de choc dans les basses fréquences qui résonnent sur les organes corporels et peuvent entraîner des dommages physiques. Les Marines ont fait l’acquisition du LRAD pour l’utiliser en Iraq13 et des engins acoustiques auraient été utilisés en Afghanistan14. La police de New York a acheté deux unités juste avant la Convention républicaine en 2004 dans la ville. Certains analystes ont exprimé des inquiétudes : « les États-Unis font une grave erreur en essayant de déployer discrètement une nouvelle arme douloureuse sans exposer auparavant toutes les questions que cela soulève aux niveaux légal, politique et des droits de l’homme »15.
( source : forum du désarmement )
Infrason - Wikipédia -
Un infrason (ou infra-grave) est un son dont la fréquence est inférieure à 20 Hz. Il est donc trop grave pour être perçu par l'oreille humaine (sa fréquence est trop basse
Ressenti [modifier]
Le spectre d'audition humain va d'environ 20 à 20 000 Hz. Au-delà de 20 kHz, nous n'entendons plus rien, de même en dessous de 20 Hz, du moins, avec notre oreille. En effet, si nous n'entendons pas les sons en dessous de 20 Hz, nous pouvons les ressentir, en particulier par notre cage thoracique. Les infrasons sont surtout présents, à niveau de pression sonore suffisant pour être perçu, en musique électronique, dans les bandes sonores de films et sur certains enregistrements avec de l'orgue . À noter qu'il est également possible de retrouver des traces d'infrasons dans beaucoup d'enregistrements communs ainsi que de sonorités naturelles (non issues de reproduction) mais à un niveau de pression trop bas pour être capté par l'humain.
Les infrasons donnent aussi rapidement une atmosphère prenante lorsque le niveau de pression est suffisant. La première moitié de la première octave perçue par l'humain, 20-30 Hz, est à la frontière entre l'infrason et le sous-grave et est caractéristique d'une impression à la fois auditive et physique qui donne cette sensation de présence et de poids. C'est pourquoi ils sont très souvent utilisés dans les films et les séries d'actions et restitués par le subwoofer (et par corollaire dans l'aide au développement de systèmes ambiophoniques).
La tolérance en pression sonore (décibel) de l'humain est plus élevée avec le sous-grave et l'infra-grave qu'avec les fréquences plus hautes. Un niveau de 130 dB en hautes fréquences sera probablement très difficile à supporter, alors qu'un niveau de 130 dB à des fréquences en dessous de 40 Hz sera tolérable, et même parfois insuffisant pour les amateurs de systèmes audio pour automobile.
Système de reproduction [modifier]
La recherche de reproduction d'infra-grave étant beaucoup plus marginale que la reproduction de sous-grave, les solutions proposées par le commerce sont très rares. La plupart des amateurs avertis se tournent vers des solutions sur mesure, requérant des caissons renforcés très volumineux, des transducteurs spécialisés et une réserve en amplification de puissance dépassant souvent le kilowatt.
Moins un subwoofer sera efficace dans sa fonction, moins il sera en mesure de restituer le sous-grave à une pression sonore suffisamment élevée. L'infra-grave étant encore plus difficile à reproduire pour un transducteur (subwoofer) que le déjà très demandant sous-grave, le risque d'atteindre la limite mécanique (Xmax), surtout, et parfois thermique du transducteur est énorme. Provoquant souvent des bris de l'équipement s'il n'est pas protégé par un filtre contre les infrasons (subsonic filter). Certains amateurs de cinéma-maison recherchent des performances de haut niveau en visant une reproduction des infrasons à des fréquences aussi basses que 10 Hz à +/- 3 décibels par rapport au reste du spectre. Ce qui demande des transducteurs spécialisés dans les forts déplacements d'air (jusqu'à 8 litres par poussée, voire plus) et ayant une construction très robuste pouvant éviter d'être limité mécaniquement. Le diamètre d'un transducteur ou la grosseur de son aimant n'est pas du tout une garantie de capacité de bonne reproduction de sous-grave et des infrasons; la conception d'un transducteur de grave est très différente de celle d'un transducteur de sous-grave, en particulier lorsque ce dernier doit reproduire aussi l'infra-grave. Pour la sonorisation professionnelle (spectacle, disco, événement extérieure, etc..) il n'est à peu près jamais question d'infra-grave et même rarement de la première octave (20-40 Hz) dans le sous-grave parce que trop difficile, coûteux et laborieux à reproduire à un niveau de pression sonore suffisant.
Les infrasons sont moins connus que les ultrasons car ils sont moins utilisés, plus rares et plus difficiles à produire.
Ses effets [modifier]
Le sous-grave et l'infra-grave ont la capacité de traverser les obstacles plus facilement que les hautes fréquences, qui elles, sont vulnérables aux réflexions. Ce qui se traduit souvent par une très longue portée de l'énergie acoustique. Exposé directement à une forte pression sonore dans ces basses fréquences, l'énergie peut être telle que la structure même d'un bâtiment se met en branle.
À forte puissance, les infrasons peuvent avoir des effets destructeurs, tant mécaniques que physiologiques. Des essais d'utilisation ont été faits pendant la seconde guerre mondiale par l'armée allemande. À plus faible puissance, ils constituent une gêne physiologique importante pour les animaux et les humains pouvant produire, lors d'une exposition prolongée, un inconfort, une fatigue, voire des troubles nerveux ou psychologiques.
Les appareils de mesures détectent sans cesse des ondes infrasonores allant de 0,008 Hz à 20 Hz .
vendredi 16 juillet 2010
Synchronisation des ondes cérébrales
La synchronisation des ondes cérébrales, qu’est-ce que c’est?
Le cerveau est certes un territoire énigmatique, mais depuis une cinquantaine d'années, la science a élucidé certains de ses mystères. Aujourd'hui, on utilise non seulement des produits pharmaceutiques pour intervenir dans sa chimie, mais aussi diverses technologies pour en modifier les mécanismes physiques. Ainsi, simplement en écoutant des enregistrements conçus à cet effet ou à l’aide de petits appareils émettant des signaux lumineux, semblables à des stroboscopes, on peut accélérer ou ralentir les ondes cérébrales ou encore synchroniser les ondes de l'hémisphère droit avec celles de l'hémisphère gauche.
Les ondes cérébrales
Dans les différentes zones du cerveau, l'influx nerveux fonctionne en relative cohérence et de façon rythmique : les neurones s'activent ensemble (plus ou moins), comme une pulsation, puis se calment, puis s'activent de nouveau. Grâce à de petites électrodes placées sur le cuir chevelu et reliées à un appareil appelé électroencéphalographe (EEG, inventé en 1929), le rythme de ces pulsations peut se traduire en forme d’ondes.
L'intensité de l'activité cérébrale se manifeste par la fréquence de ces ondes. On les calcule en hertz (Hz) - un hertz égalant une ondulation par seconde. Si le graphique enregistré par l'EEG est plat, c'est qu'il n'y a pas d'activité cérébrale. Quant aux ondes générées par un cerveau actif, on les divise en 4 ou 5 fourchettes, dont les appellations viennent du grec ancien :
- Ondes delta : de 0,5 à 4 Hz, celles du sommeil profond, sans rêves.
- Ondes thêta : de 4 à 7 Hz, celles de la relaxation profonde, en plein éveil, atteinte notamment par les méditants expérimentés.
- Ondes alpha : de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère et de l'éveil calme.
- Ondes bêta : 14 Hz et plus, celles des activités courantes. Étrangement, les ondes cérébrales passent au bêta pendant les courtes périodes de sommeil avec rêve (sommeil paradoxal), comme si les activités du rêve étaient des activités « courantes ».
- Il arrive aussi qu'on parle d'ondes gamma qui se situeraient au-dessus de 30 ou 35 Hz et qui témoigneraient d'une grande activité cérébrale, comme pendant les processus créatifs ou de résolutions de problèmes. (Ne pas confondre avec les rayons gamma, émis par le noyau des atomes.)
Mentionnons par ailleurs que le cerveau est divisé en deux hémisphères, puis en plusieurs aires, chacune ayant une fonction importante : aires du langage, de la sensibilité corporelle, de l'émotion, etc. En ce qui concerne les hémisphères, on sait qu'ils fonctionnent le plus souvent dans une relative indépendance, et que le gauche, généralement dominant, est le siège de la logique et du rationnel, tandis que le droit est celui de la créativité.
La fréquence des ondes cérébrales varie donc selon le type d'activités dans lequel on est engagé, mais les individus non entraînés ont relativement peu de contrôle sur celles-ci. Trop de stress, par exemple, et le système nerveux n'accepte pas de se détendre : les ondes cérébrales continuent alors de se maintenir dans la fourchette bêta et il est impossible de trouver le sommeil...
D'autre part, on avance que les meilleures ressources mentales pour la créativité et la résolution de problèmes se situeraient dans la fourchette des ondes thêta, auxquelles, malheureusement, on n'accède pas facilement.
Quand le cerveau prend le rythme
Plusieurs phénomènes extérieurs peuvent influencer le rythme des ondes cérébrales. La science a découvert que c'est généralement un effet de résonance qui est en cause, comme lorsqu’une note jouée au piano fait vibrer à l'unisson une corde de guitare. Le battement régulier des tambours de même que le chant grégorien ou des activités physiques rythmées comme la marche procurent, à la longue, cet effet. Désormais, la technologie moderne permet d'atteindre ces résultats en un rien de temps.
En effet, certains types de pulsations sonores émises directement dans les oreilles peuvent induire, accélérer ou ralentir la fréquence des ondes en fonction du résultat recherché. Pour améliorer la qualité de détente et favoriser le sommeil, par exemple, on « invite » le cerveau à ralentir le rythme de ses ondes, qui pourraient graduellement passer de 14 à 4 Hz. On peut aussi améliorer la cohérence de l'influx nerveux des neurones, ce qui se traduit sur l'EEG par des ondes d’une plus grande amplitude.
Toutes sortes de compagnies produisent des disques de musique jouant sur ce principe de résonance, généralement avec des fréquences de 3 à 8 Hz, pour favoriser l'apprentissage et surtout la détente. On y combine parfois des injonctions parlées capables d'induction hypnotique — pour arrêter de fumer, par exemple. Une compagnie a même donné le nom « d'audiocaments » (marque déposée) à des produits de ce genre1.
S'agit-il de messages subliminaux? En principe, non. D'ailleurs, les entreprises inscrivent généralement une note sur leurs produits pour déclarer que ceux-ci ne contiennent aucun message subliminal pouvant représenter un viol psychologique. Certaines personnes s'inquiètent quand même2.
Une technologie au service des deux hémisphères
Modifier le rythme des ondes cérébrales, c'est une chose, mais faire adopter le même rythme par les 2 hémisphères du cerveau, c'est un pas de plus, semble-t-il. La théorie veut que plus les hémisphères fonctionnent au même rythme, plus grand est le bien-être. On croit même qu’un fonctionnement « intégré » des 2 hémisphères favorise de meilleures performances mentales et intellectuelles, puisque la logique (cerveau gauche) et la créativité (cerveau droit) agissent alors en synergie.
Un moyen d'y arriver a été découvert en 1973 par le Dr Gerald Oster, à l'École de médecine du Mont Sinaï, à New York : cela s'appelle les « battements binauraux » (qui concernent les deux oreilles). Lorsque, avec des écouteurs, on fait entendre une fréquence différente à chaque oreille, le cerveau adopte le rythme de la différence entre les 2 fréquences : si l'oreille gauche reçoit une fréquence de 210 Hz et la droite, de 200 Hz, les neurones des 2 hémisphères du cerveau adopteront une activité de 10 Hz, la fréquence différentielle. On appelle ce mécanisme la « réponse d'adoption de la fréquence ».
Apparemment, on ne peut pas jouer ainsi avec n'importe quelles fréquences, mais les chercheurs de l'Institut Monroe3, l'entreprise la plus active dans le domaine de la technologie de la synchronisation cérébrale, disent avoir découvert une cinquantaine de combinaisons dont les effets sur le cerveau seraient particulièrement bénéfiques. Robert Monroe, aujourd'hui décédé, a fait breveter ce procédé en 1975 et a conçu une série d'outils connus sous le nom de Hemi-Sync. Les plus simples sont des enregistrements sonores dans lesquels les signaux hertziens sont camouflés sous divers sons plus ou moins musicaux. On retrouve également des appareils plus complexes combinant ondes sonores et impulsions visuelles.
Pour faciliter le sommeil, par exemple, la fréquence différentielle des battements binauraux évolue lentement de 8 Hz à 2 Hz, favorisant donc le passage, en 40 minutes, d'un état de relaxation léger (8 Hz) à un état de transe profonde (2 Hz).
( source : site internet )
Le rayonnement pulsé et ciblé , induit des résonances sonores qui provoquent des effets comparables à ceux décrit ci-dessus .
mercredi 14 juillet 2010
Onde stationnaire - Wikipédia
samedi 10 juillet 2010
Battement binaural - Wikipédia
rayonnement synchrotron - Recherche Google
Journal
Les agressions électroniques sont extrêmement barbares , il ne s'agit pas du rayonnement des antennes relais ou du wifi , mais des rayonnements infrasonore , sonore et ultrasonore pulsés et focalisés constamment sur la victime ou qu'elle aille .
Dans la gamme des fréquences sonores, les infrasons occupent la fraction du spectre qui véhicule la majeure partie de l'énergie. Ils sont très peu absorbés, de l'ordre de 10-5 dB/km à 10 Hz au lieu de 10 dB/km à 10 kHz.
L'impact des infrasons sur l'organisme est ressenti , entre autres , sous la forme de troubles visuels, psychiques, avec vertiges, vomissements et maux de tête.
Les principes de l’affectation du cerveau au moyen d’ondes électromagnétiques sont les mêmes que ceux des systèmes radio. La condition de la transformation de l'énergie électromagnétique en énergie électrique est que le « récepteur » soit réglé à la fréquence à laquelle l'énergie électromagnétique est émise. Le cerveau étant lui-même un système électrochimique, cela signifie théoriquement que les ondes électromagnétiques peuvent produire le flux du courant électrique dans le cerveau si elles sont réglées aux fréquences auxquelles les impulsions nerveuses sont communiquées. Certains obstacles s’y opposent à priori : d’une part, les fréquences extrêmement basses des impulsions électriques du cerveau17 ne pourraient être activées que par des ondes correspondantes beaucoup trop longues – une onde de 10 Hz serait longue de 30 000 km. Ce problème a été résolu avec l’utilisation de micro- ondes pulsées à des fréquences extrêmement basses.
( source : [http://www.neotrouve.com]Dossier - Les Technologies Offensives de Controle Politique )
mardi 6 juillet 2010
Journal
Ressenti :
Sensation vibratoire intense
Difficulté à respirer
Maux de tête
Gonflement des jambes ( surtout au niveau des mollets et des pieds )
Fatigue
Gène sonore ( pression acoustique )