( source lpl.univ-paris13 )
30 mars 2014
Stimulus
Un stimulus dans le domaine de la psychologie expérimentale, de la physiologie et de la biologie, est un évènement de nature à déterminer une excitation détectable par une réaction chez un organisme vivant.
On distingue les stimulus par le sens qui les détecte :
stimulus auditif, quand un son détermine l'excitation ;
stimulus visuel, quand on étudie la réaction à une image ou une lumière ;
stimulus tactile, avec des pressions ou des piqures sur la peau ;
stimulus thermique, avec une source de chaleur ;
stimulus olfactif avec une odeur.
On étudie aussi la réaction à un évènement exigeant une adaptation musculaire, avec les accélérations et la sensation de pesanteur. Les chocs électriques constituent des stimulus entièrement artificiels. Le temps intervient comme paramètre pour tous les stimulus, et est parfois aussi l'objet de la recherche1.
Les études psychophysiques cherchent à quantifier et à définir les seuils de perception de stimulus élémentaires, qui évitent autant que possible l'association à une signification.
Outre les stimulus élémentaires les recherches psychologiques peuvent désigner comme stimulus des évênements complexes, comme des mots ou des images, qui évoquent des connaissances ou des sentiments.
Un stimulus subliminal ou préconscient est un évènement capable de provoquer une réponse, mais que la personne auquel il est soumis n'identifie pas en tant qu'évènement .
En physiologie, le stimulus peut être externe (ceux étudiés par la psychologie expérimentale) ou interne. Il s'agit alors de l'élévation du taux d'une substance dans l'organe ou dans l'organisme.
( source : Wikipédia )
On distingue les stimulus par le sens qui les détecte :
stimulus auditif, quand un son détermine l'excitation ;
stimulus visuel, quand on étudie la réaction à une image ou une lumière ;
stimulus tactile, avec des pressions ou des piqures sur la peau ;
stimulus thermique, avec une source de chaleur ;
stimulus olfactif avec une odeur.
On étudie aussi la réaction à un évènement exigeant une adaptation musculaire, avec les accélérations et la sensation de pesanteur. Les chocs électriques constituent des stimulus entièrement artificiels. Le temps intervient comme paramètre pour tous les stimulus, et est parfois aussi l'objet de la recherche1.
Les études psychophysiques cherchent à quantifier et à définir les seuils de perception de stimulus élémentaires, qui évitent autant que possible l'association à une signification.
Outre les stimulus élémentaires les recherches psychologiques peuvent désigner comme stimulus des évênements complexes, comme des mots ou des images, qui évoquent des connaissances ou des sentiments.
Un stimulus subliminal ou préconscient est un évènement capable de provoquer une réponse, mais que la personne auquel il est soumis n'identifie pas en tant qu'évènement .
En physiologie, le stimulus peut être externe (ceux étudiés par la psychologie expérimentale) ou interne. Il s'agit alors de l'élévation du taux d'une substance dans l'organe ou dans l'organisme.
( source : Wikipédia )
Journal
Le 30/03/2014 , 14 heures 01 . Deuxième point élucidé : ce sont les nanosciences et nanotechnologies qui sont à l'origine de ces expérimentations illégales et actes de torture physique et psychologique .
Points élucidés
1 - concernant le système : c'est un système photonique
2 - concernant l'utilisation de ce système : ce sont les nanosciences et nanotechnologies
3 - en cours
Points élucidés
1 - concernant le système : c'est un système photonique
2 - concernant l'utilisation de ce système : ce sont les nanosciences et nanotechnologies
3 - en cours
29 mars 2014
Propagation de l'influx nerveux
1) Le potentiel de repos
b/ Le rôle des ions sodium (Na+)
À l'extérieur de la cellule, la concentration en ions sodium (Na+) est 10 fois plus importante qu'à l' intérieur de la cellule, ce qui contribue à la différence de potentiel électrique entre l'intérieur et l'extérieur de la cellule. Ceci explique l'électropositivité extracellulaire (ou encore de l'électronégativité intracellulaire).
Il y a un certain temps, on pensait à une imperméabilité des ions sodium, mais par des travaux au sodium radioactif, les scientifiques ont démontré, qu'il y avait des entrées et des sorties incessantes d’ions Na+ à travers la membrane.
D’une part, le gradient de concentration (la différence de concentration d’ions sodium entre l'intérieur et l'extérieur de la cellule), d'autre part le gradient de potentiel électrique (l’intérieur de la cellule est plus électronégatif que l'extérieur) font, qu'il y a un influx entrant d’ions Na+ tout à fait passif d‘un point de vue énergétique. Or, on se rend compte que la quantité de sodium reste constante dans la cellule. Il existe donc un autre flux inverse, qui compense le flux passif des ions Na+. Ce flux inverse est actif, c'est-à-dire qu'il consomme de l'énergie et est appelé « pompe à sodium ». La pompe à sodium permet donc de rejeter les ions Na+ hors de la cellule pour en maintenir une concentration constante.
2) Le potentiel d'action
1ère étape
La stimulation efficace de la membrane produit une augmentation brutale de la perméabilité membranaire au sodium. Par conséquent, on assiste à une augmentation considérable du flux entrant de sodium déjà existant. Les ions sodium ont tendance à s'engouffrer à l'intérieur de la cellule. À cause de ces ions positifs entrant, l'intérieur de la cellule perd son électronégativité et devient même électropositive : le potentiel transmembranaire (on soustrait au potentiel électrique du neuroplasme le potentiel électrique de l'extérieur de la cellule) atteint 30mV. Le milieu extérieur, auparavant électropositif devient naturellement électronégatif, car il perd des charges positives. C'est la dépolarisation de la membrane.
2) Le potentiel d'action
2ème étape
Dans un second temps, très rapidement, la perméabilité de la membrane au potassium augmente et la fuite de potassium en dehors de la cellule est intensifiée pour tenter de rééquilibrer les charges électriques. Les ions K+ sortent donc de la cellule et rejoignent le milieu extérieur. Le cytoplasme (milieu intracellulaire) perd des charges positives potassiques et a donc tendance à redevenir électronégatif. Pendant ce temps le milieu extérieur gagne des ions positifs et a donc tendance à perdre son électronégativité (regagner une électropositivité). C'est la phase de repolarisation rapide.
Ces deux modifications brutales et décalées de la perméabilité de la membrane plasmique aux ions sodium puis aux ions potassium expliquent le potentiel de pointe : on a assisté à une dépolarisation puis à une repolarisation membranaire.
2) Le potentiel d'action
3ème étape
Il y a finalement, un retour progressif au potentiel de repos, c'est-à-dire un retour aux conditions électriques et de concentration ionique antérieures : on observe une normalisation de la perméabilité de la membrane et une mise en jeu intensifié des pompes pour ramener les concentrations ioniques aux valeurs antérieures (rejet accru de sodium à l'extérieur de la cellule, récupération accrue de potassium à l'intérieur de la cellule).
Cependant les pompes dépassent, par excès de travail régulateur, leur but (retour aux conditions antérieures électriques et de concentration ionique). C'est le potentiel tardif positif.
Cette 3ème phase précède le retour au potentiel de repos.
Remarque :
Il existe d'autres mouvements ioniques lors du potentiel d'action, notamment des ions Ca2+ et Mg2+ mais ils sont beaucoup moins importants que ceux des ions K+ et Na+.
Le seul paramètre, que l'on fait varier dans cette expérience, est l'intensité de la stimulation. La durée d'application du stimulus, ainsi que la vitesse d'établissement du courant sont constantes.
On observe, que lorsque l'intensité du stimulus est trop faible, la fibre nerveuse ne réagit pas. Puis, lorsqu'on augmente progressivement l'intensité du stimulus, on remarque que pour une certaine valeur d'intensité, une réponse de la fibre nerveuse apparaît. L'intensité du stimulus doit donc atteindre une valeur minimale appelée seuil pour qu'on puisse observer une réponse de l'élément nerveux. Une intensité supérieure au seuil donnera la même réponse que celle observée au seuil. L’amplitude du potentiel d'action sera en effet toujours la même.
La loi de l’aspécificité du potentiel d'action :
il n'y a aucune spécificité de fonctionnement quant au potentiel d'action, que ce soit celui d'une fibre nerveuse, sensitive, sensorielle ou motrice ou même que ce soit celui une cellule musculaire. Tous les potentiels d'action fonctionnent de la même façon.
À l'extérieur de la cellule, la concentration en ions sodium (Na+) est 10 fois plus importante qu'à l' intérieur de la cellule, ce qui contribue à la différence de potentiel électrique entre l'intérieur et l'extérieur de la cellule. Ceci explique l'électropositivité extracellulaire (ou encore de l'électronégativité intracellulaire).
Il y a un certain temps, on pensait à une imperméabilité des ions sodium, mais par des travaux au sodium radioactif, les scientifiques ont démontré, qu'il y avait des entrées et des sorties incessantes d’ions Na+ à travers la membrane.
D’une part, le gradient de concentration (la différence de concentration d’ions sodium entre l'intérieur et l'extérieur de la cellule), d'autre part le gradient de potentiel électrique (l’intérieur de la cellule est plus électronégatif que l'extérieur) font, qu'il y a un influx entrant d’ions Na+ tout à fait passif d‘un point de vue énergétique. Or, on se rend compte que la quantité de sodium reste constante dans la cellule. Il existe donc un autre flux inverse, qui compense le flux passif des ions Na+. Ce flux inverse est actif, c'est-à-dire qu'il consomme de l'énergie et est appelé « pompe à sodium ». La pompe à sodium permet donc de rejeter les ions Na+ hors de la cellule pour en maintenir une concentration constante.
La structure et les concentrations ioniques de la membrane |
Concentrations ioniques au repos |
Les différentes phases du potentiel d'action |
Les différentes étapes de la genèse du potentiel d'action au niveau du canal Na+ |
2) Le potentiel d'action
La stimulation efficace de la membrane produit une augmentation brutale de la perméabilité membranaire au sodium. Par conséquent, on assiste à une augmentation considérable du flux entrant de sodium déjà existant. Les ions sodium ont tendance à s'engouffrer à l'intérieur de la cellule. À cause de ces ions positifs entrant, l'intérieur de la cellule perd son électronégativité et devient même électropositive : le potentiel transmembranaire (on soustrait au potentiel électrique du neuroplasme le potentiel électrique de l'extérieur de la cellule) atteint 30mV. Le milieu extérieur, auparavant électropositif devient naturellement électronégatif, car il perd des charges positives. C'est la dépolarisation de la membrane.
La dépolarisation |
Transferts d'ions de la dépolarisation |
Dans un second temps, très rapidement, la perméabilité de la membrane au potassium augmente et la fuite de potassium en dehors de la cellule est intensifiée pour tenter de rééquilibrer les charges électriques. Les ions K+ sortent donc de la cellule et rejoignent le milieu extérieur. Le cytoplasme (milieu intracellulaire) perd des charges positives potassiques et a donc tendance à redevenir électronégatif. Pendant ce temps le milieu extérieur gagne des ions positifs et a donc tendance à perdre son électronégativité (regagner une électropositivité). C'est la phase de repolarisation rapide.
Ces deux modifications brutales et décalées de la perméabilité de la membrane plasmique aux ions sodium puis aux ions potassium expliquent le potentiel de pointe : on a assisté à une dépolarisation puis à une repolarisation membranaire.
La repolarisation |
Transferts d'ions lors de la repolarisation |
Il y a finalement, un retour progressif au potentiel de repos, c'est-à-dire un retour aux conditions électriques et de concentration ionique antérieures : on observe une normalisation de la perméabilité de la membrane et une mise en jeu intensifié des pompes pour ramener les concentrations ioniques aux valeurs antérieures (rejet accru de sodium à l'extérieur de la cellule, récupération accrue de potassium à l'intérieur de la cellule).
Cependant les pompes dépassent, par excès de travail régulateur, leur but (retour aux conditions antérieures électriques et de concentration ionique). C'est le potentiel tardif positif.
Cette 3ème phase précède le retour au potentiel de repos.
L'hyperpolarisation |
Travail des pompes ioniques pour rétablir les concentrations initiales |
2) Le potentiel d'action
Il existe d'autres mouvements ioniques lors du potentiel d'action, notamment des ions Ca2+ et Mg2+ mais ils sont beaucoup moins importants que ceux des ions K+ et Na+.
Courbe représentant toutes les étapes du potentiel d'action |
1) La loi du seuil d'intensité
On observe, que lorsque l'intensité du stimulus est trop faible, la fibre nerveuse ne réagit pas. Puis, lorsqu'on augmente progressivement l'intensité du stimulus, on remarque que pour une certaine valeur d'intensité, une réponse de la fibre nerveuse apparaît. L'intensité du stimulus doit donc atteindre une valeur minimale appelée seuil pour qu'on puisse observer une réponse de l'élément nerveux. Une intensité supérieure au seuil donnera la même réponse que celle observée au seuil. L’amplitude du potentiel d'action sera en effet toujours la même.
Graphique représentant l'intensité en fonction du temps nécessaire pour atteindre le seuil de dépolarisation |
2) Loi 2
il n'y a aucune spécificité de fonctionnement quant au potentiel d'action, que ce soit celui d'une fibre nerveuse, sensitive, sensorielle ou motrice ou même que ce soit celui une cellule musculaire. Tous les potentiels d'action fonctionnent de la même façon.
( source : lyrobossite.free )
L'enveloppe des impulsions laser femtosecondes est similaire à l'enveloppe du potentiel d'action et le plasma contient du gaz ionisé .
Un stimulus sur une cellule provoque normalement un potentiel d'action entre -70 mV et 30 mV pendant une durée entre 1 et 2 millisecondes .
Or, avec les impulsions laser femtosecondes ciblées, des stimulus ultra-rapides et ultra-intenses sont sans cesse générés . Cela force les cellules à des cycles ultra-rapides de dépolarisation-repolarisation, elles ne peuvent plus avoir de cycle normal .
Les conséquences : un mal-être physique et mental constant, un dérèglement du fonctionnement de l'organisme....
Un stimulus sur une cellule provoque normalement un potentiel d'action entre -70 mV et 30 mV pendant une durée entre 1 et 2 millisecondes .
Or, avec les impulsions laser femtosecondes ciblées, des stimulus ultra-rapides et ultra-intenses sont sans cesse générés . Cela force les cellules à des cycles ultra-rapides de dépolarisation-repolarisation, elles ne peuvent plus avoir de cycle normal .
Les conséquences : un mal-être physique et mental constant, un dérèglement du fonctionnement de l'organisme....
Polarisation
Illumination de la cible avec polarisation horizontale et verticale. On peut noter la forme de la cible qui donnera un retour plus intense avec l'onde horizontale. |
Interférences
Il existe de nombreuses sources de signaux malvenus, que les radars doivent pouvoir ignorer plus ou moins, afin de se focaliser uniquement sur les cibles intéressantes.
( source : Wikipédia )
Journal
Le 29/03/2014 , 7 heures 22 .
Utilisation abusive d'un système photonique par les nanosciences et nanotechnologies
L'émetteur - récepteur d'un système photonique utilise non seulement les bandes de fréquences optiques ( spectre de la lumière) et acoustiques ( spectre des ondes de pression) mais aussi, par l'intermédiaire de l'air qui se trouve dans les cavités du système photonique ( trous d'air qui guident la lumière dans les fibres à cristaux photoniques), des substances, probablement du type " hélium ", mélangées à l'air qui guide la lumière . Hier j'étais comme dans un état comateux où " zombie ", ça ressemble à l'effet d'alcool en excès .
Comme un radar, ce système peut être directionnel et ce focalisé sur une cible, le signal rétrodiffusé par la cible est reçu par le radar . Dans ce système c'est un télescope qui reçoit le signal, type LIDAR .
Utilisation abusive d'un système photonique par les nanosciences et nanotechnologies
L'émetteur - récepteur d'un système photonique utilise non seulement les bandes de fréquences optiques ( spectre de la lumière) et acoustiques ( spectre des ondes de pression) mais aussi, par l'intermédiaire de l'air qui se trouve dans les cavités du système photonique ( trous d'air qui guident la lumière dans les fibres à cristaux photoniques), des substances, probablement du type " hélium ", mélangées à l'air qui guide la lumière . Hier j'étais comme dans un état comateux où " zombie ", ça ressemble à l'effet d'alcool en excès .
Comme un radar, ce système peut être directionnel et ce focalisé sur une cible, le signal rétrodiffusé par la cible est reçu par le radar . Dans ce système c'est un télescope qui reçoit le signal, type LIDAR .
28 mars 2014
Nanophotonique
La nanophotonique, aussi connue sous le nom de nano-optique, est l'étude de la lumière et de ses interactions avec la matière à des échelles nanométriques. On parle de nanophotonique lorsque les phénomènes mis en jeu interviennent sur des distances inférieures à la longueur d'onde (dans la gamme visible du spectre électromagnétique, la longueur d'onde se situe entre 400 et 700nm).
Une question essentielle de la nanophotonique est de dépasser (ou contourner) les limites imposées par le phénomène de diffraction en optique. Les objectifs principaux portent (1) sur la compréhension des phénomènes liés à la lumière intervenant à des échelles nanométriques, et (2) sur le développement de nouvelles structures photoniques pour réaliser des fonctions optiques innovantes.
La nanophotonique est une branche de l'optique qui s'intéresse tout particulièrement aux domaines suivants :
Une question essentielle de la nanophotonique est de dépasser (ou contourner) les limites imposées par le phénomène de diffraction en optique. Les objectifs principaux portent (1) sur la compréhension des phénomènes liés à la lumière intervenant à des échelles nanométriques, et (2) sur le développement de nouvelles structures photoniques pour réaliser des fonctions optiques innovantes.
La nanophotonique est une branche de l'optique qui s'intéresse tout particulièrement aux domaines suivants :
- la microscopie de champ proche (NSOM near-field scanning optical microscopy)
- l'interaction de la lumière avec des structures métalliques (plasmonique ou étude des plasmons de surface)
- le confinement et la manipulation de la lumière par des cristaux photoniques
- l'intégration de structures photoniques sur puces silicium
- le développement de matériaux composites artificiels (métamatériaux) pour réaliser de nouvelles fonctions optiques
Les applications concernent principalement la microscopie optique à très haute résolution, les capteurs optiques de haute sensibilité, les systèmes de connexion optique intégrés, le photovoltaïque.
- l'interaction de la lumière avec des structures métalliques (plasmonique ou étude des plasmons de surface)
- le confinement et la manipulation de la lumière par des cristaux photoniques
- l'intégration de structures photoniques sur puces silicium
- le développement de matériaux composites artificiels (métamatériaux) pour réaliser de nouvelles fonctions optiques
Les applications concernent principalement la microscopie optique à très haute résolution, les capteurs optiques de haute sensibilité, les systèmes de connexion optique intégrés, le photovoltaïque.
( source : Wikipédia )
27 mars 2014
Nanosciences et nanotechnologies
Les nanosciences sont l'analyse des phénomènes et de la manipulation de la matière aux dimensions atomique , moléculaire et macromoléculaire .
Les nanotechnologies concernent la conception , la précision , la réalisation et l'application de structures , dispositifs et système par le contrôle de la forme et de la taille à une dimension nanométrique .
Les nanosciences et nanotechnologies utilisent des disciplines telles que l'optique , la biologie , la mécanique , microtechnologie .
Les nanosciences et nanotechnologies utilisent des disciplines telles que l'optique , la biologie , la mécanique , microtechnologie .
A L'ATTENTION DU G8
Pensez à toutes les victimes d'abus des nanosciences et nanotechnologies dans le monde . C'est une URGENCE !
De graves atteintes à l'intégrité du corps humain , à la liberté individuelle et à la dignité . 24h/24
De graves atteintes à l'intégrité du corps humain , à la liberté individuelle et à la dignité . 24h/24
26 mars 2014
Journal
Le 26/03/2014 , 8 heures 08 . Ce crime est tellement technique , long à démontrer et cruel , que les victimes d'abus des nanosciences et nanotechnologies sont pratiquement dans l'impossibilité d'apporter des preuves comme le prévoit la loi . Des scientifiques sans scrupules abusent physiquement et psychologiquement un nombre important de personnes dans le monde .
Si le public connaissait les abus des nanosciences et nanotechnologies, les tortures, les expériences illégales qu'ils font, je ne doute pas de son soutien aux victimes .
Je n'ose pas tout dire tellement c'est énorme, je me dis que personne ne peut croire une chose pareille, je suis sous le choc , comment est ce possible, c'est un comportement totalitaire .
J'ai des convictions chrétiennes mais aussi républicaines, je n'accepterais aucune volonté totalitaire et me battrais pour défendre les valeurs auxquelles je crois .
20 heures 46 : en ce moment le rayonnement est très puissant, nombreuses petites piqûres sur le visage, je ressens comme des brûlures " type coup de soleil " sur la peau du visage .
Si le public connaissait les abus des nanosciences et nanotechnologies, les tortures, les expériences illégales qu'ils font, je ne doute pas de son soutien aux victimes .
Je n'ose pas tout dire tellement c'est énorme, je me dis que personne ne peut croire une chose pareille, je suis sous le choc , comment est ce possible, c'est un comportement totalitaire .
J'ai des convictions chrétiennes mais aussi républicaines, je n'accepterais aucune volonté totalitaire et me battrais pour défendre les valeurs auxquelles je crois .
20 heures 46 : en ce moment le rayonnement est très puissant, nombreuses petites piqûres sur le visage, je ressens comme des brûlures " type coup de soleil " sur la peau du visage .
25 mars 2014
Nanotoxicologie
La nanotoxicologie est l'étude de la toxicité des nanomatériaux et des nanoparticules. Ces particules, d'une taille comprise entre 1 et 100 nanomètres (10-9 m), sont synthétisées par l'homme. Elle possèdent des propriétés uniques du fait de leur taille. L'étude de l'effet de ces nouvelles particules sur les systèmes vivants est l'objet de la nanotoxicologie.
La connaissance dans ce domaine se développe de façon exponentielle depuis la fin des années 1990, en particulier sur la base des travaux toxicologiques et épidémiologiques sur les particules ultrafines de dimension nanométrique
Spécificité
En raison de la petite taille4 (100 000 fois plus petit qu'une cellule humaine moyenne, 10 000 fois plus petit qu'une bactérie de taille moyenne, 150 fois plus petit qu'un virus, et pouvant interagir avec l'ADN car au moins deux fois plus petit que le diamètre d'une double hélice d'ADN) et de la grande surface fonctionnelle des nanomatériaux, ceux-ci ont des propriétés uniques par rapport à leurs homologues de plus grande taille3. Même s'ils sont réalisés à partir d'éléments réputés inertes comme l'or ou le platine, ils deviennent très actifs à l'échelle nanométrique. Certains de ces matériaux se comportent comme des gaz et passent très facilement au travers des muqueuses et de la peau et de toutes les barrières (y compris méninges protégeant lecerveau, et placenta).
( source : Wikipédia )
La connaissance dans ce domaine se développe de façon exponentielle depuis la fin des années 1990, en particulier sur la base des travaux toxicologiques et épidémiologiques sur les particules ultrafines de dimension nanométrique
( source : Wikipédia )
Nanocristal
Un nanocristal est un monocristal dont au moins une des dimensions est inférieure à 100 nm.
( source : Wikipédia )
Cristallographie
La cristallographie est la science qui se consacre à l'étude des substances cristallines à l'échelle atomique. Les propriétés physico-chimiques d'un cristal sont étroitement liées à l'arrangement spatial des atomes dans la matière. L'état cristallin est défini par un caractère périodique et ordonné à l'échelle atomique ou moléculaire. Le cristal est obtenu par translation dans toutes les directions d'une unité de base appelée maille élémentaire.
Le réseau cristallin
Un réseau est un ensemble de points ou « nœuds » en trois dimensions qui présente la propriété suivante : lorsque l'on se translate dans l‘espace selon certains vecteurs, on retrouve exactement le même environnement. Il y a donc une périodicité spatiale.
Cela permet de définir sept systèmes réticulaires de base : cubique, hexagonal, rhomboédrique, quadratique (ou tétragonal), orthorhombique, monoclinique et triclinique.
Propriétés physiques
De par leur nature, tous les cristaux sont anisotropes. Mais cette anisotropie dépend des propriétés considérées.
. Propriétés optiques
- A la lumière visible : transparence, réfraction, réflexion, diffraction, etc. Une grande partie des cristaux minéraux sont transparents, ce qui permet d'étudier leur réfraction. Seuls les cristaux cubiques sont isotropes, tous les autres étant anisotropes (indices de réfraction différents selon la direction d'observation). Par contre, les cristaux métalliques sont opaques à la lumière, ce qui ne permet que l'étude de leur réflexion. Pour étudier leur diffraction, il faut utiliser les rayons X.
- Aux rayons X : voir cristallographie.
. Propriétés mécaniques : élasticité, dureté, résilience, etc. Tous les cristaux sont anisotropes. (partie à compléter)
Principe
Max von Laue eut l'idée d'irradier les cristaux avec des rayons X, car il pensait que le réseau cristallin ferait dévier le rayonnement de la même façon que la lumière est déviée dans certains minéraux transparents. L'expérience que des collègues réalisèrent sur un cristal de sulfate de cuivre lui permit de faire la démonstration de la structure périodique des empilements d'atomes dans les cristaux et de la nature ondulatoire du rayonnement X.
La détermination de la structure atomique d'un cristal s'effectue le plus souvent par diffraction des rayons X ou des neutrons, dont les longueurs d'onde sont de l'ordre des distances qui séparent les plans atomiques de la structure cristalline. Lorsque le cristal à étudier est irradié par un fin faisceau de rayons X, chacun des atomes du cristal diffuse une onde de faible amplitude, qui se propage dans toutes les directions. Les ondes issues des atomes interfèrent et donnent lieu à la diffraction, faisant apparaître sur le détecteur qui les reçoit des taches qui correspondent au maximum des ondes en phase ; les autres, en opposition de phase, s'annulent.
Réseau réciproque
Au niveau d'un écran situé à une distance des centres diffuseurs secondaires, on observera des figures de diffraction qui permettent de visualiser les perturbations créées par les interférences citées précédemment. Le réseau réciproque est l'image que l'on obtient à partir de la figure de diffraction.
Applications
On utilise les propriétés de diffraction des cristaux en physique, chimie, biologie, biochimie, médecine et en sciences de la terre.
Leur analyse donne des informations sur des substances cristallines organiques et inorganiques (distance entre atomes, agencement spatial des atomes, identification de phases cristallines, taille des cristallites).
Éléments de cristallographie
Cela permet de définir sept systèmes réticulaires de base : cubique, hexagonal, rhomboédrique, quadratique (ou tétragonal), orthorhombique, monoclinique et triclinique.
. Propriétés optiques
- A la lumière visible : transparence, réfraction, réflexion, diffraction, etc. Une grande partie des cristaux minéraux sont transparents, ce qui permet d'étudier leur réfraction. Seuls les cristaux cubiques sont isotropes, tous les autres étant anisotropes (indices de réfraction différents selon la direction d'observation). Par contre, les cristaux métalliques sont opaques à la lumière, ce qui ne permet que l'étude de leur réflexion. Pour étudier leur diffraction, il faut utiliser les rayons X.
- Aux rayons X : voir cristallographie.
. Propriétés mécaniques : élasticité, dureté, résilience, etc. Tous les cristaux sont anisotropes. (partie à compléter)
La détermination de la structure atomique d'un cristal s'effectue le plus souvent par diffraction des rayons X ou des neutrons, dont les longueurs d'onde sont de l'ordre des distances qui séparent les plans atomiques de la structure cristalline. Lorsque le cristal à étudier est irradié par un fin faisceau de rayons X, chacun des atomes du cristal diffuse une onde de faible amplitude, qui se propage dans toutes les directions. Les ondes issues des atomes interfèrent et donnent lieu à la diffraction, faisant apparaître sur le détecteur qui les reçoit des taches qui correspondent au maximum des ondes en phase ; les autres, en opposition de phase, s'annulent.
Leur analyse donne des informations sur des substances cristallines organiques et inorganiques (distance entre atomes, agencement spatial des atomes, identification de phases cristallines, taille des cristallites).
( source : Wikipédia )
( source : deuns.chez )
24 mars 2014
Cristallites cubiques
( source : insp.jussieu )
Un système photonique diffuse dans l’atmosphère des photons qui forment lorsqu'ils rencontrent un obstacle ou une cible ( réfléchissante ) des cristallites cubiques ( figures de diffraction crées par les interférences ) similaires à ceux de l'image ci-dessus !
MgO : oxyde de magnésium
Cristallite : cristal de dimensions extrêmement réduites (maille extrêmement petite d'un dispositif de fibres à cristaux photoniques )
On ne peut voir à l’œil nu la diffraction de ces nanoparticules, un caméscope en position zoom dans un bon angle peut les capturer .

Deux taches focales d'impulsions laser femtosecondes zoom ( cristallites cubiques )
Cristallites sur des gouttes d'eau de pluie ( sur la vitre d'une fenêtre )


Dans un verre d'eau
( source : hal.archives-ouvertes )
( source : Jean Michel Lourtioz )
23 mars 2014
battement hétérodyne ( TéraHertz / Facteur de démultiplication = Fréquences radios )
Extrait
( source : cnrs )
Le harcèlement sonore des personnes ciblées provient d'un battement hétérodyne et d'une modulation audiofréquence .
( source : cnrs )
Le harcèlement sonore des personnes ciblées provient d'un battement hétérodyne et d'une modulation audiofréquence .
Interféromètre hétérodyne
Dans un interféromètre hétérodyne, au moins l'une des deux ondes (référence ou sonde) subit un changement de fréquence
, positif ou négatif, typiquement de l'ordre de 40 MHz à 100 MHz.
hétérodyne :
Effet de battement produit par l'interférence de deux ondes de fréquence différente
hétérodyne :
Effet de battement produit par l'interférence de deux ondes de fréquence différente
22 mars 2014
ENVISAT
ENVISAT
Maquette à l'échelle du satellite ENVISAT.
Organisation | ESA |
---|---|
Domaine | Observation de la Terre |
Masse | 8 211 kg |
Lancement | 1er mars 2002 à 01:07 UTC |
Lanceur | Ariane 5 |
Orbite | Orbite polaire |
Périapside | 785 km |
Apoapside | 791 km |
Période | 100,6 min |
Inclinaison | 98,6° |
Index NSSDC | 2002-009A |
---|---|
Site | envisat.esa.int |
ASAR | Radar à synthèse d'ouverture |
---|---|
MERIS | Spectromètre imageur |
AATSR | Radiomètre |
RA-2 | Altimètre radar |
MWR | Radiomètre micro-ondes |
DORIS | Système de positionnement |
GOMOS | Analyse de la couche d'ozone |
MIPAS | Interféromètre Michelson |
SCIAMACHY | Spectromètre |
( source : Wikipédia )
21 mars 2014
Journal
Le 28/03/2014 , 8 heures 55 . L'action monstrueuse des scientifiques " clandestin " sur des personnes ciblées repose sur l'utilisation abusive de dispositifs nanotechnologiques ( mise en forme d'un système photonique) .
Code civil - Article 16-1
Chacun a droit au respect de son corps.
Le corps humain est inviolable.
Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l'objet d'un droit patrimonial.
( source : legifrance.gouv )
20 mars 2014
Rétrodiffusion
Le domaine le plus courant d'utilisation de la diffusion est sa composante rétrodiffusée. Le lidar, le radar et le sonar utilisent tous la propriété qu'ont les cibles de renvoyer une partie de l'énergie incidente vers l'émetteur du signal ou un récepteur secondaire. En général, on utilisera la plage de la diffusion de Rayleigh pour obtenir une proportionnalité entre le signal incident et le retour.
( source : Wikipédia )
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