lundi 30 juillet 2012
Journal
Le 31/07/2012 , 8 heures 22 . Ce matin vers 3 heures , j'ai été réveillé par un impact ( force électromagnétique concentrée sur un point ) très puissant sur le mollet de la jambe gauche pendant quelques minutes . Il y a trois jours , j'en ai reçu plusieurs , dont un sur le mollet gauche pendant 10 minutes environ . La douleur est aiguë .
Nanocristal
Un nanocristal est un monocristal dont au moins une des dimensions est inférieure à 100 nm.
Pour les nanocristaux de semi-conducteurs, pour des dimensions inférieures à 10 nm on parle souvent aussi de point/boite quantique(ou quantum dot, ou encore qdot).
Effet induit par l'échelle nanométrique
À cause de sa petite taille, il se comporte comme un puits de potentiel qui confine les électrons dans trois dimensions, dans une région d'une taille de l'ordre de la longueur d'onde des électrons selon (de Broglie), soit quelques nanomètres dans un semi-conducteur.
Ils sont à comparer aux fils quantiques (en 2 dimensions) et aux puits quantiques en 1 dimension.
À cause du confinement, les électrons du nanocristal ont des niveaux d'énergie discrets et quantifiés, de façon similaire à un atome. Pour cette raison les nanocristaux sont parfois appelés « atomes artificiels ». Les niveaux d'énergie peuvent être contrôlés par le changement de la taille et de la forme du nanocristal, ainsi que par la profondeur du potentiel.
Capture avec mon caméscope .
J'ai rempli un verre d'eau au robinet de la cuisine à très haut débit , peu de temps après , j'ai été surpris de voir autant de petites bulles , je me demandais ce que ça pouvait être .
Or , la photo ci-dessous ( caméscope en position zoom ) montre une structure cristalline . Ce sont donc des nano-cristaux qui se trouvent dans le verre d'eau ! .
Capture avec mon caméscope en position zoom
dimanche 29 juillet 2012
liaisons optiques-hyperfréquences
Près
de vingt ans de recherche et de développement ont été nécessaires
à l'avènement des liaisons optiques dans les architectures radar.
On arrive aujourd'hui à déporter des oscillateurs locaux RF ainsi
que des formes d'onde complexes à l'aide de fibres.
( source : ipr )
samedi 28 juillet 2012
H.R.2977 -- Space Preservation Act of 2001 (Introduced in House - IH)
Traduction
HR 2977 IH
2 octobre 2001
M. Kucinich a présenté le projet de loi suivant, ce qui a été renvoyé au Comité sur la science, et en plus des comités sur les services armés, et des relations internationales, pour une période pour être ensuite déterminée par le Président, dans chaque cas à l'examen de ces dispositions comme relevant de la compétence de la commission concernée
- Qu'il soit adopté par le Sénat et la Chambre des Représentants des Etats-Unis d'Amérique réunis en Congrès,
SECTION 1. TITRE ABRÉGÉ.
- Cette loi peut être citée comme la Loi sur la préservation de l'espace `de 2001».
SEC. 2. Réaffirmation de la politique SUR LA CONSERVATION DE LA PAIX DANS L'ESPACE.
- Le Congrès réaffirme la politique exprimée dans la section 102 (a) de la National Aeronautics and Space Act de 1958 (42 USC 2451 (a)), indiquant qu'il est `la politique des États-Unis que les activités dans l'espace devrait être consacré à des fins pacifiques pour le bénéfice de toute l'humanité. ».
SEC. 3. Interdiction permanente visant la FONDANT DES ARMES DANS L'ESPACE.
- Le président doit -
- (1) mettre en œuvre une interdiction permanente sur l'espace fondées sur les armes des États-Unis et de retirer de l'espace des existants basés dans l'espace d'armes des États-Unis, et
- (2) ordonner immédiatement la cessation définitive de la recherche et développement, les essais, la fabrication, la production, et le déploiement de toutes les armes basées dans l'espace des États-Unis et de leurs composants.
SEC. 4. ACCORD mondiale interdisant armes spatiales.
- Le président dirige les représentants des États-Unis à l'Organisation des Nations Unies et d'autres organisations internationales à travailler immédiatement vers la négociation, l'adoption et la mise en œuvre d'un accord mondial interdisant armes spatiales.
SEC. 5. RAPPORT.
- Le président soumet au Congrès au plus tard 90 jours après la date de la promulgation de la présente loi, puis tous les 90 jours qui suivent, un rapport sur -
- (1) la mise en œuvre de l'interdiction permanente sur l'espace fondées sur les armes exigé par l'article 3;
- (2) les progrès vers la négociation, l'adoption et la mise en œuvre de l'accord visé à l'article 4.
SEC. 6. NON armes spatiales ACTIVITÉS.
- Rien dans la présente loi peut être interprété comme interdisant l'utilisation des fonds pour -
- Exploration de l'espace (1);
- (2) la recherche spatiale et le développement;
- (3) les tests, la fabrication ou de production qui n'est pas liée à des armes spatiales ou les systèmes, ou
- (4) civile, activités commerciales, ou à la défense (y compris les communications, la navigation, de surveillance, de reconnaissance, d'alerte précoce, ou de la télédétection) qui ne sont pas liés à des armes spatiales ou les systèmes.
SEC. 7. DÉFINITIONS.
- Dans la présente loi:
- (1) Le terme `espace": tout l'espace s'étendant vers le haut à partir d'une altitude supérieure à 60 kilomètres au-dessus de la surface de la terre et tout autre corps céleste dans l'espace tels.
- (2) (A) Les termes `arme 'et` système d'armes »désigne un dispositif capable de tout de ce qui suit:
- (I) Endommager ou détruire un objet (que ce soit dans l'espace, dans l'atmosphère, ou sur la terre) par -
- (I) un ou plusieurs de tir des projectiles à entrer en collision avec l'objet;
- (II) détonant un ou plusieurs engins explosifs à proximité de cet objet;
- (III) de diriger une source d'énergie (y compris l'énergie atomique ou moléculaire, des faisceaux de particules subatomiques, rayonnement électromagnétique, plasma, ou de la fréquence extrêmement basse (ELF) ou ultra basse fréquence (ULF) un rayonnement d'énergie) contre cet objet, ou
- (IV) par tout autre moyen non reconnues ou encore sous-développée.
- (Ii) Infliger la mort ou des blessures sur, ou endommager ou détruire, une personne (ou la vie biologique, la santé du corps, la santé mentale ou physique, et bien-être économique d'une personne) -
- (I) à travers l'utilisation de l'un des moyens visés à l'alinéa (i) ou de l'alinéa (B);
- (II) par l'utilisation de systèmes basés à terre, basée en mer, ou dans l'espace utilisant des rayonnements électromagnétiques, psychotroniques, soniques, le laser, ou d'autres énergies adressées à des personnes individuelles ou des populations ciblées dans le but de guerre de l'information, la gestion d'humeur ou contrôle de l'esprit de ces personnes ou de populations, ou
- (III) en expulsant des agents chimiques ou biologiques dans le voisinage d'une personne.
- (B) Ces termes comprennent systèmes d'armes exotiques tels que -
- (I) électronique, psychotronique, ou armes de l'information;
- (Ii) les chemtrails;
- (Iii) de haute altitude très basse fréquence armes systèmes;
- (Iv) le plasma, électromagnétiques, sonores, ou des armes à ultrasons;
- (V) des systèmes d'armes laser;
- (Vi) la planification stratégique, le théâtre, tactique, ou des armes extraterrestres, et
- (Vii) chimique, biologique, environnementale, climatique, ou des armes tectoniques.
- (C) Le terme 'systèmes d'armes exotiques des comporte armes conçues pour endommager les écosystèmes espace ou naturels (tels que l'ionosphère et la haute atmosphère) ou le climat, la météo, et des systèmes tectoniques dans le but de dommages ou de destruction induisant sur une population cible ou d'une région sur la terre ou dans l'espace.
HR 2977 IH
October 2, 2001
Mr. KUCINICH introduced the following bill; which was referred to the Committee on Science, and in addition to the Committees on Armed Services, and International Relations, for a period to be subsequently determined by the Speaker, in each case for consideration of such provisions as fall within the jurisdiction of the committee concerned
- Be it enacted by the Senate and House of Representatives of the United States of America in Congress assembled,
SECTION 1. SHORT TITLE.
- This Act may be cited as the `Space Preservation Act of 2001'.
SEC. 2. REAFFIRMATION OF POLICY ON THE PRESERVATION OF PEACE IN SPACE.
- Congress reaffirms the policy expressed in section 102(a) of the National Aeronautics and Space Act of 1958 (42 U.S.C. 2451(a)), stating that it `is the policy of the United States that activities in space should be devoted to peaceful purposes for the benefit of all mankind.'.
SEC. 3. PERMANENT BAN ON BASING OF WEAPONS IN SPACE.
- The President shall--
- (1) implement a permanent ban on space-based weapons of the United States and remove from space any existing space-based weapons of the United States; and
- (2) immediately order the permanent termination of research and development, testing, manufacturing, production, and deployment of all space-based weapons of the United States and their components.
SEC. 4. WORLD AGREEMENT BANNING SPACE-BASED WEAPONS.
- The President shall direct the United States representatives to the United Nations and other international organizations to immediately work toward negotiating, adopting, and implementing a world agreement banning space-based weapons.
SEC. 5. REPORT.
- The President shall submit to Congress not later than 90 days after the date of the enactment of this Act, and every 90 days thereafter, a report on--
- (1) the implementation of the permanent ban on space-based weapons required by section 3; and
- (2) progress toward negotiating, adopting, and implementing the agreement described in section 4.
SEC. 6. NON SPACE-BASED WEAPONS ACTIVITIES.
- Nothing in this Act may be construed as prohibiting the use of funds for--
- (1) space exploration;
- (2) space research and development;
- (3) testing, manufacturing, or production that is not related to space-based weapons or systems; or
- (4) civil, commercial, or defense activities (including communications, navigation, surveillance, reconnaissance, early warning, or remote sensing) that are not related to space-based weapons or systems.
SEC. 7. DEFINITIONS.
- In this Act:
- (1) The term `space' means all space extending upward from an altitude greater than 60 kilometers above the surface of the earth and any celestial body in such space.
- (2)(A) The terms `weapon' and `weapons system' mean a device capable of any of the following:
- (i) Damaging or destroying an object (whether in outer space, in the atmosphere, or on earth) by--
- (I) firing one or more projectiles to collide with that object;
- (II) detonating one or more explosive devices in close proximity to that object;
- (III) directing a source of energy (including molecular or atomic energy, subatomic particle beams, electromagnetic radiation, plasma, or extremely low frequency (ELF) or ultra low frequency (ULF) energy radiation) against that object; or
- (IV) any other unacknowledged or as yet undeveloped means.
- (ii) Inflicting death or injury on, or damaging or destroying, a person (or the biological life, bodily health, mental health, or physical and economic well-being of a person)--
- (I) through the use of any of the means described in clause (i) or subparagraph (B);
- (II) through the use of land-based, sea-based, or space-based systems using radiation, electromagnetic, psychotronic, sonic, laser, or other energies directed at individual persons or targeted populations for the purpose of information war, mood management, or mind control of such persons or populations; or
- (III) by expelling chemical or biological agents in the vicinity of a person.
- (B) Such terms include exotic weapons systems such as--
- (i) electronic, psychotronic, or information weapons;
- (ii) chemtrails;
- (iii) high altitude ultra low frequency weapons systems;
- (iv) plasma, electromagnetic, sonic, or ultrasonic weapons;
- (v) laser weapons systems;
- vi) strategic, theater, tactical, or extraterrestrial weapons; and(vii) chemical, biological, environmental, climate, or tectonic weapons.
- (C) The term `exotic weapons systems' includes weapons designed to damage space or natural ecosystems (such as the ionosphere and upper atmosphere) or climate, weather, and tectonic systems with the purpose of inducing damage or destruction upon a target population or region on earth or in space.
vendredi 27 juillet 2012
Glossaire
1. Amplitude :
c’est la mesure scalaire (une coordonnée) d’un nombre positif
caractérisant l’ampleur de l’oscillation d’une onde par
rapport à sa valeur moyenne
2. Diffraction :
C’est le comportement des ondes lorsqu'elles rencontrent un
obstacle qui ne leur est pas complètement transparent ;
3. Dioptre :
C’est la surface séparant deux milieux transparents. Les rayons
demeurent rectilignes dans un milieu homogène et isotrope; ils sont
déviés lors du franchissement d'un dioptre ou à la rencontre d'une
surface réfléchissante.
4. Interférence :
C’est un phénomène causé par la rencontre d'ondes.
5. Longueur
d’onde : C’est la
distance séparant deux crêtes successives d'une onde périodique.
6. Onde :
C’est la propagation d'une perturbation, qui produit sur son
passage une variation réversible de propriétés physiques locales.
Comme on peut modéliser l'intensité de la perturbation par
l'énergie, on peut dire qu'une onde est un transport d'énergie sans
transport de matière. Une onde se modélise par une fonction A(,t),
étant la position dans
l'espace (vecteur) et t étant le temps.
7. Polarisation :
C’est une propriété des ondes vectorielles telles que la lumière.
Le fait que ces ondes soient caractérisées par des vecteurs les
différentie des autres types d'ondes comme les ondes sonores, et
implique ce phénomène de polarisation.
8. Réflexion :
c’est le brusque changement de direction d'une onde à l'interface
de deux milieux. Après réflexion l'onde reste dans son milieu de
propagation initial.
9. Réfraction :
C’est la déviation d'une onde lorsque celle-ci change de milieu.
Plus généralement, la réfraction a lieu lors d'un changement
d'impédance du milieu, lorsque la vitesse de l'onde change entre
deux milieux.
10. Stigmatisme :
Un système est dit rigoureusement
stigmatique lorsque tous
les rayons issus d'un point ( source isogène ) et traversant le
système ont tous leurs supports concourants.
( source : oer.avu.org )
Capture de 8 rayons et une sphère de lumière ! ( appareil photographique instantané )
En photographiant un objet réfléchissant , j'ai capturé cette étonnante photo , 8 rayons avec une sphère de lumière blanche , dans mon ancien appartement . A l'évidence , ce phénomène s'est produit parce qu'il y a un système optique pulsé et ciblé de type laser femtoseconde .
jeudi 26 juillet 2012
mardi 24 juillet 2012
Un satellite espion peut surveiller une personne
Traduction
LA MENACE SHOCKING de surveillance par satellite
par John Fleming
19/06/2003
Inconnu de la plupart des pays, les satellites peuvent accomplir des prouesses étonnantes et souvent menaçant.Cela ne devrait pas surprenant quand on songe à l'effort massif versé dans la technologie des satellites depuis le satellite soviétique Spoutnik, lancé en 1957, a entraîné la panique aux États-Unis Un satellite espion peut surveiller une personne chaque mouvement, même lorsque la «cible» est à l'intérieur ou bien à l'intérieur d'un bâtiment ou voyager rapidement sur l'autoroute dans une voiture, dans tout type de temps (nuageux, pluvieux, orageux). Il n'ya pas de place pour se cacher sur la face de la terre.
Il prend seulement trois satellites à couverture dans le monde avec une capacité de détection. Outre suivi d'une personne est chaque action et de relayer les données vers un écran d'ordinateur sur la terre, des pouvoirs extraordinaires de satellites incluent la lecture des conversations d'une personne l'esprit de surveillance,, la manipulation des instruments électroniques et quelqu'un physiquement agressé par un faisceau laser. La lecture à distance de l'esprit de quelqu'un grâce à la technologie satellite est assez bizarre, mais cela se fait, c'est une réalité à l'heure actuelle, pas une chimère à partir d'une dystopie futuriste! Pour ceux qui pourraient croire ma description de la surveillance par satellite, je citerai simplement un proverbe essayé-et-vrai Romain: Time révèle toutes choses (tempus omnia revelat) ... Comme extraordinaires pouvoirs clandestins satellites sont, la technologie des satellites néanmoins prosaïque évidente dans la vie quotidienne. Entreprises par satellite aurait gagné 26 milliards de dollars en 1998. Nous pouvons regarder des émissions de télévision par satellite Transcontinental »,« faire de longue distance des appels téléphoniques transmis par satellite, être informés de la couverture nuageuse et des conditions météorologiques à travers des images satellites montrées à la télévision, et de trouver nos repères géographiques à l'aide de satellites dans le GPS ( Global Positioning System). Mais derrière la façade de la technologie par satellite utile est une boîte de Pandore de la technologie furtive. Les satellites espions - par opposition aux satellites pour la radiodiffusion et à l'exploration de l'espace - ont peu ou pas d'un usage civil - à l'exception, peut-être, à l'ennemi un sujet ou malfaiteur favori à la surveillance. En ce qui concerne la détection des choses de l'espace, Ford Rowan, auteur de Spies Techno, a écrit "certains satellites militaires américains sont équipés de capteurs infra-rouge qui permet de capter la chaleur générée sur terre par les camions, les avions, les missiles, et des voitures, de sorte que même les jours nuageux les capteurs peuvent pénétrer sous les nuages et de reproduire les schémas de l'émission de chaleur sur un écran de télévision de type. Au cours de la guerre du Vietnam ciel haute capteurs infra-rouge ont été testés qui détectent les soldats ennemis qui marchaient autour sur le terrain. " En utilisant cette référence, nous pouvons établir 1970 comme la date approximative du début de la surveillance par satellite - et la fin de la possibilité de la vie privée pour plusieurs personnes.
L'agence gouvernementale la plus fortement impliquée dans la technologie de surveillance par satellite est le Advanced Research Projects Agency (ARPA), un bras du Pentagone. La NASA est préoccupé par les satellites civils, mais il n'ya pas de ligne dure et rapide entre les satellites civils et militaires. La NASA lance tous les satellites, soit de Cap Kennedy en Floride ou Vandenberg Air Force Base en Californie, qu'ils soient militaires fonctionnant, affrétés par la CIA, des entreprises exploités en propre ou propre de la NASA. Dynamitage des satellites en orbite est une dépense importante. Il est également difficile de faire une distinction rapide entre le gouvernement et les satellites privés, la recherche par la NASA est souvent applicable à tous les types de satellites. Ni l'ARPA, ni la NASA rend satellites; au lieu, ils garantissent la technologie tandis que diverses sociétés de produire le matériel.
L'original
THE SHOCKING MENACE OF SATELLITE SURVEILLANCE
by John Fleming
2003-06-19
Unknown to most of the world, satellites can perform astonishing and often menacing feats. This should come as no surprise when one reflects on the massive effort poured into satellite technology since the Soviet satellite Sputnik, launched in 1957, caused panic in the U.S. A spy satellite can monitor a person's every movement, even when the "target" is indoors or deep in the interior of a building or traveling rapidly down the highway in a car, in any kind of weather (cloudy, rainy, stormy). There is no place to hide on the face of the earth.
It takes just three satellites to blanket the world with detection capacity. Besides tracking a person's every action and relaying the data to a computer screen on earth, amazing powers of satellites include reading a person's mind, monitoring conversations, manipulating electronic instruments and physically assaulting someone with a laser beam. Remote reading of someone's mind through satellite technology is quite bizarre, yet it is being done; it is a reality at present, not a chimera from a futuristic dystopia! To those who might disbelieve my description of satellite surveillance, I'd simply cite a tried-and-true Roman proverb: Time reveals all things (tempus omnia revelat)...
As extraordinary as clandestine satellite powers are, nevertheless prosaic satellite technology is much evident in daily life. Satellite businesses reportedly earned $26 billion in 1998. We can watch transcontinental television broadcasts "via satellite," make long- distance phone calls relayed by satellite, be informed of cloud cover and weather conditions through satellite images shown on television, and find our geographical bearings with the aid of satellites in the GPS (Global Positioning System). But behind the facade of useful satellite technology is a Pandora's box of surreptitious technology. Spy satellites--as opposed to satellites for broadcasting and exploration of space--have little or no civilian use--except, perhaps, to subject one's enemy or favorite malefactor to surveillance. With reference to detecting things from space, Ford Rowan, author of Techno Spies, wrote "some U.S. military satellites are equipped with infra-red sensors that can pick up the heat generated on earth by trucks, airplanes, missiles, and cars, so that even on cloudy days the sensors can penetrate beneath the clouds and reproduce the patterns of heat emission on a TV-type screen. During the Vietnam War sky high infra-red sensors were tested which detect individual enemy soldiers walking around on the ground." Using this reference, we can establish 1970 as the approximate date of the beginning of satellite surveillance--and the end of the possibility of privacy for several people.
The government agency most heavily involved in satellite surveillance technology is the Advanced Research Projects Agency (ARPA), an arm of the Pentagon. NASA is concerned with civilian satellites, but there is no hard and fast line between civilian and military satellites. NASA launches all satellites, from either Cape Kennedy in Florida or Vandenberg Air Force Base in California, whether they are military- operated, CIA-operated, corporate-operated or NASA's own. Blasting satellites into orbit is a major expense. It is also difficult to make a quick distinction between government and private satellites; research by NASA is often applicable to all types of satellites. Neither the ARPA nor NASA makes satellites; instead, they underwrite the technology while various corporations produce the hardware.
LA MENACE SHOCKING de surveillance par satellite
19/06/2003
Inconnu de la plupart des pays, les satellites peuvent accomplir des prouesses étonnantes et souvent menaçant.Cela ne devrait pas surprenant quand on songe à l'effort massif versé dans la technologie des satellites depuis le satellite soviétique Spoutnik, lancé en 1957, a entraîné la panique aux États-Unis Un satellite espion peut surveiller une personne chaque mouvement, même lorsque la «cible» est à l'intérieur ou bien à l'intérieur d'un bâtiment ou voyager rapidement sur l'autoroute dans une voiture, dans tout type de temps (nuageux, pluvieux, orageux). Il n'ya pas de place pour se cacher sur la face de la terre.
Il prend seulement trois satellites à couverture dans le monde avec une capacité de détection. Outre suivi d'une personne est chaque action et de relayer les données vers un écran d'ordinateur sur la terre, des pouvoirs extraordinaires de satellites incluent la lecture des conversations d'une personne l'esprit de surveillance,, la manipulation des instruments électroniques et quelqu'un physiquement agressé par un faisceau laser. La lecture à distance de l'esprit de quelqu'un grâce à la technologie satellite est assez bizarre, mais cela se fait, c'est une réalité à l'heure actuelle, pas une chimère à partir d'une dystopie futuriste! Pour ceux qui pourraient croire ma description de la surveillance par satellite, je citerai simplement un proverbe essayé-et-vrai Romain: Time révèle toutes choses (tempus omnia revelat) ... Comme extraordinaires pouvoirs clandestins satellites sont, la technologie des satellites néanmoins prosaïque évidente dans la vie quotidienne. Entreprises par satellite aurait gagné 26 milliards de dollars en 1998. Nous pouvons regarder des émissions de télévision par satellite Transcontinental »,« faire de longue distance des appels téléphoniques transmis par satellite, être informés de la couverture nuageuse et des conditions météorologiques à travers des images satellites montrées à la télévision, et de trouver nos repères géographiques à l'aide de satellites dans le GPS ( Global Positioning System). Mais derrière la façade de la technologie par satellite utile est une boîte de Pandore de la technologie furtive. Les satellites espions - par opposition aux satellites pour la radiodiffusion et à l'exploration de l'espace - ont peu ou pas d'un usage civil - à l'exception, peut-être, à l'ennemi un sujet ou malfaiteur favori à la surveillance. En ce qui concerne la détection des choses de l'espace, Ford Rowan, auteur de Spies Techno, a écrit "certains satellites militaires américains sont équipés de capteurs infra-rouge qui permet de capter la chaleur générée sur terre par les camions, les avions, les missiles, et des voitures, de sorte que même les jours nuageux les capteurs peuvent pénétrer sous les nuages et de reproduire les schémas de l'émission de chaleur sur un écran de télévision de type. Au cours de la guerre du Vietnam ciel haute capteurs infra-rouge ont été testés qui détectent les soldats ennemis qui marchaient autour sur le terrain. " En utilisant cette référence, nous pouvons établir 1970 comme la date approximative du début de la surveillance par satellite - et la fin de la possibilité de la vie privée pour plusieurs personnes.
L'agence gouvernementale la plus fortement impliquée dans la technologie de surveillance par satellite est le Advanced Research Projects Agency (ARPA), un bras du Pentagone. La NASA est préoccupé par les satellites civils, mais il n'ya pas de ligne dure et rapide entre les satellites civils et militaires. La NASA lance tous les satellites, soit de Cap Kennedy en Floride ou Vandenberg Air Force Base en Californie, qu'ils soient militaires fonctionnant, affrétés par la CIA, des entreprises exploités en propre ou propre de la NASA. Dynamitage des satellites en orbite est une dépense importante. Il est également difficile de faire une distinction rapide entre le gouvernement et les satellites privés, la recherche par la NASA est souvent applicable à tous les types de satellites. Ni l'ARPA, ni la NASA rend satellites; au lieu, ils garantissent la technologie tandis que diverses sociétés de produire le matériel.
L'original
THE SHOCKING MENACE OF SATELLITE SURVEILLANCE
2003-06-19
Unknown to most of the world, satellites can perform astonishing and often menacing feats. This should come as no surprise when one reflects on the massive effort poured into satellite technology since the Soviet satellite Sputnik, launched in 1957, caused panic in the U.S. A spy satellite can monitor a person's every movement, even when the "target" is indoors or deep in the interior of a building or traveling rapidly down the highway in a car, in any kind of weather (cloudy, rainy, stormy). There is no place to hide on the face of the earth.
It takes just three satellites to blanket the world with detection capacity. Besides tracking a person's every action and relaying the data to a computer screen on earth, amazing powers of satellites include reading a person's mind, monitoring conversations, manipulating electronic instruments and physically assaulting someone with a laser beam. Remote reading of someone's mind through satellite technology is quite bizarre, yet it is being done; it is a reality at present, not a chimera from a futuristic dystopia! To those who might disbelieve my description of satellite surveillance, I'd simply cite a tried-and-true Roman proverb: Time reveals all things (tempus omnia revelat)...
As extraordinary as clandestine satellite powers are, nevertheless prosaic satellite technology is much evident in daily life. Satellite businesses reportedly earned $26 billion in 1998. We can watch transcontinental television broadcasts "via satellite," make long- distance phone calls relayed by satellite, be informed of cloud cover and weather conditions through satellite images shown on television, and find our geographical bearings with the aid of satellites in the GPS (Global Positioning System). But behind the facade of useful satellite technology is a Pandora's box of surreptitious technology. Spy satellites--as opposed to satellites for broadcasting and exploration of space--have little or no civilian use--except, perhaps, to subject one's enemy or favorite malefactor to surveillance. With reference to detecting things from space, Ford Rowan, author of Techno Spies, wrote "some U.S. military satellites are equipped with infra-red sensors that can pick up the heat generated on earth by trucks, airplanes, missiles, and cars, so that even on cloudy days the sensors can penetrate beneath the clouds and reproduce the patterns of heat emission on a TV-type screen. During the Vietnam War sky high infra-red sensors were tested which detect individual enemy soldiers walking around on the ground." Using this reference, we can establish 1970 as the approximate date of the beginning of satellite surveillance--and the end of the possibility of privacy for several people.
The government agency most heavily involved in satellite surveillance technology is the Advanced Research Projects Agency (ARPA), an arm of the Pentagon. NASA is concerned with civilian satellites, but there is no hard and fast line between civilian and military satellites. NASA launches all satellites, from either Cape Kennedy in Florida or Vandenberg Air Force Base in California, whether they are military- operated, CIA-operated, corporate-operated or NASA's own. Blasting satellites into orbit is a major expense. It is also difficult to make a quick distinction between government and private satellites; research by NASA is often applicable to all types of satellites. Neither the ARPA nor NASA makes satellites; instead, they underwrite the technology while various corporations produce the hardware.
dimanche 22 juillet 2012
Journal
Le 22/07/2012 , 14 heures 58 . Ce matin , dès que je me suis réveillé , j'ai reçu deux impacts simultanément sur les jambes , à forte puissance , la douleur me poussait à bouger les jambes dans tous les sens .
samedi 21 juillet 2012
Adresse hebdomadaire: Se souvenir des victimes de l'Aurora, Colorado tournage
Le président Obama rend hommage aux victimes de la tragédie dans le Colorado, les personnes qui les connaissaient et les aimaient, et ceux qui luttent encore pour récupérer.
mercredi 18 juillet 2012
Son directionnel
( source : dobit.com/fr )
Système Audio directionnel
La technologie consiste en la projection d'une colonne de fréquences Ultrasoniques dans l'air. Normalement, ces Ultrasons sont inaudibles, mais en les faisant interagir avec de l'air, il devient possible d'entendre les sons à l'intérieur d'une colonne très délimitée.
Ce corridor sonore acoustique est créé quand l'air descendant convertit les fréquences d'ultrasons en des fréquences dont le spectre est audible pour l'oreille humaine.
Comme le son audible est produit à l'intérieur de la colonne d'ultrasons (qui est très directionnelle), on obtient une fonctionnalité très intéressante puisque l’audio peut alors être très étroitement dirigé et orienté à l'intérieur de la zone d'écoute.
( source : tkgeomedia.com )
Le support de transmission des trains d'impulsions femtosecondes , est à fibres à cristal photonique avec des trous d'air pour guider la lumière , photo ci-dessous .
Le dispositif utilise un modulateur acousto-optique ( MAO ) , c'est à dire des ultrasons , pour diffracter et changer la fréquence de la lumière par ondes sonores ( généralement proche des fréquences radio ) .
Un oscillateur piézo-électrique est relié à un matériau , par exemple du verre . Un signal électrique oscillant force la cellule piézo-électrique à vibrer , ce qui crée des ondes sonores dans le verre . Ceci peut être imaginé comme des plans de dilatation et de compression se déplaçant périodiquement , et venant changer l'indice de réfraction . La lumière entrante est dispersée ( voir dispersion Brillouin ) en dehors de la modulation périodique de l'indice résultante , et une interférence a lieu similaire à celle créée lors d'une diffraction de Bragg . L'interraction peut être pensée comme le mélange de quatre ondes entre phonons et photons .
Acousto-optique
L’Acousto-optique est une branche de la physique étudiant les interactions entre les ondes sonores
et les ondes lumineuses, en particulier la diffraction d'un laser par les ultrasons et les ondes sonores en général.
et les ondes lumineuses, en particulier la diffraction d'un laser par les ultrasons et les ondes sonores en général.
( source : Wikipédia )
Capture du signal acoustique généré par un laser femtoseconde
Capture du signal acoustique ( propagation dans le milieu ambiant )
Lieu : domicile
Date : 18/07/2012
Logiciel : Waver ( Micrelec )
Composition de signaux triangulaires
Composante Fréquence(Hz) Amplitude(0..127)
1 35 29
2 70 39
3 105 57
4 140 38
5 175 36
6 210 118
7 245 61
8 280 6
9 315 84
10 350 27
11 385 39
12 420 74
13 455 56
14 490 15
15 525 66
16 560 51
17 595 52
18 630 51
19 665 47
20 700 30
21 735 51
22 770 53
23 805 60
24 840 52
25 875 78
26 910 61
27 945 73
28 980 48
29 1015 13
30 1050 104
31 1085 93
32 1120 78
33 1155 43
34 1190 61
35 1225 87
36 1260 42
37 1295 61
38 1330 81
39 1365 56
40 1400 39
41 1435 47
42 1470 75
43 1505 48
44 1540 80
45 1575 61
46 1610 40
47 1645 63
48 1680 52
49 1715 32
50 1750 53
51 1785 24
52 1820 17
53 1855 47
54 1890 27
55 1925 31
56 1960 28
57 1995 44
58 2030 22
59 2065 55
60 2100 50
61 2135 26
62 2170 35
63 2205 42
64 2240 27
65 2275 27
66 2310 56
67 2345 13
68 2380 35
69 2415 67
70 2450 21
71 2485 23
72 2520 54
73 2555 32
74 2590 34
75 2625 64
76 2660 20
77 2695 24
78 2730 48
79 2765 21
80 2800 25
81 2835 35
82 2870 3
83 2905 8
84 2940 27
85 2975 11
86 3010 6
87 3045 30
88 3080 26
89 3115 39
90 3150 40
91 3185 15
92 3220 25
93 3255 22
94 3290 5
95 3325 30
96 3360 6
97 3395 5
98 3430 15
99 3465 4
100 3500 11
101 3535 23
102 3570 8
2.1.6 Cellule acousto-optique (Modulateur Opto-Acoustique :
MOA)
Cette cellule est constituée d'un cristal de dioxyde de tellure T eO2 parcouru par un signal de fréquence porteuse 80 MHz, modulé en amplitude par une fonction choisie carrée de 750 kHz pour nos mesures ( gure 2.4). La tension déterminant l'amplitude crête à crête vaut 5 V (2,5 V de part et d'autre de la ligne zéro en amplitude). Le signal acoustique modulé agit comme un réseau de Bragg sur le faisceau incident à la cellule provenant du PBS et permet ainsi une di raction par interaction élasto-optique au c÷ur du matériau
T eO2. Il y a alors production d'ordres successifs de di raction k0 et k 1, k+1 et k1 représentant deux ordres de di raction selon deux directions divergentes de 2 D entre elles. D est dé ni par la relation classique (2.1), v(T eO2)= v = 4200m:s 1 étant la vitesse du son dans le T eO2, n étant l'indice dans le T eO2 à 800 nm, valant 2,2, et f étant la fréquence de la porteuse acoustique modulée (80 MHz) supportant les formes carrées de la tension (choisie carrée).
( source : http://tel.archives-ouvertes.fr )
Droits de la personne
Code de la santé publique
Article L1110-1
Le droit fondamental à la protection de la santé doit être mis en oeuvre par tous moyens disponibles au bénéfice de toute personne. Les professionnels, les établissements et réseaux de santé, les organismes d'assurance maladie ou tous autres organismes participant à la prévention et aux soins, et les autorités sanitaires contribuent, avec les usagers, à développer la prévention, garantir l'égal accès de chaque personne aux soins nécessités par son état de santé et assurer la continuité des soins et la meilleure sécurité sanitaire possible.
Article L1110-1
Le droit fondamental à la protection de la santé doit être mis en oeuvre par tous moyens disponibles au bénéfice de toute personne. Les professionnels, les établissements et réseaux de santé, les organismes d'assurance maladie ou tous autres organismes participant à la prévention et aux soins, et les autorités sanitaires contribuent, avec les usagers, à développer la prévention, garantir l'égal accès de chaque personne aux soins nécessités par son état de santé et assurer la continuité des soins et la meilleure sécurité sanitaire possible.
Qu'est-ce que le secret défense ?
publié
• Les types de documents concernés. Selon l'article 413-9 du code pénal, présentent un caractère de secret de la défense nationale les «renseignements, procédés, objets, documents, données informatiques ou fichiers qui ont fait l'objet de mesures de protection destinées à restreindre leur diffusion». La Présidence de la République, les services du premier ministre et tous les ministères peuvent être amenés à «classifier» des documents et non seulement le ministère de la Défense. Mais dans la pratique, l'Elysée, Matignon, les ministères des Affaires étrangères, de l'Intérieur, l'Economie ou la Santé sont principalement détenteurs de documents classifiés. Depuis juin dernier, le secret défense est également étendu à certains lieux.
• Trois niveaux de classification. «Très secret défense», «secret défense» et «confidentiel défense» : ces trois niveaux (par ordre décroissant d‘importance) sont matérialisés par l'apposition de tampons ou de marquages. Le premier ministre est l'autorité compétente pour définir les critères et les modalités des éléments classifiés «Très secret défense» qui concernent les priorités gouvernementales majeures de défense. La classification des autres éléments est de la seule responsabilité de chaque ministre, à l'intérieur de son département ministériel. Les éléments classifiés peuvent également être émis par d'autres autorités que des autorités administratives françaises. Il existe en effet des accords de sécurité liant la France à des Etats étrangers et des réglementations internationales qui permettent de classifier des éléments émis par des organisations internationales. Il s'agit notamment de l'accord de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (Otan) pour la sécurité de l'information du 6 mars 1997 ou de l'instruction 2100 d'application du règlement de sécurité du 19 mars 2001 du Conseil de l'Union européenne.
• La déclassification des documents sensibles. Seule l'autorité qui a ordonné de classer un document secret-défense peut en ordonner la déclassification. Toutefois, dans le cadre d'une information judiciaire, pour faire progresser son enquête, le juge d'instruction peut être amené à solliciter un ministère pour lui demander de lever le secret-défense sur certains documents. Le ministère concerné saisit alors pour avis la Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN), créée en 1998. Autorité administrative indépendante, elle compte cinq membres : deux parlementaires (un de la majorité et l'autre de l'opposition), un président, un vice-président, et un magistrat honoraire de la Cour de cassation.
La commission dispose alors de deux mois pour rendre un avis consultatif (déclassification totale ou partielle, maintien de la classification) sur chaque document. Les avis de la CCSDN sont publiés au Journal officiel dans les quinze jours suivants sa décision mais ne comportent pas les motivations de la commission. Chaque avis est accompagné d'un «relevé d'observations», réservé au ministre concerné. Il revient ensuite au ministre de décider ou non de déclassifier. Sur quelque 140 avis de la CCSDN, la quasi-totalité a été suivie par les autorités concernées.
• Les types de documents concernés. Selon l'article 413-9 du code pénal, présentent un caractère de secret de la défense nationale les «renseignements, procédés, objets, documents, données informatiques ou fichiers qui ont fait l'objet de mesures de protection destinées à restreindre leur diffusion». La Présidence de la République, les services du premier ministre et tous les ministères peuvent être amenés à «classifier» des documents et non seulement le ministère de la Défense. Mais dans la pratique, l'Elysée, Matignon, les ministères des Affaires étrangères, de l'Intérieur, l'Economie ou la Santé sont principalement détenteurs de documents classifiés. Depuis juin dernier, le secret défense est également étendu à certains lieux.
• Trois niveaux de classification. «Très secret défense», «secret défense» et «confidentiel défense» : ces trois niveaux (par ordre décroissant d‘importance) sont matérialisés par l'apposition de tampons ou de marquages. Le premier ministre est l'autorité compétente pour définir les critères et les modalités des éléments classifiés «Très secret défense» qui concernent les priorités gouvernementales majeures de défense. La classification des autres éléments est de la seule responsabilité de chaque ministre, à l'intérieur de son département ministériel. Les éléments classifiés peuvent également être émis par d'autres autorités que des autorités administratives françaises. Il existe en effet des accords de sécurité liant la France à des Etats étrangers et des réglementations internationales qui permettent de classifier des éléments émis par des organisations internationales. Il s'agit notamment de l'accord de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (Otan) pour la sécurité de l'information du 6 mars 1997 ou de l'instruction 2100 d'application du règlement de sécurité du 19 mars 2001 du Conseil de l'Union européenne.
• La déclassification des documents sensibles. Seule l'autorité qui a ordonné de classer un document secret-défense peut en ordonner la déclassification. Toutefois, dans le cadre d'une information judiciaire, pour faire progresser son enquête, le juge d'instruction peut être amené à solliciter un ministère pour lui demander de lever le secret-défense sur certains documents. Le ministère concerné saisit alors pour avis la Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN), créée en 1998. Autorité administrative indépendante, elle compte cinq membres : deux parlementaires (un de la majorité et l'autre de l'opposition), un président, un vice-président, et un magistrat honoraire de la Cour de cassation.
La commission dispose alors de deux mois pour rendre un avis consultatif (déclassification totale ou partielle, maintien de la classification) sur chaque document. Les avis de la CCSDN sont publiés au Journal officiel dans les quinze jours suivants sa décision mais ne comportent pas les motivations de la commission. Chaque avis est accompagné d'un «relevé d'observations», réservé au ministre concerné. Il revient ensuite au ministre de décider ou non de déclassifier. Sur quelque 140 avis de la CCSDN, la quasi-totalité a été suivie par les autorités concernées.
La réforme de 2009 étend le secret défense à des lieux
Un projet de loi de programmation militaire (LPM) examiné en juin 2009 prévoyait d'étendre le secret défense à des lieux, et non plus seulement à des documents, au nom d'une clarification des règles. De quoi provoquer la colère des magistrats, qui y voyaient une restriction de leurs pouvoirs d'enquête. Jusqu'à présent, la loi ne prévoyait pas le cas - rare - où un juge d'instruction ou des policiers tombaient sur des documents classifiés lors d'une perquisition. N'étant pas habilités, ils pouvaient être poursuivis pour «compromission du secret de la défense nationale».
Un projet de loi de programmation militaire (LPM) examiné en juin 2009 prévoyait d'étendre le secret défense à des lieux, et non plus seulement à des documents, au nom d'une clarification des règles. De quoi provoquer la colère des magistrats, qui y voyaient une restriction de leurs pouvoirs d'enquête. Jusqu'à présent, la loi ne prévoyait pas le cas - rare - où un juge d'instruction ou des policiers tombaient sur des documents classifiés lors d'une perquisition. N'étant pas habilités, ils pouvaient être poursuivis pour «compromission du secret de la défense nationale».
Le Syndicat de la magistrature est alors monté au créneau : selon lui le projet «a été conçu à la suite d'investigations qui ont semé l'émoi dans les milieux politiques et militaires. L'instruction de l'affaire des frégates de Taïwan, la perquisition à l'Elysée dans l'affaire Borrel et surtout celle dans l'affaire Clearstream au siège de la DGSE».
Finalement, un compromis est trouvé à la dernière minute entre les députés, avec la bénédiction de Matignon. Les «lieux classifiés ne le seront ainsi que pour cinq ans, l'éventuelle prolongation de cette classification fera l'objet d'une nouvelle procédure et la décision de classification du premier ministre sera rendue publique».
( source : Samuel Potier )Un projet de loi de programmation militaire (LPM) examiné en juin 2009 prévoyait d'étendre le secret défense à des lieux, et non plus seulement à des documents, au nom d'une clarification des règles. De quoi provoquer la colère des magistrats, qui y voyaient une restriction de leurs pouvoirs d'enquête. Jusqu'à présent, la loi ne prévoyait pas le cas - rare - où un juge d'instruction ou des policiers tombaient sur des documents classifiés lors d'une perquisition. N'étant pas habilités, ils pouvaient être poursuivis pour «compromission du secret de la défense nationale».
Le Syndicat de la magistrature est alors monté au créneau : selon lui le projet «a été conçu à la suite d'investigations qui ont semé l'émoi dans les milieux politiques et militaires. L'instruction de l'affaire des frégates de Taïwan, la perquisition à l'Elysée dans l'affaire Borrel et surtout celle dans l'affaire Clearstream au siège de la DGSE».
Finalement, un compromis est trouvé à la dernière minute entre les députés, avec la bénédiction de Matignon. Les «lieux classifiés ne le seront ainsi que pour cinq ans, l'éventuelle prolongation de cette classification fera l'objet d'une nouvelle procédure et la décision de classification du premier ministre sera rendue publique».
mardi 17 juillet 2012
Journal
Le 18/07/2012 , 8 heures 16 . La pression de radiation est très très forte en ce moment , je ressens des vibratoires très rapides et de l'agitation , pression oculaire , vision trouble par moment , mal aux yeux , fatigue , variation continue de pression acoustique modulée en amplitude ( à l'évidence par synthèse sonore ) .
Signal acoustique capturé dans le milieu ambiant du domicile
![]() |
Signal |
Zoom x 4
Capture dans le milieu ambiant du domicile
Logiciel : Waver ( Micrelec )
Date : 17/07/2012
Composition de signaux carrés
Composante Fréquence(Hz) Amplitude(0..127)
1 60 118
2 120 41
3 180 16
4 240 44
5 300 10
6 360 12
7 420 22
8 480 7
9 540 25
10 600 3
11 660 4
12 720 9
13 780 3
14 840 7
15 900 4
16 960 9
17 1020 5
18 1080 13
19 1140 11
20 1200 18
21 1260 4
22 1320 7
23 1380 9
24 1440 17
25 1500 7
26 1560 12
27 1620 9
28 1680 6
29 1740 9
30 1800 9
31 1860 2
32 1920 1
33 1980 5
34 2040 5
35 2100 1
36 2160 1
37 2220 4
38 2280 2
39 2340 2
40 2400 1
41 2460 2
42 2520 4
43 2580 4
44 2640 3
45 2700 2
46 2820 1
47 2880 5
48 2940 5
49 3000 4
50 3060 3
51 3120 3
52 3180 7
53 3240 6
54 3300 6
55 3360 2
56 3420 2
57 3480 1
58 3600 1
59 3660 3
60 3720 4
61 3780 2
62 3840 1
63 3900 2
64 3960 2
65 4020 2
66 4080 2
67 4140 2
68 4200 2
69 4260 1
70 4320 2
71 4380 1
72 4440 1
73 4500 3
74 4560 3
75 4620 2
76 4680 1
77 4740 1
78 4800 3
79 4860 3
80 4920 2
81 4980 2
82 5040 1
83 5100 2
84 5160 1
85 5220 1
86 5280 2
87 5340 2
88 5400 2
89 5460 1
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