30 mars 2013

Message nerveux

Lors d'un réflexe, différents messages nerveux circulent à travers le système nerveux. L'étude de ces messages nous permet de dire qu'ils sont chargés électriquement.

Propriétés électriques d'un neurone

La membrane d'un neurone possède une polarité naturelle qu'on nomme potentiel de repos. Lorsqu'aucune stimulation n'est appliquée, la membrane est chargée positivement, alors que l'axoplasme (cytoplasme) est lui, chargé négativement. 

Si l'on stimule électriquement ce neurone, on remarque qu'une dépolarisation se produit : l'espace d'un instant, l'axoplasme se charge positivement alors que la membrane devient négative. En effet, la concentration du K+ intracellulaire est supérieure à la concentration du Na+ extracellulaire. 

On remarque que cette dépolarisation se propage le long de l'axone. La vitesse de propagation est d'autant plus grande que le diamètre de l'axone est grand et sa membrane myélinisée. En effet, la gaine de myéline provoque l'accélération de la transmission. 

En présence de la gaine de myéline, la conduction du message est dite saltatoire. Si la fibre est amyélinisée (dépourvue de gaine de myéline), la transmission sera plus lente dite de proche en proche. La dépolarisation momentanée d'un neurone est appelée potentiel d'action ou Pa. Le neurone réagit de la même façon à une stimulation le temps que celle-ci dépasse l'intensité dite seuil.

Le message nerveux

Le message nerveux est codé en fréquence de potentiels d'action (Pa). On remarque que le nombre de potentiels d'action varie en fonction de l'intensité: plus l'information à transmettre est intense, plus la fréquence de potentiels d'action sera importante. C'est-à-dire que l'information transmise sera toujours de même intensité (en ampères) mais plus fréquemment diffusé dans un même temps donné (souvent 1ms). 

Le message nerveux est aussi codé dans le temps : si on prolonge une stimulation électrique qui crée au départ un seul potentiel d'action, on constate au bout d'un certain temps qu'un second s'est formé.

La fente synaptique

L'arrivée d'un potentiel d'action à la terminaison d'une fibre nerveuse (dite présynaptique), entraîne le phénomène d'exocytose des molécules neurotransmettrices (c’est-à-dire que les neurotransmetteurs traversent la membrane présynaptique pour se rendre dans la fente synaptique). Les neurotransmetteurs se fixent alors aux récepteurs qui leur sont spécifiques sur la membrane postsynaptique.
Deux cas de figure sont alors possibles :
  • si les neurotransmetteurs sont dits excitateurs, un potentiel postsynaptique excitateur se crée alors sur la fibre postsynaptique.
  • si les neurotransmetteurs sont dits inhibiteurs, un potentiel postsynaptique inhibiteur se crée alors sur la fibre postsynaptique.
certains neurones sont spécialisés dans la production de tel ou tel neurotransmetteurs (ex:neurones dopaminergiques), mais la grande majorité agissent comme des centres d'aiguillage pouvant recevoir la plupart des neurotransmetteurs et en les transmettant eux-mêmes à d'autres en modulant parfois le message et l'intensité (chimique et electrique)de ceux-ci. Les neurotransmetteurs sont très vites dégradés par des enzymes et retournent en morceaux dans le neurone présynaptique.
Le PPS inhibiteur crée en fait une hyperpolarisation de la membrane qui n'est pas favorable au potentiel d'action.
Le PPS excitateur crée en fait une légère dépolarisation de la membrane qui va dans le sens du potentiel d'action.
( source : Wikipédia )

Système nerveux périphérique


Le système nerveux périphérique (SNP) est la partie du système nerveux formée des ganglions et des nerfs à l'extérieur du cerveau et de la moelle épinière. Sa fonction principale est de faire circuler l'information entre les organes et le système nerveux central (SNC). À l'inverse du SNC, le SNP n'est pas protégé par les os du crane et de la colonne ; il n'est pas non plus recouvert par la barrière hémato-encéphalique qui assure l'isolation du SNC. Ce manque de défense laisse le SNP beaucoup plus exposé aux lésions mécaniques et aux toxines1.
Le système nerveux périphérique comprend le système nerveux somatique et le système nerveux autonome. Les nerfs crâniens font également partie du SNP, à l'exception notable du nerf optique (nerf cranien n° II) et de la rétine qui sont une extension du diencéphale2.
Une des caractéristiques du SNP est la présence de cellule de Schwann qui myélinise une grande partie des axones périphériques ; alors que dans le SNC, ce sont les oligodendrocytesqui remplissent cette fonction.

Neurotransmetteurs
Les deux principaux neurotransmetteurs du système nerveux périphérique sont l'acétylcholine et la noradrénaline.
( source : Wikipédia )

29 mars 2013

Avertissement : encore un message écrit à mon insu sur mon blog

la lumière laser peut être focalisée en un point

« Depuis cinquante ans, le laser a permis des avancées techniques variées allant du CD à la chirurgie des yeux. Des applications qui reposent toutes sur le fait que la lumière laser peut être focalisée en un point mais qui diffèrent par la puissance du rayon. Dans le cas du lecteur CD, le rayon est non destructif alors que dans le second cas, il est suffisamment intense pour détruire, brûler des tissus. » Il suffit d'avoir déjà tenu une loupe en plein soleil pour avoir un aperçu du phénomène : en focalisant la lumière solaire (0,1 watt par centimètre carré) en un point, il devient possible d'atteindre 100 watts par centimètre carré et d'enflammer un papier.
« De l'intensité du rayon dépend donc le type d'applications envisageables », explique Antoine Rousse tout en s'avançant dans la pièce. Tic. Sur la gauche, derrière une séparation, un bruit étrange. Tic, tic. Comme si quelqu'un tapotait une table de son ongle. Tic. « Ici, nous travaillons sur les applications possibles de faisceaux très intenses, – Tic, tic – et pas n'importe lesquels, des lasers femtosecondes. »

Une lumière étirée puis contractée

« Contrairement à une idée assez répandue, le rayon laser n'est pas constitué d'une seule longueur d'onde mais de plusieurs, qui sont voisines les unes des autres. C'est cette propriété qui nous permet d'étirer et de contracter la lumière. » Car en faisant passer la lumière au travers d'une sorte de store, il est possible de séparer les ondes et d'étirer le rayon laser. « Ce faisant, on répartit, on étale l'énergie contenue dans le flash laser initial. Une astuce qui permet d'amplifier ensuite la puissance du rayon sans pour autant faire fondre ou éclater les optiques qui servent à diriger le faisceau lumineux. »


Et lorsque l'énergie acquise par le faisceau est suffisante, les chercheurs n'ont plus qu'à le faire passer par un autre « store » afin de contracter la lumière et obtenir un flash laser de très courte durée (quelques femtosecondes) mais extrêmement puissant.
( source : universcience )

Les sources supercontinuum

L’étude de la lumière blanche au XVIIIème siècle a permis de comprendre que celle-ci est constituée d’un continuum de longueurs d’onde.

De nombreuses applications utilisent des sources de lumières blanches, depuis la physique pour la spectroscopie, jusqu’à la biologie avec le développement récent de la tomographie optique cohérente [1].

Afin de pourvoir à ces applications demandeuses de sources de lumières de plus en plus puissantes avec des spectres d’émission de plus en plus large, plusieurs types de sources blanches ont été mises au point.

Dans un premier temps, les lampes à incandescences puis à arc électrique ont été développées. Puis, plus récemment, les sources supercontinuum ont vu le jour. Ces dernières permettent une émission de lumière spatialement cohérente ayant un spectre ultra-large allant de l’ultraviolet à l’infrarouge.

Les sources supercontinuum sont générées en propageant un signal laser de forte puissance dans un milieu non-linéaire.

( source : Bertrand CHARLET )

28 mars 2013

Dazzler

Dazzler : système de façonnage d'impulsions via le contrôle d'amplitude et de phase spectrale des impulsions issues de lasers femtosecondes
( source : .opticsvalley )




Tomographie

La tomographie est une technique d’imagerie, très utilisée dans l’imagerie médicale, ainsi qu’en géophysique et en astrophysique. Cette technique permet de reconstruire le volume d’un objet à partir d’une série de mesures effectuées par tranche depuis l’extérieur de cet objet.

Principe

La tomographie (racine grecque tomêcoupe, et ainsi représentation en coupes) est une technique qui consiste à reconstruire le volume d’un objet (le corps humain dans le cas de l’imagerie médicale, une structure géologique dans le cas de la géophysique) à partir d’une série de mesures déportées à l’extérieur de l’objet. Ces mesures peuvent être effectuées à la surface même ou à une certaine distance. Le résultat est une reconstruction de certaines propriétés de l’intérieur de l’objet, selon le type d’information que fournissent les capteurs (capture d’une particule, pression acoustique, atténuation d’un faisceau lumineux, différence de vitesse ou de polarisation d’ondes sismique…).
( source : Wikipédia )

Génération de seconde harmonique

Schéma, une impulsion de fréquence ω arrive sur un cristal non linéaire qui génère une onde résiduelle à ω et une onde à 2ω.


La génération de seconde harmonique (GSH, également appelé doublage de fréquence) est un phénomène d'optique non-linéaire dans lequel des photons interagissant avec un matériau non-linéaire sont combinés pour former de nouveaux photons avec le double de l'énergie, donc avec le double de la fréquence ou la moitié de la longueur d'onde des photons initiaux.
Ce phénomène, découvert peu après le laser à rubis, est encore très utilisé aujourd'hui pour augmenter la fréquence des lasers visibles vers l'ultraviolet ou les rayons X faibles1.
( source : Wikipédia )

Ligne de champ

Lignes de champ électrique autour de deux particules de même
charges (gauche) et de charges opposées (droite).

En physique et en mathématiques, afin de visualiser un champ vectoriel, on utilise souvent la notion de ligne de champ. C'est, en première approximation, le chemin que l'on suivrait en partant d'un point et en suivant les vecteurs. Ces lignes de champ sont orthogonales aux équipotentielles du même champ.
D'un point de vue infinitésimal, les lignes de champ d'un champ Φ sont les courbes dirigées localement par un élément de droite dr qui vérifie :
\mathrm{det} \left( \mathbf \Phi , \mathrm d \mathbf r \right) = 0.
Un certain nombre de quantités, comme le rotationnel ou la divergenceen un point, peuvent ainsi être « observées ». Si des applications des lignes de champ, comme celles du potentiel de Douady-Hubbart pour l'ensemble de Mandelbrot, restent purement théoriques, les lignes de champ peuvent présenter une interprétation physique 
( source : Wikipédia )

26 mars 2013

Acoustique cohérente : le terahertz est franchi !

L’alliance des lasers femtosecondes et des techniques pompe-sonde a fait naître il y a une vingtaine d’années, le domaine de l’acoustique picoseconde, qui a permis les premières études acoustiques au-delà de 100GHz. Un moyen classique d’obtenir des hautes fréquences en acoustique picoseconde est d’utiliser un film mince métallique qui génère, après absorption d’une impulsion laser femtoseconde « pompe », une impulsion acoustique brève. Le même film métallique permet ensuite de détecter les échos induits par l’impulsion acoustique brève, grâce à la mesure du changement de réflectivité d’une impulsion laser « sonde », dû à la modification des propriétés optiques par le passage de l’onde acoustique et du déplacement de surface induit. On peut alors émettre et détecter des impulsions acoustiques dont le contenu fréquentiel peut atteindre 250 GHz.

Mais les chercheurs de l’INSP, souhaitaient effectuer une expérience d’acoustique au THz, c’est-à-dire émettre, faire propager sur une grande distance, puis détecter des ondes cohérentes à 1 THz avec d’autres transducteurs que les films métalliques.

La solution retenue par l’équipe est l’utilisation de super-réseaux, se présentant comme un empilement périodique d’une bicouche, dont les matériaux constitutifs offrent des impédances acoustiques différentes. En outre, ces chercheurs avaient déjà montré qu’ils étaient de bons générateurs quasi monochromatiques, dont la fréquence des phonons émis est imposée par la périodicité de l’empilement. A l’époque, l’utilisation de films métalliques n’avait pas permis de sonder des fréquences émises très élevées [1,2].

Ici, les membres de l’INSP ont étudié un échantillon constitué de part et d’autre, d’un substrat de GaAs, de deux super-réseaux AlAs/GaAs, dont la croissance a été assurée par Laboratoire de Photonique et de Nanostructures. L’un joue le rôle d’émetteur, générant des phonons, préférentiellement avec le vecteur d’onde q = 0, à une fréquence de 1 THz si la période du superréseau est de 5 nm ; l’autre, permet, après propagation dans le substrat, de détecter les phonons émis.

Le processus de détection faisant intervenir une règle de conservation sur les vecteurs d’onde, seuls les modes de phonons qui satisfont q = 2 k (k : vecteur d’onde de la lumière) seront détectés. Un super-réseau différent doit donc servir de détecteur !

Ce second super-réseau présente en fait, un gradient d’épaisseur, ce qui permet d’ajuster sa période. La position du faisceau-sonde sur l’échantillon permet alors d’optimiser la détection des phonons générés. L’échantillon est maintenu à une température de 15K, afin de rendre négligeable l’atténuation des ondes 
acoustiques.


JPEG
.

Dans ces conditions, l’équipe a pu montrer que des trains d’ondes monochromatiques de 1 THz étaient générés, se propageaient sur 350 microns et étaient détectés de l’autre côté du substrat. Il a été ainsi possible de mettre en évidence la dispersion de vitesse des ondes acoustiques induite par la nature discrète du réseau cristallin et de déduire précisément ce paramètre, grâce à la mesure du retard entre les ondes à 1 THz et celles de basse fréquence.

JPEG
(a) Signal temporel . t0 est le temps d’arrivée du signal acoustique après traversée de l’échantillon. On voit principalement une oscillation, qui correspond à l’oscillation Brillouin à 50 GHz.
(b) Zoom sur une période de l’oscillation Brillouin, où l’on distingue l’oscillation plus rapide à 1 THz.
(c) Filtrage fréquentiel autour de 1 THz ; on remarque le retard δt accumulé pendant la propagation par rapport à la basse fréquence Brillouin.

( source : insp.upmc )

Signal électrique

Un signal électrique est une grandeur électrique mesurable variant dans le temps ou dans l'espace et permettant de transporter une information. Il peut s'agir d'une différence de potentiel, de l'intensité d'un courant électrique qui se présente sous forme périodique,logiqueanalogique, pour ne citer que les plus utilisés, ou plus généralement d'une onde électromagnétique (onde radio par exemple).
Une particularité des signaux électriques est leur facilité de transmission, d'acquisition et de stockage. Le développement de l'électronique les rend également très accessibles et faciles à manipuler.
Le signal électrique dépend d'une fréquence. Nous pouvons traiter un signal électrique, c'est-à-dire choisir certaines gammes de fréquence de ce signal grâce à des circuits spécifiques (RLCRLRCetc.), c'est ce que l'on appelle communément le filtrage d'un signal électrique. Nous pouvons aussi traiter des signaux lumineux et autres.
( source : Wikipédia )

Bande passante

La bande passante (angl. bandwidth) est un intervalle de fréquences pour lesquelles l'amplitude de la réponse d'un système correspond à un niveau de référence, donc sur lequel ce système peut être considéré comme 'fiable'. Il s'applique alors pareillement à des systèmes électronique, de radiodiffusion ou mécanique et acoustique.

Exemples de bandes passantes

  • Sons audibles : 20 Hz - 20 kHz
  • Voix : 50 Hz - 3 kHz
  • Signal téléphonique : 300 Hz - 3 4 kHz (soit 3 400 Hz)
  • Sons qualité RNIS (téléphonie numérique) : 40 Hz - 7 kHz (soit 7 000 Hz)
  • Sons qualité radio FM : 40 Hz - 15 kHz (soit 15 000 Hz)
  • Signal de télévision PAL pour 1 canal : 6 MHz (soit 6 000 kHz ou 6 000 000 Hz)
  • Signal de télévision SÉCAM pour 1 canal : 8 MHz (soit 8 000 kHz ou 8 000 000 Hz)
  • ( source : Wikipédia )

Valeur efficace

En électricité, la valeur efficace d’un courant ou d'une tension variables au cours du temps, correspond à la valeur d'un courant continu ou d'une tension continue qui produirait un échauffement identique dans une résistance.
( source : Wikipédia )

25 mars 2013

Lignes magnétiques d'un réseau en " damier "







Self-induction sur les personnes ciblées

Le 25/03/2013 , 8 heures 29 . J'ai longtemps cherché à connaître par quels moyens techniques ces criminels pouvaient cibler et faire d'aussi mauvaises choses sur des personnes .

Je viens de m’apercevoir que c'est essentiellement grâce à la self-induction .

Selon le théorème d'Ampère tout courant parcourant un circuit crée un champ magnétique à travers la section qu'il entoure. Or, les deux trains d'impulsions femtosecondes simultanés et décalés du faisceau laser interfèrent entre eux, ce qui génère des flashs intenses de lumière blanche dit " supercontinuum " . Ce supercontinum entoure le corps avec plus ou moins d'intensité . Le courant du supercontinuum crée donc un champ magnétique à travers le corps . 

La preuve en est rapportée par un appareil de mesure ( Fluke 199 C) qui détecte une forte tension ( en volt efficace) sur le corps....




24 mars 2013

L'agitation thermique de l'électricité dans les conducteurs

Le bruit thermique est l'extension à l'électricité des phénomènes inhérents à la température observés dans les liquides et les gaz. Pour les mettre en évidence, il avait fallu que l'électronique, avec le développements des tubes atteigne un certain degré de maturité. Le bruit thermique a été mesuré pour la première fois en 1927 par le physicien John Bertrand Johnson aux célèbres Bell Labs 1. Son articleThermal Agitation of Electricity in Conductors montrait que des fluctuations statistiques se produisaient dans tous les conducteurs électriques
( source : Wikipédia )

Le courant induit par le rayonnement à énergie dirigée ( impulsions laser femtosecondes), génère ce type de bruit thermique, il peut être capturé avec un petit magnétophone, microphone posé sur la peau .

Courants de Foucault

On appelle courants de Foucault les courants électriques créés dans une masse conductrice, soit par la variation au cours du temps d'un champ magnétique extérieur traversant ce milieu (le flux du champ à travers le milieu), soit par un déplacement de cette masse dans un champ magnétique constant. Ils sont une conséquence de l'induction magnétique.

Principe

Le champ magnétique variable au cours du temps est responsable de l'apparition d'une force électromotrice à l'intérieur du milieu conducteur. Cette force électromotrice induit des courants dans la masse. Ces courants ont deux effets :
  • ils provoquent un échauffement par effet Joule de la masse conductrice ;
  • ils créent un champ magnétique qui s'oppose à la cause de la variation du champ extérieur (loi de Lenz).
( source : Wikipédia )

Flux magnétique

Le flux magnétique ou flux d'induction magnétique, souvent noté \Phi, est une grandeur physique mesurable caractérisant l'intensité et la répartition spatiale du champ magnétique.

Induction
Lorsque le flux du champ magnétique qui traverse un circuit conducteur varie au cours du temps, il apparaît dans ce circuit une tension induite.

( source : Wikipédia )

22 mars 2013

Prosodie

D'une manière générale, la prosodie est l'inflexion, le ton, la tonalité, l'intonation, l'accent, la modulation que nous donnons à notre langage oral en fonction de nos émotions et de l'impact que nous désirons avoir sur nos interlocuteurs1.
( source : Wikipédia )

Phonétique acoustique

La phonétique acoustique est une partie de la linguistique qui a pour but de classer les sons en fonction de leur perception par le locuteur. On distingue deux sous-branches qui diffèrent selon la méthode adoptée : la phonétique auditive et la phonétique acoustique scientifique.
  • La phonétique auditive propose un classement basé sur les impressions auditives provoquées par les sons du langage. Si elle ne parvient pas à un classement raisonné, elle marque néanmoins de manière durable la terminologie utilisée dans le classement articulatoire. Par exemple, le terme « chuintant » utilisé pour caractériser la consonne prédorso-prépalatale /ch/ montre l'importance de l'impression auditive subjective.
( source : Wikipédia )

Analyse spectrale du SPEECH capturé dans le domicile


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C'est la preuve irréfutable de la réalité du harcèlement phonétique acoustique , ( signaux synthétiques )


21 mars 2013

Journal

21/03/2013 , 9 heures 01 . En ce moment , pression très forte au niveau de l’abdomen côté gauche qui provoque une douleur aiguë..

Journal

Le 21/03/2013 , 7 heures 57 . Ce système ( usage abusif de la télédétection par laser) méprise la Constitution et la République, l’intégrité physique et morale, avec ce système ( arbitraire) ces criminels s'autorisent n'importe quoi et n'importe comment, ils agissent comme des fous .

18 mars 2013

Réaction chimique

Une réaction chimique est une transformation de la matière au cours de laquelle les espèces chimiques (atomiques, ioniques ou moléculaires) qui constituent la matière sont modifiées : les espèces qui sont consommées sont appelées réactifs. Les espèces formées au cours de la réaction sont appelées produits (de réaction).

Les réactions chimiques provoquent un changement de la nature chimique de la matière, sont donc exclues les transformations purement physiques

 Une réaction peut dégager de l'énergie (en général sous forme de chaleur, mais aussi de la lumière), elle est alors dite « exothermique ». Elle peut nécessiter un apport d'énergie, sous forme de chaleur (donc « produire du froid ») ou de lumière, elle est alors dite « endothermique ». D'une manière générale, une réaction ne peut avoir lieu que si certaines conditions sont réunies (présence de tous les réactifs, conditions de température, de pression, de lumière). Certaines réactions nécessitent ou sont facilitées par la présence d'une substance chimique appelée catalyseur. Classiquement, les réactions chimiques impliquent des changements qui concernent le mouvement des électrons, la formation et la rupture des liaisons chimiques.

Vitesse de réaction

L'étude de l'énergie du système (thermochimie) permet de savoir si une réaction peut se produire ou non, quelle énergie initiale il faut fournir pour franchir la barrière. Mais il y a un autre paramètre important : la vitesse de réaction.

La vitesse de réaction est la mesure de la modification avec le temps des concentrations ou/et pressions des substances engagées dans cette réaction.

La vitesse de réaction dépend de :

  • La pression, qui en augmentant, diminue le volume et donc la distance entre les molécules. Cela augmente la fréquence des collisions des molécules.
  • L'énergie d'activation qui est définie comme la quantité d'énergie nécessaire pour que la réaction débute et s'entretienne spontanément.
  • La température qui en s'élevant active la réaction augmentant l'énergie des molécules et créant plus de collisions par unité de temps
  • L'absence ou la présence d'un catalyseur qui modifie le mécanisme de la réaction qui, à son tour, augmente la vitesse de la réaction abaissant l'énergie d'activation nécessaire. Un catalyseur n'est pas détruit durant la réaction.
  • Pour certaines réactions, la présence de radiations électromagnétiques, spécialement les radiations ultraviolettes, sont nécessaires pour briser des liaisons pour commencer la réaction.

    Parmi les réactions chimiques les plus courantes, citons :

    • la respiration
    • la sécrétion de produits par les organes (larmes, sueurs, salive, sucs gastriques, hormones...), l'action de ces sécrétions
    • ( source : Wikipédia )

    L'énergie du rayonnement du laser femtoseconde ciblée provoque certaines réactions chimiques du type exothermique ( forme de chaleur ) ou endothermique ( produire du froid ) entre autres...
















Précision : ce n'est pas un enregistrement vidéo , je rapporte à l'aide d'une image et d'un dessin géométrique ( losange) ce que je vois dans une église sur les cierges d'autel . 

Journal

Le 18/03/2013 ,9 heures 36. La télédétection par laser émet des impulsions habilement façonnées et disposées en réseau ( damier ). Personne ou presque dans la population n'est au courant de ces signaux (THz) d'impulsions laser femtosecondes  . Les signaux d'ondes térahertz ( entre 0,1 et 30 térahertz ) traversent la plupart des matériaux dont le béton , donc , même à l'intérieur d'une habitation .

En dehors de tout ciblage , le courant induit est faible contrairement aux personnes ciblées .

A l'aide d'un dispositif de type interféromètre , la lumière d'un faisceau laser unique est divisé en deux faisceaux, le faisceau signal (qui porte les données) et le faisceau de référence. L'hologramme est formé lorsque ces deux faisceaux se coupent dans le support d'enregistrement. Le procédé de codage de données sur le faisceau de signal est réalisé par un dispositif appelé un modulateur spatial de lumière (SLM). Le SLM traduit les données électroniques de 0 et de 1 dans une optique de «damier» motif de pixels clairs et foncés.

16 mars 2013

les champs magnétiques


Tout conducteur éléctrique soumis à un champs magnétique variable devient le siège de courants éléctriques dits: "induits". Dans une dynamo, par exemple, le courant éléctrique est produit dans une bobine soumise à un champs magnétique rendu variable par le déplacement (rotation) d'une masse aimantée (on peut aussi rendre la bobine mobile dans le champs magnétique d'un aimant fixe, bien sûr).

Tout conducteur éléctrique parcouru par un courant produit un champs magnétique autour de lui. Autour d'un fil éléctrique, le champs magnétique se présente comme ceci:




La flèche rouge indique le sens du courant, sur le dessin de droite le courant s'éloigne de vous. Les lignes de champs magnétique se répartissent tout autour comme des "ronds dans l'eau" autour d'un point de chute.



Si le fil forme une boucle, le champs magnétique prend cet aspect:

 

On obtient un aimant artificiel.



En empilant les boucles (on dit des spires), c'est encore mieux, les champs magnétiques de chaque spire s'additionnent.

 

Une succession de spires est appelée solénoïde, ou bobine de self induction ou self.

Si l'on soumet une self à un courant éléctrique variable, il apparaitra donc un champs magnétique variable. Ce champs magnétique variable agira sur la bobine elle même en y induisant une force électromotrice (une tension) tendant à contrarier les variations du courant d'origine.
( source : accrodavion )

Le rayonnement du laser femtoseconde génère aussi des champs magnétiques . 

Lorsqu'il rencontre une surface réfléchissante, de très fins rayons de lumière partent du haut ( N) du supercontinuum ( lumière intense blanche) et se courbent comme sur les schémas ci-dessus .

Or, ce rayonnement est délibérément ciblé sur des personnes à des fins d'expérimentations . 

Le corps se retrouve donc sous la contrainte de champs électriques et magnétiques qui portent gravement atteintes à son intégrité..