30 octobre 2011

Le son projeté comme la lumière

L'audio-projecteur 


Tout comme un rayon de lumière ou un laser peut éclairer un point précis , l'audio-projecteur peut sonoriser avec un faisceau de son projeté dans l'air . L'audio-projecteur convertit un rayon d'ultrason en faisceau étroit de son en utilisant les capacités de résonance de l'air . On entend le son lorsqu'on traverse le faisceau , le reste de la pièce est silencieux .
( source : asthme-reality.com )





Arme non létale

Ondes électromagnétiques


Les projectiles à énergie pulsée utilisent l'émission d'impulsions électromagnétiques générées par un laser qui, au contact de la cible, évaporent la surface et créent une petite quantité de plasma explosif ; il en résulte une onde de choc sonore qui assomme la cible tandis que l'impulsion électromagnétique affecte les cellules nerveuses et cause une sensation de douleur intense.
L'armée américaine a développé l'Active Denial System, système d'arme non létale à énergie dirigée (micro-ondes) qui envoie des ondes à une fréquence de 95 GHz, ce qui permet de produire une sensation de brûlure chez la cible2.
( source : Wikipédia )

Un système embarqué ( source ) émet des impulsions ciblées selon le diagramme ci-dessous

Ce diagramme montre le fonctionnement de la loi en carré inverse. Les lignes représentent le flux émanant de la source. Le nombre total de lignes de flux dépend de l'intensité de la source et est constant avec l'accroissement de la distance. Une densité plus importante de lignes de flux (lignes par unité de surface) est la traduction d'un champ plus intense. La densité de flux est inversement proportionnelle au carré de la distance à la source car l'aire d'un secteur de disque s'accroit avec le carré de son rayon. L'intensité du champ est donc inversement proportionnelle au carré de la distance à la source.























Loi en carré inverse
En physique, une loi en carré inverse est une loi physique postulant qu'une quantité physique (énergie, force, ou autre) est inversement proportionnelle au carré de la distance de l'origine de cette quantité physique.
En acoustique
La loi du carré inverse se trouve en propagation du son lorsqu'il s'agit de donner son intensité à une distance donnée d'une source sonore1.
Cette loi en carré inverse a trait à l'intensité sonore. Cependant, les pressions sonores étant plus accessibles à la mesure, cette loi est parfois qualifiée de « loi en inverse de la distance »
En électromagnétique 
L'intensité (ou éclairement lumineux ou irradiance) de la lumière ou d'autres ondes linéaires se propageant à partir d'une source ponctuelle (énergie par unité de surface perpendiculaire à la source) est inversement proportionnelle au carré de la distance à la source, ce qui fait qu'un objet (de même taille) placé deux fois plus loin recevra seulement un quart de l'énergie émise (pour la même période).
Plus généralement, l'irradiance, i.e. l'intensité (ou puissance par unité de surface dans la direction de propagation, d'un front d'onde sphérique varie en raison inverse de la distance à la source (en postulant qu'il n'y ait pas de pertes dues à l'optique ou à la diffusion).
( source : Wikipédia )

Capture avec un caméscope à l'intérieur du logement , en position zoom , la forme montre que le plasma est dirigé avec un guide d'onde en forme de losange

De même , capture à l'intérieur du logement avec un caméscope en position zoom

Capture à l'intérieur de ma voiture avec le caméscope en position zoom , on voit clairement apparaître de nombreux petits carrés qui représentent les impulsions d'ondes électromagnétique dirigées .

Courants de Foucault

On appelle courants de Foucault les courants électriques créés dans une masse conductrice, soit par la variation au cours du temps d'un champ magnétique extérieur traversant ce milieu (le flux du champ à travers le milieu), soit par un déplacement de cette masse dans un champ magnétique constant. Ils sont une conséquence de l'induction magnétique.
Principe
Le champ magnétique variable au cours du temps est responsable de l'apparition d'une force électromotrice à l'intérieur du milieu conducteur. Cette force électromotrice induit des courants dans la masse. Ces courants ont deux effets :
  • ils provoquent un échauffement par effet Joule de la masse conductrice ;
  • ils créent un champ magnétique qui s'oppose à la cause de la variation du champ extérieur (loi de Lenz).         ( source : Wikipédia )
Contrairement au champ électrique , il n'existe pas de protection pour arrêter le champ d'induction magnétique .


Flux magnétique de 50 Hz dans le milieu ambiant 24H/24




Les champs magnétiques 50 Hz traversent le corps humain et induisent des forces électromotrices qui génèrent des courants appelés "courants de Foucault". Ces courants circulent sous forme de boucles fermées perpendiculairement à la direction du champ magnétique (NIEHS, 1995).

29 octobre 2011

A l'attention du gouvernement

LA CONVENTION EUROPÉENNE DE SAUVEGARDE
DES DROITS DE L'HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES

Les gouvernements signataires, membres du Conseil de l'Europe,

Considérant la Déclaration universelle des Droits de l'Homme, proclamée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 10 décembre 1948;

Considérant que cette déclaration tend à assurer la reconnaissance et l'application universelles et effectives des droits qui y sont énoncés;

Considérant que le but du Conseil de l'Europe est de réaliser une union plus étroite entre ses membres, et que l'un des moyens d'atteindre ce but est la sauvegarde et le développement des droits de l'homme et des libertés fondamentales;

Réaffirmant leur profond attachement à ces libertés fondamentales qui constituent les assises mêmes de la justice et de la paix dans le monde et dont le maintien repose essentiellement sur un régime politique véritablement démocratique, d'une part, et, d'autre part, sur une conception commune et un commun respect des droits de l'homme dont ils se réclament;

Résolus, en tant que gouvernements d'Etats européens animés d'un même esprit et possédant un patrimoine commun d'idéal et de traditions politiques, de respect de la liberté et de prééminence du droit, à prendre les premières mesures propres à assurer la garantie collective de certains des droits énoncés dans la Déclaration universelle,
Sont convenus de ce qui suit:

Article 1 – Obligation de respecter les droits de l'homme

Les Hautes Parties contractantes reconnaissent à toute personne relevant de leur juridiction les droits et libertés définis au titre I de la présente Convention:


Titre I – Droits et libertés

Article 2 – Droit à la vie
  1. Le droit de toute personne à la vie est protégé par la loi. La mort ne peut être infligée à quiconque intentionnellement, sauf en exécution d'une sentence capitale prononcée par un tribunal au cas où le délit est puni de cette peine par la loi.
  2. La mort n'est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d'un recours à la force rendu absolument nécessaire:
    1. pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
    2. pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l'évasion d'une personne régulièrement détenue;
    3. pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.
Article 3 – Interdiction de la torture

Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.

Article 4 – Interdiction de l'esclavage et du travail forcé
  1. Nul ne peut être tenu en esclavage ni en servitude.
  2. Nul ne peut être astreint à accomplir un travail forcé ou obligatoire.
  3. N'est pas considéré comme «travail forcé ou obligatoire» au sens du présent article:
    1. tout travail requis normalement d'une personne soumise à la détention dans les conditions prévues par l'article 5 de la présente Convention, ou durant sa mise en liberté conditionnelle;
    2. tout service de caractère militaire ou, dans le cas d'objecteurs de conscience dans les pays où l'objection de conscience est reconnue comme légitime, à un autre service à la place du service militaire obligatoire;
    3. tout service requis dans le cas de crises ou de calamités qui menacent la vie ou le bien-être de la communauté;
    4. tout travail ou service formant partie des obligations civiques normales.
Article 5 – Droit à la liberté et à la sûreté
  1. Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales:
    1. s'il est détenu régulièrement après condamnation par un tribunal compétent;
    2. s'il a fait l'objet d'une arrestation ou d'une détention régulières pour insoumission à une ordonnance rendue, conformément à la loi, par un tribunal ou en vue de garantir l'exécution d'une obligation prescrite par la loi;
    3. s'il a été arrêté et détenu en vue d'être conduit devant l'autorité judiciaire compétente, lorsqu'il y a des raisons plausibles de soupçonner qu'il a commis une infraction ou qu'il y a des motifs raisonnables de croire à la nécessité de l'empêcher de commettre une infraction ou de s'enfuir après l'accomplissement de celle-ci;
    4. s'il s'agit de la détention régulière d'un mineur, décidée pour son éducation surveillée ou de sa détention régulière, afin de le traduire devant l'autorité compétente;
    5. s'il s'agit de la détention régulière d'une personne susceptible de propager une maladie contagieuse, d'un aliéné, d'un alcoolique, d'un toxicomane ou d'un vagabond;
    6. s'il s'agit de l'arrestation ou de la détention régulières d'une personne pour l'empêcher de pénétrer irrégulièrement dans le territoire, ou contre laquelle une procédure d'expulsion ou d'extradition est en cours.
  2. Toute personne arrêtée doit être informée, dans le plus court délai et dans une langue qu'elle comprend, des raisons de son arrestation et de toute accusation portée contre elle.
  3. Toute personne arrêtée ou détenue, dans les conditions prévues au paragraphe 1.c du présent article, doit être aussitôt traduite devant un juge ou un autre magistrat habilité par la loi à exercer des fonctions judiciaires et a le droit d'être jugée dans un délai raisonnable, ou libérée pendant la procédure. La mise en liberté peut être subordonnée à une garantie assurant la comparution de l'intéressé à l'audience.
  4. Toute personne privée de sa liberté par arrestation ou détention a le droit d'introduire un recours devant un tribunal, afin qu'il statue à bref délai sur la légalité de sa détention et ordonne sa libération si la détention est illégale.
  5. Toute personne victime d'une arrestation ou d'une détention dans des conditions contraires aux dispositions de cet article a droit à réparation.
Article 6 – Droit à un procès équitable
  1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
  2. Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
  3. Tout accusé a droit notamment à:
    1. être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
    2. disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
    3. se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
    4. interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
    5. se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
Article 7 – Pas de peine sans loi
  1. Nul ne peut être condamné pour une action ou une omission qui, au moment où elle a été commise, ne constituait pas une infraction d'après le droit national ou international. De même il n'est infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'infraction a été commise.
  2. Le présent article ne portera pas atteinte au jugement et à la punition d'une personne coupable d'une action ou d'une omission qui, au moment où elle a été commise, était criminelle d'après les principes généraux de droit reconnus par les nations civilisées.
Article 8 – Droit au respect de la vie privée et familiale
  1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
  2. Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui.
Article 9 – Liberté de pensée, de conscience et de religion
  1. Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, l'enseignement, les pratiques et l'accomplissement des rites.
  2. La liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l'objet d'autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l'ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d'autrui.
Article 10 – Liberté d'expression
  1. Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n'empêche pas les Etats de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d'autorisations.
  2. L'exercice de ces libertés comportant des devoirs et des responsabilités peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi, qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à l'intégrité territoriale ou à la sûreté publique, à la défense de l'ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d'autrui, pour empêcher la divulgation d'informations confidentielles ou pour garantir l'autorité et l'impartialité du pouvoir judiciaire.
Article 11 – Liberté de réunion et d'association
  1. Toute personne a droit à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d'association, y compris le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.
  2. L'exercice de ces droits ne peut faire l'objet d'autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à la sûreté publique, à la défense de l'ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui. Le présent article n'interdit pas que des restrictions légitimes soient imposées à l'exercice de ces droits par les membres des forces armées, de la police ou de l'administration de l'Etat.
Article 12 – Droit au mariage

A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l'exercice de ce droit.

Article 13 – Droit à un recours effectif

Toute personne dont les droits et libertés reconnus dans la présente Convention ont été violés, a droit à l'octroi d'un recours effectif devant une instance nationale, alors même que la violation aurait été commise par des personnes agissant dans l'exercice de leurs fonctions officielles.

Article 14 – Interdiction de discrimination

La jouissance des droits et libertés reconnus dans la présente Convention doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l'origine nationale ou sociale, l'appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation.

Article 15 – Dérogation en cas d'état d'urgence
  1. En cas de guerre ou en cas d'autre danger public menaçant la vie de la nation, toute Haute Partie contractante peut prendre des mesures dérogeant aux obligations prévues par la présente Convention, dans la stricte mesure où la situation l'exige et à la condition que ces mesures ne soient pas en contradiction avec les autres obligations découlant du droit international.
  2. La disposition précédente n'autorise aucune dérogation à l'article 2, sauf pour le cas de décès résultant d'actes licites de guerre, et aux articles 3, 4 (paragraphe 1) et 7.
  3. Toute Haute Partie contractante qui exerce ce droit de dérogation tient le Secrétaire Général du Conseil de l'Europe pleinement informé des mesures prises et des motifs qui les ont inspirées. Elle doit également informer le Secrétaire Général du Conseil de l'Europe de la date à laquelle ces mesures ont cessé d'être en vigueur et les dispositions de la Convention reçoivent de nouveau pleine application.
Article 16 – Restrictions à l'activité politique des étrangers

Aucune des dispositions des articles 10, 11 et 14 ne peut être considérée comme interdisant aux Hautes Parties contractantes d'imposer des restrictions à l'activité politique des étrangers.

Article 17 – Interdiction de l'abus de droit

Aucune des dispositions de la présente Convention ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Convention ou à des limitations plus amples de ces droits et libertés que celles prévues à ladite Convention.

Article 18 – Limitation de l'usage des restrictions aux droits

Les restrictions qui, aux termes de la présente Convention, sont apportées auxdits droits et libertés ne peuvent être appliquées que dans le but pour lequel elles ont été prévues.

A l'attention du Ministre de la Justice

MONSIEUR LE MINISTRE DE LA JUSTICE

Nous sommes victimes 24H24 d'actes de torture commis au moyen de rayonnements acoustiques et électromagnétiques pulsés et ciblés.

LA CONVENTION EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME

Article 3 - Interdiction de la torture

Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradant.

28 octobre 2011

MODULATION et DEFLEXION de FAISCEAUX LASER


C'est le même type de modulation que mes appareils de mesure détectent dans le milieu ambiant 

25 octobre 2011

Diffusion de fortes tensions dans le milieu ambiant ( air )

À la base, l'air est un fort isolant. Mais sous de fortes tensions, les électrons qui composent les atomes des molécules de l'air sont littéralement arrachés à leur orbite de valence pour participer à la conduction électrique .
( source : Wikipédia )


Le corps est sans cesse soumis à un courant induit ( conséquence de l'induction électromagnétique ).


Le corps humain se comporte comme une résistance électrique , le corps absorbe le courant comme n'importe quel consommateur électrique  si la tension électrique est trop forte ça souffre ou ça grille . 
Le corps humain est un conducteur électrique .



22 octobre 2011

L'interférométrie à deux ondes


Interférence de deux ondes planes

On considère deux faisceaux lumineux collimatés monochromatiques, coplanaires et formant un angle θ . Les deux faisceaux étant collimatés, on les considérera comme deux ondes planes monochromatiques.


   

    Figure 5 - Champ d'interférences de deux ondes planes
Figure 5 - Champ d'interférences de deux ondes planes  

Système embarqué


Un système embarqué peut être défini comme un système électronique et informatique autonome, qui est dédié à une tâche bien précise. Ses ressources disponibles sont généralement limitées. Cette limitation est généralement d'ordre spatial (taille limitée) et énergétique (consommation restreinte).
Les systèmes embarqués font très souvent appel à l'informatique, et notamment aux systèmes temps réel.
Le terme de système embarqué désigne aussi bien le matériel que le logiciel utilisé.
( source : Wikipédia )

21 octobre 2011

L'interféromètre IASI




L'un des principaux instruments embarqués à bord du satellite MetOp est l'interféromètre IASI(Interféromètre Atmosphérique de Sondage Infrarouge) réalisé dans le cadre d'une coopération entre le CNES et EUMETSAT.

Cet instrument a pour mission de fournir aux scientifiques des spectres d'émission de l'atmosphère à partir desquels il est notamment possible d'établir :
-  des profils de température (précision de 1 K) et d'humidité (précision de 10%), avec une résolution verticale 1 km et un échantillonnage horizontal de 25 km.
- une cartographie de la répartition globale de l'ozone, avec un échantillonnage horizontal de 25 km.

L'instrument IASI comporte également un radiomètre imageur infrarouge qui permet de superposer les sondages interférométriques avec les images du radiomètre AVHRR embarqué sur MetOp.

IASI est constitué :
  - d'un miroir de balayage offrant une fauchée de 48° de part et d'autre de la trace du satellite
  - d'un télescope afocal
  - d'un interféromètre de Michelson
  - d'un détecteur refroidi à 100 K

Un sous-système embarqué numérise et traite (par transformée de Fourier inverse) les interférogrammes délivrés par le dispositif optique.


Les  caractéristiques générales de IASI sont les suivantes :


- dimensions : 1,2 m . 1,1 m . 1,1 m
- masse : 210 kg
- domaine spectral : de 3,6 à 15,5 
mm (8000 canaux)
- résolution spectrale : de 8 à 70 nm
- domaine spectral du radiomètre infrarouge : 10,3 à 12,5 
mm
- résolution radiométrique : 0,25 à 0,5 K.

iasifov.jpeg (51365 octets)

Ci-dessus : principe de l'acquisition des données IASI,
par balayage transversal à la trace du satellite (
Copyright CNES).
( source : Ministère de l'Education Nationale )

Interféromètre atmosphérique de sondage dans l'infrarouge

L’Interféromètre atmosphérique de sondage dans l'infrarouge (IASI) est un capteur interférométrique ultrasensible conçu par le Centre national d'études spatiales (CNES), en collaboration avec EUMETSAT, et placé sur le satellite météorologique européen MetOp-A, qui a été lancé le 19 octobre 2006.
( source : Wikipédia )

Capteurs embarqués à bord des satellites



Les systèmes embarqués à bord des satellites comportent de multiples instruments dont les fonctions sont variées. Toutefois, pour une mission donnée, les instruments de la charge utile ont des fonctions bien particulières. Il s'agit le plus souvent de capteurs qui ont pour vocation d'effectuer des mesures du rayonnement émis ou rémis par la Terre, l'atmosphère ou divers objets de l'Univers, ou bien de dispositifs de réception et de réémission de signaux, quand il s'agit de missions de télécommunications, par exemple.
Deux grandes familles de capteurs sont identifiables : les capteurs non-imageurs et les capteurs-imageurs, ces derniers restituant sous forme d'images les observations effectuées dans un champ donné.
Parmi les capteurs-imageurs, deux principes de fonctionnement existent, illustrés par les figures ci-dessous.



actif.gif (5203 octets)
passif.gif (4338 octets)
Ci-dessus : système actif : l'instrument embarqué à bord du satellite ERS émet un signal qui est rétrodiffusé par le milieu observé et détecté par l'antenne A.Ci-dessus : système passif : l'instrument embarqué à bord du satellite SPOT reçoit le rayonnement solaire réfléchi par le milieu observé.


Capteur-imageur d'un système actif
Capteur-imageur d'un système passif

( source : Ministère de l'Education Nationale )

Interféromètre de Michelson

L'interféromètre de Michelson (parfois appelé abusivement le Michelson) est un dispositif optique inventé par Albert Abraham Michelsonqui produit des interférences par division d'amplitude. Il est constitué essentiellement de deux miroirs et d'une lame semi-réfléchissante. Les deux configurations possibles d'utilisation sont la configuration en lame d'air et celle en coin d'air.


La théorie 



L'interféromètre de Michelson est constitué de deux miroirs M1 et M2 et d'une lame semi-réfléchissante appelée séparatrice. Ces trois éléments sont orientables et M1 est déplaçable par translation (pour ajuster la distance notée d sur le schéma)
Schéma d'un interféromètre de Michelson.PNG
Sur le schéma ci-contre, qui modélise un Michelson utilisé en lame d'air, la source de lumière envoie un rayon (d'intensité I) vers la lame séparatrice. Ce rayon est divisé en deux rayons (bleu et vert) d'intensité I/2. M1' représente l'image du miroir M1, symétrique par rapport à la séparatrice ; le trait pointillé bleu représente donc un trajet virtuel équivalent au trajet réel de la lumière vers le miroir M1. La différence de longueur d des bras de l'interféromètre induit une différence de marche entre les deux rayons égale à 2d.


On voit sur mes lunettes deux tâches de rayons de lumière , émis de toute évidence par un interféromètre de même type que le schéma ci-dessus

En position zoom , les deux rayons de lumière , diffusés probablement par le même type de miroirs M1 et M2 du schéma ci-dessus  

                                        Capture de rayons lumineux sur les lunettes de ma femme 

Interférences lumineuses

Les termes "interférométrie" et "interféromètre" dérivent du mot "interférence" qui traduit le mélange d'ondes cohérentes, mais qui peuvent être de natures différentes (sonores, électromagnétiques, sismiques, etc..). La résonance, le battement de fréquence et la dissonance sont tous des phénomènes d'interférence. L'interférométrie peut être considérée comme l'addition de deux ondes qui vont s'additionner ou se soustraire en fonction de leurs amplitudes et de leur différence de phase.


Figure 1-1 : Interférences constructives (a) et destructives (b)


La superposition d'ondes provenant de deux sources lumineuses de même fréquence se traduit par le phénomène d'interférence : en certains endroits, l'intensité lumineuse est maximale, alors qu'en d'autres endroits, elle est minimale ou même nulle. La figure d'interférence obtenue dépend de la forme des fronts d'onde (plans, sphériques, etc.) qui interférent ainsi que de leurs directions de propagation relatives. Comme exemple, la figure 1-2 reproduit la variation de l'intensité lumineuse sur un écran lorsqu'on fait interférer deux fronts d'onde par division d'amplitude. Compte tenu de l'aspect de cette figure, on parle de franges d'interférence.


Figure 1-2 : Exemple de franges d'interférence




Figure d'interférences obtenue avec un interféromètre de Fabry-Pérot.



Journal

Le 21/10/2011 , 9 heures 21 . La pression de radiation est intense , je ressens une très forte pression sur la peau surtout au niveau de l’abdomen et du dos , cette pression de très gênante peu devenir très douloureuse , en ce moment elle est assez pénible voir par moment douloureuse .

20 octobre 2011

Détection d'impulsions nanosecondes focalisées sur le corps


Ce rayonnement très puissant désorganise les tissus qu'il envahit . 


1 ns = 1×10-9 s = 0,000 000 001 s.


longueurs d'ondes comprises entre l'infrarouge et l'ultraviolet

19 octobre 2011

Télédétection

La télédétection désigne, dans son acception la plus large, la mesure ou l'acquisition d'informations sur un objet ou un phénomène, par l'intermédiaire d'un instrument de mesure n'ayant pas de contact avec l'objet étudié. C'est l'utilisation à distance de n'importe quel type d'instrument (par exemple, d'un avion, d'un engin spatial, d'un satellite ou encore d'un bateau) permettant l'acquisition d'informations sur l'environnement. On fait souvent appel à des instruments tels qu'appareils photographiques, lasersradarssonarssismographes ou gravimètres. La télédétection moderne intègre normalement des traitements numériques mais peut tout aussi bien utiliser des méthodes non numériques.



Principe de fonctionnement du RSO. Le point P est illuminé plusieurs fois par le radar en mouvement.
( source : Wikipédia )

Journal

Le 19/10/2011 , 9 heures 25 . Bonjour , Je ne peux pas répondre à tous les messages , je m'en excuse , je me concentre surtout à étudier et comprendre le fonctionnement du système , ( - source d'émission - transmission - cible - ) , merci à tous et à toutes pour vos messages et témoignages . Amicalement  

18 octobre 2011

Guide d'onde

Un guide d'onde est un système qui sert à guider les ondes électromagnétiques ou les ondes acoustiques. Le guide d'onde est notamment utilisé en physique, en optique et en télécommunication
Pour guider les ondes, le système est généralement constitué de deux matériaux différents. Il peut aussi être constitué d'un seul matériau avec un gradient d'indice.
Le matériau dépend du spectre électromagnétique des ondes que l'on veut guider :
  • dans la partie "visible" (optique), on peut utiliser une fibre optique ;
  • dans les micro-ondes, c'est une coque métallique creuse…
Selon la taille du guide, celui-ci peut être mono-mode, c'est-à-dire qu'il ne supporte qu'un mode ou alors multi-mode, c'est-à-dire qu'il va supporter plusieurs modes. Un mode correspond à une configuration spatiale du champ électromagnétique. Selon la répartition du champ, chaque mode voit un indice différent des matériaux constituant le guide d'onde dépendant de chaque mode. L'indice vu par chaque mode définit l'indice effectif.
( source : Wikipédia )

17 octobre 2011

Modulation de largeur d'impulsion

La modulation de largeur d'impulsions (MLI ; en anglais : Pulse Width Modulation, soit PWM), est une technique couramment utilisée pour synthétiser des signaux continus à l'aide de circuits à fonctionnement tout ou rien, ou plus généralement à états discrets.

Le principe général est qu'en appliquant une succession d'états discrets pendant des durées bien choisies, on peut obtenir en moyenne sur une certaine durée n'importe quelle valeur intermédiaire.
  
Applications

Les usages les plus fréquents sont :
Il est aussi possible de faire de la transmission de données par cette méthode.

Exemple simple : un convertisseur numérique-analogique


De haut en bas : le signal de commande, le signal MLI brut, la sortie analogique après filtrage.
Le principe est de générer un signal logique (valant 0 ou 1), à fréquence fixe mais dont le rapport cyclique est contrôlé numériquement. La moyenne du signal de sortie est égale au rapport cyclique : il suffit donc de mettre un filtre passe-bas pour obtenir la valeur analogique recherchée.

On peut voir sur cet exemple les principales contraintes de la MLI :

Types de MLI

MLI « intersective »


Exemple de MLI à porteuse en dent de scie
C'est la plus classique. Elle consiste à comparer la modulante (le signal à synthétiser) à une porteuse généralement triangulaire. Le signal de sortie vaut 1 si la modulante est plus grande que la porteuse, 0 sinon ; le signal de sortie change donc d'état à chaque intersection de la modulante et de la porteuse.
Cette méthode se prête bien à une réalisation analogique : Il suffit d'un générateur triangle et d'un comparateur. Il existe de nombreux circuits intégrés dédiés.
On peut classifier les sous-types de plusieurs manières :
  • Analogique ou numérique échantillonné, selon que la modulante et le comparateur sont en temps continu ou discret ;
  • À porteuse triangulaire centrée ou en dent de scie (à gauche ou à droite) ;
  • Asynchrone ou synchrone, selon que la modulante et la porteuse sont de fréquence exactement multiples ou non.

« Vecteur spatial »


Principe du vecteur spatial pour une MLI triphasée
La MLI dite space vector (vecteur spatial) est surtout applicable aux variateurs de vitesse triphasés sans neutre.

Elle consiste à considérer globalement le système triphasé, et à lui appliquer une transformée de Concordia pour se ramener dans le plan (Vα, Vβ). Le système triphasé de tensions à générer pour la durée d'échantillonnage en cours peut alors être représenté comme un unique vecteur dans ce plan (voir aussi commande vectorielle).

Ce vecteur n'est pas directement réalisable par les interrupteurs du variateur, mais on peut chercher les trois configurations les plus proches (situées sur les sommets et au centre de l'hexagone), et les appliquer successivement pendant une fraction adéquate de la période d'échantillonnage, de façon à obtenir en moyenne le vecteur recherché.

En modulation sinusoïdale, elle donne des résultats similaires à la MLI intersective à porteuse triangulaire centrée. Néanmoins, elle peut être plus facile à implanter dans un microcontrôleur, et, disjointe d'harmonique 3, elle permet de maximiser la puissance disponible, ce qui justifie son usage.

MLI « précalculée »

Elle est surtout utilisée lorsque, du fait d'une fréquence porteuse faible, on a besoin d'optimiser le spectre du signal généré. Le motif du signal de sortie est prédéterminé (hors ligne) et stocké dans des tables qui sont ensuite relues en temps réel.

De fait, ces MLI sont toujours synchrones (la fréquence porteuse est exactement multiple de la fréquence de la modulante), condition nécessaire pour avoir un spectre harmonique constant.
En pratique, ce type de MLI ne peut être réalisé qu'en numérique.

Commande par hystérésis


Commande par hystérésis
Cette méthode consiste à élaborer le signal MLI directement à partir de la grandeur à contrôler, par des décisions de type tout ou rien.

Les avantages sont la très grande simplicité et le temps de réponse minimal aux perturbations. L'inconvénient majeur est l'absence de contrôle de la fréquence de commutation des transistors, ce qui rend délicat leur dimensionnement.

Principe de réalisation

En général, un logiciel tournant sur microcontrôleur calcule des signaux (voir Digital signal processor, ou DSP) MLI de commande a haute fréquence (jusqu'à environ 100kHz).

Ce microcontrôleur se trouve dans la partie numérique d'un circuit électronique. Ainsi commandé, le circuit suivant (généralement de puissance : MOSFET, IGBT) génère un signal électrique analogique de fréquence nettement inférieure au signal MLI mais d'une puissance nettement supérieure à l'étage numérique précédent. Ce signal analogique peut être sinusoïdal (50Hz, 220V) dans le cas d'un générateur de courant domestique à partir de batteries (convertisseur statique) mais il peut prendre n'importe quelle forme, comme par exemple celle d'un signal audio.

De façon simple, cette technique échange de la vitesse de traitement en numérique (un train continu, périodique d'impulsions binaires dont les largeurs sont finement calculées par un calculateur) contre de la précision en amplitude (analogique).
( source : Wikipédia )