mardi 31 mars 2015

Spectre acoustique













Capture à mon domicile

- ondes infrasonores
- ondes sonores
- enveloppe sonore

mardi 24 mars 2015

Système de torture au laser peignes de fréquences femtosecondes

Processus :

- automate
- lidar
- tenseur vectoriel
- focalisation
- spectroscopie
- interaction impulsions laser femtosecondes/système nerveux périphérique et cellules
- expérimentation non consensuelle
- privation sensorielle
- violences physiques et psychologiques

Un système de crime organisé , qui fonctionne en toute impunité

À la fin des années 1990, une nouvelle catégorie de laser est apparue, celle des peignes de fréquences femtosecondes.
En contrôlant la phase et la fréquence de répétition des impulsions émises, le spectre d’une source peigne de fréquences, composé de modes d’émission régulièrement espacés appelés dents du peigne, est parfaitement déterminé.
Autrement dit, la source peigne de fréquences sont équivalentes à plusieurs milliers de lasers mono fréquences dont les fréquences d’émission sont parfaitement connues.

À la fin des années 1990, les peignes de fréquences femtosecondes ont émergés. Le terme source peigne de fréquence désigne toutes les sources dont le spectre est composé de fréquences discrètes ayant toutes la même phase et qui sont réparties uniformément sur le domaine spectral. ( source : tel.archives-ouvertes )

samedi 21 mars 2015

Mesures ( avec et sans contact )

                                                        Mesure dans l'air ambiant

                                                   Mesure au contact avec la peau

Photomultiplicateur

Le photomultiplicateur (PM) est un dispositif permettant la détection de photons. Il se présente sous la forme d'un tube électronique.

Sous l’action de la lumière, des électrons sont arrachés d’un métal par effet photoélectrique à une photocathode, le faible courant électrique ainsi généré est amplifié par une série de dynodes utilisant le phénomène d'émission secondaire pour obtenir un gain important.

Ce détecteur permet de compter les photons individuellement. Il est sensible de l’ultraviolet à l’infrarouge proche, le temps de réponse est de l’ordre de la nanoseconde (10−9 seconde).


( source : Wikipédia )




vendredi 20 mars 2015

Les satellites d'observation

Les satellites de télédétection observent la Terre, dans un but scientifique (température de la mer, manteau neigeux, sécheresse…), économique (ressources naturelles, agriculture…) ou militaire (rôle majeur dans les guerres contemporaines ; ils sont plus couramment désignés sous le nom de satellites-espion). Le spectre d'observation est vaste, optique, radar, infrarouge, ultraviolet, écoute de signaux radioélectriques. 
La résolution atteint actuellement moins d'un mètre pour certaines gammes de fréquence. Celle-ci dépend de la technologie employée mais aussi de l'altitude du satellite : une bonne résolution exige une orbite basse en général héliosynchrone utilisée par exemple par les satellites d'observation de la Terre de la famille SPOT. L'orbite géostationnaire, fixe, est préférée pour la surveillance permanente en temps réel comme dans le cas du programme de veille météorologique mondiale et ses familles de satellites météorologiques, dont l'européen METEOSAT.
( source : Wikipédia )

résolution 

Informatique
Nombre de pixels ou de points par unité de longueur.

Le LIDAR

Extrait

La technique LIDAR consiste à envoyer des impulsions lasers dans l'atmosphère et à mesurer au niveau du laser la lumière rétrodiffusée en fonction du temps

Pour collecter cette lumière, un télescope est placé colinéairement au laser et un détecteur avec une résolution temporelle est placé au foyer du télescope


Le LIDAR à lumière blanche utilise toutes les longueurs d'onde disponibles dans le spectre d'un faisceau laser térawatt femtoseconde, grâce à la génération de lumière blanche.

Les filaments permettent de délivrer des hautes intensités à distance de manière à induire des effets non linéaires in situ.

La haute intensité dans les filaments (4 à 6 x 1013 W/cm2 ) génère une importante automodulation de phase et donc un large continuum de lumière blanche s’étendant de 230 nm à 4,5 µm

Une autre variante du LIDAR est d'induire des effets non-linéaires à distance sur des cibles à détecter et de les identifier, en profitant de la capacité des filaments à transporter de hautes intensités à distance.

( source : teramobile )



                              Capture avec mon caméscope de filaments ( non-visible à l'œil nu )

jeudi 19 mars 2015

Effet tunnel

L'effet tunnel désigne la propriété que possède un objet quantique de franchir une barrière de potentiel même si son énergie est inférieure à l'énergie minimale requise pour franchir cette barrière.

C'est un effet purement quantique, qui ne peut pas s'expliquer par la mécanique classique.

( source : Wikipédia )


effet tunnel

Phénomène par lequel aucune barrière énergétique n'est infranchissable à un quanton.

C'est aussi l'un des outils de base utilisés dans le domaine des nanotechnologies.

( source : larousse )

mercredi 18 mars 2015

Tenseur

En mathématiques et en physique, un tenseur est un objet très général, défini intrinsèquement à partir d'un espace vectoriel (ou si on y ajoute un produit scalaire, à partir de l'espace euclidien tridimensionnel, ou bien l'espace-temps quadri-dimensionnel) et qui ne dépend pas d'un système de coordonnées particulier. Cette notion physique de tenseur comme « objet indépendant du système de coordonnées » est utile pour exprimer beaucoup de lois physiques, qui par leur nature ne dépendent pas des systèmes de coordonnées choisis.

Par rapport à un système de coordonnées fixé, un vecteur de l'espace de dimension n s'exprime comme une suite finie de nombres (ce sont les composantes du vecteur), soit : un n-uplet. Si on change de système de coordonnées, ce vecteur s'exprimera alors par un autre n-uplet, différent selon une loi bien précise. Un tenseur, exprimé dans un système de coordonnées particulier, est une sorte de n-uplet généralisé qui peut avoir 1 dimension (un n-uplet), ou 2 (une matrice) ou plus. Par un changement du système de coordonnées, les composantes d'un tenseur, comme celles d'un vecteur, sont modifiées par une loi précise.

En physique, les tenseurs sont utilisés pour décrire et manipuler diverses grandeurs et propriétés physiques comme le champ électrique, la permittivité, les déformations, les contraintes etc.





Capture avec mon caméscope en position zoom ( réflexion de deux parallélépipèdes lumineux " deux mailles ou voxels " sur le verre d'une paire de lunettes à l'intérieur du domicile ! )

Ces deux parallélépipèdes sont deux mailles du réseau. Cela démontre que la source à énergie dirigée utilise un champ de tenseurs .

mardi 17 mars 2015

Bruit blanc

  . L'exposition constante à un bruit blanc de niveau élevé est une des formes de la torture par privation sensorielle.

Certains types de bruit blanc présentent des propriétés hypnotiques.

  . Des personnes expérimentalement exposées à une simulation de musique composée d'un bruit blanc entrent dans un état de somnolence, avec une augmentation des densités de puissance des ondes lentes du cerveau (les ondes delta ; < 3,5 Hz) mesurée via l'EEG chez des sujets adultes, ce qui suggère que le bruit blanc peut modifier le niveau d'éveil et agir sur l'état de conscience.

. Le bruit blanc peut entrainer des céphalées.

( source : Wikipédia )

Privation sensorielle

La privation sensorielle est une méthode de torture psychologique mise au point par la CIA vers 1951-54 à partir d'expériences qu'elle avait financées en 1951 et faites par le neuropsychologue Donald Hebb sur ses étudiants volontaires à l'Université McGill à Montréal.

Cette méthode physiquement non-violente consiste à réduire autant que possible les perceptions sensorielles du sujet par le port d'un casque assourdissant pour le priver de l'audition, d'un bandeau (ou de lunettes) sur les yeux pour l'empêcher de voir et en privant celui-ci du toucher et de l'odorat, puis en l'isolant des contacts humains et des stimulations extérieures (sport, ordinateur…) par l'enfermement dans une pièce étroite. Les effets, constatables au bout de quelques jours, sont des hallucinations comparables à des prises de drogues et aboutissent à une régression mentale et un chaos existentiel insupportable.

Cette torture a été utilisée par la CIA notamment au camp de Guantanamo où des prisonniers sont incarcérés en privation sensorielle durant de longues périodes.

( source : Wikipédia )

Analyse de fréquence


Capture acoustique dans l'air ambiant
Date : 17/03/2015
Lieu : domicile
Logiciel : audacity
Microphone : behringer

La source à énergie dirigée propage aussi un bruit rose ( bruit blanc dont la densité spectrale de puissance est modélisée ... ) , le signal sonore ( Synthétisé ) est noyé dans ce bruit .

Bruit blanc : Un bruit blanc est une réalisation d'un processus aléatoire dans lequel la densité spectrale de puissance est la même pour toutes les fréquences.

Échantillon de bruit blanc

Bruit rose : Le bruit rose (Pink Noise en anglais) est un signal aléatoire dont l'intensité de chaque bande de fréquence de taille identique est égale, si on l'analyse dans une échelle logarithmique.

Spectre de bruit rose (échelle
logarithmique)

( source : Wikipédia )

dimanche 15 mars 2015

Journal

Le 16/03/2015 , Ce matin encore , des impacts , mais cette fois au niveau du mollet gauche .

samedi 14 mars 2015

Journal

Le 14/03/2015 , 8 heures 32 . - impact très puissant sur le pied droit ce matin ( sensation d'écrasement des tissus) -

mardi 10 mars 2015

IMPULSIONS LASER FEMTOSECONDES : ATTEINTE AUX PERSONNES SANS QUE PERSONNE N'EN SACHE RIEN

IMPULSIONS LASER FEMTOSECONDES : ATTEINTE AUX PERSONNES SANS QUE PERSONNE N'EN SACHE RIEN

Ce type de laser est largement étudié et utilisé en recherche et dans le domaine des applications biomédicales.

Scientifiques si vous n'y êtes pour rien, aidez-nous dans notre quête de vérité contre ces actes de torture , vous pouvez me contacter : serge.labreze@wanadoo.fr

Journal

Le 10/03/2015 , 11 heures . L'intensité du courant induit est de nouveau terrible ce matin .

vendredi 6 mars 2015

battements sonores

Capture dans le milieu ambiant du domicile
Date : 06/03/2015
Microphone : BEHRINGER ECM 8000

Le chiffre 9751 représente le nombre de battements sonores pendant une minute environ, soit 162,51 battements à la seconde ( 9751 : 60 = 162,51) .

Comme un hertz est équivalent à un événement par seconde ( 1 Hertz = 1 seconde), c'est aussi une fréquence de 162,51 Hertz.

Cette fréquence est constante dans le temps ( sous porteuse), elle est modulée par un signal synthétisé ( transcription phonétique) .

                                Capture de succession de battements sonores ( A )








                                Capture de succession de battements sonores ( B )

Sous-porteuse

Si le signal destiné à moduler une porteuse contient lui-même d'autres signaux déjà modulés, on considère que ces derniers sont modulés sur une sous-porteuse. L'utilisation de sous-porteuses permet le multiplexage de plusieurs signaux au sein d'un même canal de données.

( source : Wikipédia )

jeudi 5 mars 2015

Mesures acoustiques






































Mesures acoustiques dans le milieu ambiant du domicile où je me trouve

Date : 5/03/2015

La tension électrique ( en rouge et vert) varie constamment à une vitesse très élevée ( la source est de toute évidence un oscillateur harmonique)

mercredi 4 mars 2015

Pensée computationnelle

La pensée computationnelle s'intéresse à la résolution de problèmes, à la conception de systèmes ou même à la compréhension des comportements humains en s'appuyant sur les concepts fondamentaux de l'informatique théorique.

( source : Wikipédia )


Les rayonnements électromagnétiques et acoustiques pulsés et ciblés interagissent avec le système nerveux périphérique de manière computationnelle . 

computationnelle

   

 (informatique)   comme par le traitement d'un ordinateur, de manière logico-algébrique 
 

Computationnalisme

Le computationnalisme est une théorie fonctionnaliste en philosophie de l'esprit qui, pour des raisons méthodologiques, conçoit l'esprit comme un système de traitement de l'information et compare la pensée à un calcul (en anglais, computation) et, plus précisément, à l'application d'un système de règles. Par computationnalisme, on entend la théorie développée en particulier par Hilary Putnam et Jerry Fodor, et non le cognitivisme en général.

Le terme a été proposé par Hilary Putnam en 1961, et développé par Jerry Fodor dans les années 1960 et 1970. Cette approche a été popularisée dans les années 1980, en partie parce qu'elle répondait à la conception chomskyenne du langage comme application de règles, et aussi parce que ce modèle computationnaliste était présupposé, selon Fodor, par les sciences cognitives et les recherches sur l'intelligence artificielle.

En anglais, la computation se réfère à la calculabilité, c'est-à-dire au fait de passer d'une entrée à une sortie par le biais d'un algorithme déterminé. Le computationnalisme n'est pas une thèse ontologique sur la nature de l'esprit : il ne prétend pas que toute pensée se réduit à un calcul de ce style, mais qu'il est possible d'appréhender certaines fonctions de la pensée selon ce modèle, qu'elles soient conscientes ou infraconscientes (par exemple les processus de vision, selon l'approche des neurosciences computationnelles développé par David Marr au début des années 1980).

En termes de doctrine, le computationnalisme peut être caractérisé comme une synthèse entre le réalisme intentionnel et le physicalisme. Le premier affirme l'existence et la causalité des états mentaux, et prend en compte les attitudes propositionnelles, c'est-à-dire la manière dont le sujet se comporte à l'égard d'une proposition (« je crois que x », « je pense que p », etc.).

Le second affirme que toute entité existante est une entité physique. Le computationnalisme se présentait ainsi comme alternative à l'éliminativisme matérialiste, qui refusait l'existence de toute entité mentale. Deux noyaux théoriques ont aussi été essentiels à la formation de la théorie computationnaliste : d'une part, le formalisme mathématique développé au début du xxe siècle, qui permet en gros de concevoir les mathématiques comme la manipulation de symboles à partir de règles formelles (axiomatique de Hilbert) ; d'autre part, la calculabilité (et la machine de Turing).

 À l'aide de ces deux ensembles théoriques, on peut passer du noyau sémantique à la simple syntaxe mathématique, et de celle-ci à l'automatisation, sans jamais nier l'existence de la sémantique (c'est-à-dire du sens).

Le computationnalisme a été la cible de diverses critiques, en particulier de John Searle, Hubert Dreyfus, ou Roger Penrose, qui tournaient toutes autour de la réduction de la pensée et/ou de la compréhension à la simple application d'un système de règles. À la fin des années 1980, il a été concurrencé par un nouveau modèle cognitif, le connexionnisme

Celui-ci vise à montrer qu'on peut expliquer le langage de la pensée sans faire appel à un raisonnement gouverné par un système de règles, comme le fait le computationnalisme.

Formalisme et calculabilité : de la sémantique au mécanisme

C'est par le biais, d'une part, du formalisme mathématique, développé à la fin du xixe siècle par Gauss, Peano, Frege et Hilbert, et d'autre part de la calculabilité, que le computationnalisme traite ce problème

.Le deuxième aspect mathématique décisif dans la théorie computationnaliste, c'est la définition des fonctions calculables par Alan Turing, en 1936. En élaborant le modèle abstrait de la machine de Turing, celui-ci montrait que toute opération n'impliquant que des schémas syntaxiques pouvait être dupliqué mécaniquement. On parle aussi de la thèse de Church-Turing.

Ainsi, la formalisation mathématique montre comment les propriétés sémantiques des symboles peuvent parfois être codés selon des règles syntaxiques, tandis que la machine de Turing montre comment la syntaxe peut être relié à un processus causal, qui permet de concevoir un mécanisme capable d'évaluer toute fonction formalisable. La formalisation relie la sémantique à la syntaxe, et la machine de Turing la syntaxe au mécanisme.

L'algorithme, transformation de l'input en output

La théorie fonctionnaliste comporte ainsi trois types de spécifications :

     les spécifications d’entrées (input), les spécifications qui stipulent le genre de choses qui                causent les états mentaux chez les personnes ;
     les spécifications des états internes qui décrivent les interactions causales des états mentaux ;
     les spécifications de sorties (output) qui disent quels genres d’action ou de comportements sont    causés par les états mentaux.

( source : Wikipédia )

Neurosciences computationnelles

Les neurosciences computationnelles sont un champ de recherche des neurosciences qui s'applique à découvrir les principes computationnels des fonctions cérébrales et de l'activité neuronale, c'est-à-dire des algorithmes génériques qui permettent de comprendre l'implémentation dans notre système nerveux central de nos fonctions cognitives. Ce but a été défini en premier lieu par David Marr dans une série d'articles fondateurs.

On est devant visant à comprendre le cerveau à l'aide de modèles des sciences informatiques et combiner expérimentation avec le travail théorie et les simulations numériques.

Historiquement, un des premiers modèles introduits en neurosciences computationnelles est le modèle « intègre et tire » par Louis Lapicque en 1907. Cet article très influent en neurosciences théoriques et computationnelles introduit un des modèles les plus populaires encore à l'heure actuelle. Cet article a été traduit en anglais à l'occasion du centenaire de sa parution.

Les neurosciences computationnelles visent donc à développer des méthodes de calcul pour mieux comprendre les relations complexes entre la structure et la fonction du cerveau et du système nerveux en général. Outre une meilleure connaissance de la cognition et de ses dysfonctionnements, cette démarche permet d'appliquer un transfert de ces connaissances neuroscientifiques en proposant de nouvelles méthodes de traitement de l'information et des dispositifs technologiques innovants. Elle peut s'appliquer à différents niveaux de description, de la molécule au comportement, et nécessite l'intégration constructive de nombreux domaines disciplinaires, des sciences du vivant à la modélisation.

Les neurosciences computationnelles ne sont pas incluses dans la bio-informatique dont le champ recouvre les applications informatiques en biochimie, génétique, et phylogénie.

( source : Wikipédia )

potentiel membranaire

Extrait

Partant d’un souhait initial de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau, les réseaux de neurones artificiels sont une classe de modèles ayant eu un impact important sur le domaine du traitement et de l’analyse des données, l’inspiration biologique initiale n’ayant pas toujours été conservée dans les réalisations ultérieures. Les premiers modèles, fondés sur le neurone de Mc Culloch et Pitts, étaient fondés sur des sorties digitale et synchrones (neurones binaires). 

La seconde génération de modèles a défini des sorties analogiques et toujours synchrones, permettant des tâches plus complexes de régression et de classification probabiliste, comme illustré par le célèbre perceptron multi-couches. Nous voyons actuellement naître (ou renaître car là aussi les travaux fondateurs sont anciens) ce qui pourrait être la troisième génération de modèles (Maass, 1997), avec des neurones impulsionnels où le temps devient un élément explicite du modèle et l’activité est digitale et asynchrone. Nous décrivons les caractéristiques de ces modèles et leur intérêt potentiel.

1. Le neurone 

A l’origine de cette famille de modèles, se trouve le souhait de décrire finement le fonctionnement du neurone, vu comme cellule élémentaire de traitement de l’information et de calcul dans le système nerveux. Il est classique, dans toute description fonctionnelle du neurone, de le décomposer en quatre modules, les dendrites qui recueillent l’activité des neurones afférents, le corps cellulaire qui intègre cette activité, l’axone qui transmet l’excitation éventuelle du neurone et les synapses qui assurent les connexions entre neurones par des mécanismes chimiques reposant sur l’envoi et la réception de neurotransmetteurs. Ici, il va s’agir de décrire finement le fonctionnement électrique du neurone en insistant sur quelques caractéristiques particulières. 


Au premier plan se trouve la différence de potentiel qui existe entre l’intérieur et l’extérieur du neurone, régulée par des canaux ioniques situés sur la membrane du neurone, qui déterminent des différences de concentration en certaines espèces ioniques de chaque coté de cette membrane. Lorsque le neurone est au repos, la différence de potentiel est de –70mV à l’intérieur de la cellule. 

Lorsque le neurone est soumis à des excitations, ce potentiel membranaire va évoluer progressivement (de façon relativement linéaire par rapport à cette excitation), jusqu’à un seuil au-delà duquel on va observer une variation soudaine et importante de ce potentiel. Cette phase de comportement non-linéaire va se traduire par une excitation du neurone qui va devenir actif et transmettre un potentiel d’action le long de son axone à destination des neurones efférents. 

Ce potentiel d’action ou spike est de courte durée (1ms) et de forme et d’amplitude invariable, même au cours de sa transmission le long de l’axone. Juste après cette émission, le potentiel retombe sous le niveau de repos (hyper-polarisation) et après une phase réfractaire où le neurone n’est plus excitable, il rejoint son niveau de repos et peut reprendre le cycle. 

C’est l’arrivée d’un potentiel d’action dans les terminaisons axonales qui est à l’origine de la libération de neurotransmetteurs dans la fente synaptique, qui seront recueillis par le neurone postsynaptique et produiront un potentiel post-synaptique (PSP) au niveau de la membrane dendritique post-synaptique. 

La nature inhibitrice ou excitatrice de la synapse permettra de distinguer entre potentiel post-synaptique inhibiteur ou excitateur (IPSP ou EPSP). Ce type de potentiel est de faible amplitude, relativement étendu dans le temps et retardé par rapport au temps de réception du spike.


2. Modèles de neurones impulsionnels 

C’est l’ensemble de ces phénomènes électriques et leurs propriétés associées que l’on essaye de capturer dans les modèles de neurones impulsionnels, vus comme des systèmes dynamiques dont la variable d’état principal est le potentiel membranaire (V).


( source : hal.archives-ouvertes )

mardi 3 mars 2015

Tonotopie

La tonotopie correspond à l'organisation de la perception des sons au niveau de la membrane basilaire de la cochlée, incluant une représentation du spectre auditif tout au long du conduit cochléaire selon la fréquence d'une onde sonore (stimulus auditif dans ce cas).

( source : Wikipédia )

Journal

Le 4/03/2015 , 7 heures 14 . pression de radiation très forte, hier au soir une succession de piqûres sur les jambes , harcèlement sonore ( battement ) ...

11 heures 07 , pression et contractures musculaires ( très forte) au niveau du dos.

déplacement de la membrane basilaire générée par un son de 400 Hz et un son de 4 kHz

Simulation du déplacement de la membrane basilaire générée par un son de 400 Hz et un son de 4 kHz. Chaque segment de la MB interagit instantanement avec les autres lorsque les fluides traversent le canal cochléaire (Mammano)


Son de 400 Hz
Son de 4 kHz


a) Cellules ciliées internes 

Système afférent radial
Après dépolarisation, les cellules ciliées internes libérent un neurotransmetteur dans leurs synapses avec les fibres auditives. Les travaux de R. Pujol (Montpellier) et J. Fox (N.I.H. - Bethesda) ont permis de mieux comprendre leur mécanisme depuis 1990.

Le glutamate

- Le glutamate (ou analogue) utilisé par les cellules ciliées internes excitées va se fixer en partie sur les récepteurs post-synaptiques où il est responsable du message dans la fibre nerveuse. C'est un neurotransmetteur d'excitation rapide.

( source : chups.jussieu )

Le codage spatial de la fréquence

L’énergie sonore est véhiculée et régulée par l’oreille externe, puis l’oreille moyenne, vers la fenêtre ovale de la cochlée, organe acteur de la transmission des sons. Les pressions acoustiques sont alors transmises à la fenêtre ronde sous forme d’onde de pression dans les liquides intra-cochléaires provoquant une vague de déformation rythmée de la membrane basilaire, appelée onde de Bekesy (figure 1). Les cellules ciliées sont alors activées et permettent alors la transduction sonore.

 Figure 1 : Onde de Bekesy
La membrane basilaire présente une structure spéciale de sa base vers l’apex donnant lieu à un codage par tonotopie en fonction de la fréquence des ondes sonores (figure 2). Quand on s’éloigne de la fenêtre ovale, on traite des sons de plus en plus graves (de fréquence plus basse)



Figure 2 : Anatomie de la cochlée déroulée
La déformation du canal cochléaire lors de l’arrivée d’une onde sonore conduit à un mouvement de la membrane basilaire : le son provoque une déformation vers le haut de la membrane basilaire, entraînant la lame réticulaire dans le même sens vers la partie interne de la cochlée (figures 3 et 4).

Figure 3 : Membrane basilaire schématisée déroulée

Figure 4 : Image de «la palme de nage »
Le déplacement vers le haut de la membrane basilaire et les mouvements liquidiens intra-cochléaires sont excitateurs.
Chaque cellule ciliée interne correspond à une fréquence mécanique, une fréquence de résonance électrique. La flexion des cils, par le déplacement de la membrane, modifie la résistance électrique, permettant l’activation de canaux mécanosensibles sélectifs pour le K+. Il en résulte une entrée massive de K+ dans la cellule. On assiste alors à la dépolarisation , libération accrue de neurotransmetteurs (figure 5).

Figure 5 : Transduction mécano-électrique
Selon sa position sur la membrane basilaire, chaque cellule ciliée interne réagira à une fréquence caractéristique pour laquelle elle se dépolarise préférentiellement à un très faible niveau d'intensité.

Les cellules ciliées internes dépolarisées créent un influx nerveux, à destination des centres nerveux supérieurs. Elles entrent ensuite en contact, par leur pôle inférieur, avec les terminaisons des neurones du tronc cérébral, qui vont véhiculer le message partiellement analysé vers le cerveau (figures 5 et 6).

Figure 6 : Innervation des cellules ciliées
La danse rythmée des cils (fréquences sonores) se transforme en une activité rythmée de l’activité (Potentiels d’action à différentes fréquences) des fibres nerveuses qui forment le nerf auditif.

Les fibres du nerf auditif présentent un arrangement selon les fréquences, dit tonotopique : celles provenant de l'apex de la cochlée (fréquences graves) sont au centre, entourées par celles issues de la base (fréquences aiguës).

La fréquence d’un son est alors codée par la fréquence des potentiels d’action (figure 7) et par cette propriété de tonotopie.

Figure 7 : Réponse globale du nerf cochléaire
L’organisation spatiale des fibres cochléaires issues de chaque portion de la membrane basilaire se poursuit jusque dans les noyaux cochléaires du tronc cérébral. De cette façon, la représentation tonotopique de la membrane basilaire est reproduite au niveau du noyau cochléaire (figure 8).

Figure 8 : Représentation tonotopique du noyau cochléaire
Cette organisation spatiale est maintenue jusqu’au cortex, au niveau de l’aire corticale A1 (cortex auditif primaire).

Figure 9 : Représentation tonotopique du cortex auditif primaire

Figure 10 : Organisation du cortex auditif primaire en couches
Sur cette figure, on observe bien la tonotopie du cortex auditif primaire, allant des basses fréquences vers les hautes (frequency columns).

( source : python.sm.u-bordeaux2 )

La résonance

La résonance : Derrière ce terme connu mais en même temps abstrait se cache un phénomène fondamental qui concerne tout ce qui vibre d'une manière ou une autre : les ondes électromagnétiques, la lumière, le son, la matière qui est composée d'atomes dont les électrons oscillent en permanence… mais aussi la pensée, les sentiments et par conséquent chaque aspect de nous-même !

Il y a résonance quand deux ondes de même fréquence se rencontrent. Dans ce cas, l'amplitude (hauteur de la vague que forme l'onde) de chacune de ces ondes s'amplifie jusqu'à atteindre un maximum : la fréquence de résonance.

Ainsi :
– si deux sons de même fréquence se rencontrent, les ondes entrent en résonance : le volume sonore augmente vers un maximum d'intensité.
– si une onde rencontre une matière solide qui a la même "fréquence propre", sa structure moléculaire entre en résonance, jusqu'à la casser si l'amplitude dépasse les capacités d'amortissement du solide.

( source : geobio-logique )

dimanche 1 mars 2015

Journal

Le 1/03/2015 , 10 heures 21 . - puissance du rayonnement électromagétique intense ce matin -