jeudi 31 décembre 2015

Potentiel membranaire

On ne trouve pas les mêmes ions en milieu extracellulaire ou intracellulaire. Le tableau suivant compare les concentrations dans chacun des milieux :

Pour une cellule non excitable, c'est à dire qui n'est ni un neurone, ni une cellule musculaire, seul le potassium est autorisé à traverser la membrane via des canaux spécifiques et c'est donc la différence de concentration de cet ion qui gouverne la valeur du potentiel membranaire ...


Si d'autres ions sont autorisés à traverser la membrane (neurones, muscles), on pondère chaque concentration par la vitesse de passage de l'ion (perméabilité) à travers la membrane et l'on somme au numérateur les concentrations pondérées de chaque cation extracellulaire et de chaque anion intracellulaire pour diviser par la somme des concentrations pondérées de chaque cation intracellulaire et de chaque anion extracellulaire.


Il est important de noter que cette différence de potentiel trouve son origine dans le déséquilibre de charge qui existe de part et d''autre de la surface de la membrane. En aucun cas, il ne peut y avoir d'accumulation de charges à l'intérieur ou à l'extérieur de la cellule, milieux qui restent toujours parfaitement électriquement neutres.


"L’interaction entre un laser femtoseconde intense avec la matière produit un plasma ...
, composé d’ions fortement ionisés et d’électrons libres via lesquels le laser transfère son énergie à la matière." ( source : loa.ensta-paristech )

Or, le système "en question" émet des impulsions laser femtosecondes et un plasma ( voir les enregistrements vidéos sur la capture du plasma et la filamentation femtoseconde ) , les mesures de tension et d'intensité qui ont été faites sur la peau, montrent un courant induit, et une différence de potentiel anormalement élevée, ( environ 5 Volts en valeur efficace !) et ce, en permanence. Les cellules ne sont donc plus électriquement neutres comme cité ci-dessus,
...


Système

Un système est un ensemble d'éléments interagissant entre eux selon certains principes ou règles. Un système est déterminé par :

. la nature de ses éléments constitutifs ;
. les interactions entre ces derniers ;
. sa frontière, c'est-à-dire le critère d'appartenance au système (déterminant si une entité appartient           au système ou fait au contraire partie de son environnement) ;
. ses interactions avec son environnement.

Un sous-système ou module est un système participant à un système de rang supérieur.

Un système peut être ouvert, fermé, ou isolé selon son degré d’interaction avec son environnement.

En grec ancien, sustēma signifie « organisation, ensemble », terme dérivé du verbe συνίστημι sunistēmi (de σύν ἵστημι sun histēmi : « établir avec »), qui signifie « mettre en rapport, instituer, établir ».

( source : Wikipédia )

Journal

Le 31/12/2015 , 13 heures 29 . Je me documente sur la chimie, car le système en question ( utilisation abusive de la télédétection par laser ou Lidar par les nanosciences et nanotechnologies sur de nombreuses personnes ciblées ) a dans son principe des éléments de nature chimique ainsi que physique et biologique, qui interagissent entre elles.

Polarité (chimie)

En chimie, la polarité est une caractéristique décrivant la répartition des charges négatives et positives dans un dipôle. La polarité d'une liaison ou d'une molécule est due à la différence d'électronégativité entre les éléments chimiques qui la composent, des différences de charge qu'elle induit, et à leur répartition dans l'espace. Plus les charges sont réparties de façon asymétrique, plus une liaison ou molécule sera polaire, et au contraire, si les charges sont réparties de façon totalement symétrique, elle sera apolaire, c'est-à-dire non polaire.

La polarité et ses conséquences (forces de van der Waals, liaison hydrogène) influent sur un certain nombre de caractéristiques physiques (tension superficielle, point de fusion, point d'ébullition,solubilité) ou chimiques (réactivité).

Polarité d'une molécule

Une molécule est un assemblage chimique constitué d'une ou plusieurs liaisons covalentes résultant de la combinaison des orbitales atomiques des atomes qui la composent. Dans cette molécule, en fonction de la nature et donc de l'électronégativité des atomes qui la composent, peuvent apparaître des charges partielles. La répartition de ces charges dans l'espace donne son caractère polaire ou non à la molécule.

   . Si le barycentre des charges positives et celui des charges négatives coïncident, la répartition des        charges est symétrique dans la molécule et celle-ci est qualifiée d'apolaire.
   . En revanche, si les deux barycentres ne coïncident pas, il y a dans la molécule deux pôles distincts, de charges opposées. La séparation de ces pôles induit un moment dipolaire , dans la molécule, dont la norme est le produit de la distance entre les pôles par la charge. Plus la valeur du moment dipolaire est grande, plus la molécule est polaire.

La polarité d'une molécule influe sur ses propriétés physiques ou chimiques.

( source : Wikipédia )

Biologie moléculaire

Extrait







( source : slideplayer )

mercredi 30 décembre 2015

Dipôle oscillant

Évolution temporelle du champ
électrique créé par un dipôle oscillant,
l’oscillation se faisant selon l’axe
vertical. On reconnaît près du centre
une structure comparable à celle du
dipôle statique ; en s’éloignant, il prend
la forme d’une onde progressive.
Le dipôle oscillant est un modèle intervenant en électromagnétisme décrivant les effets du mouvement oscillatoire d’une particule chargée aux alentours d’un point fixe. Il explique des phénomènes tels que la diffusion Rayleigh le fonctionnement des antennes dipolaires.

Phénomène de rayonnement d’un dipôle

Une particule chargée est la source d’un champ magnétique dépendant de sa position. Par conséquent, une particule en mouvement, telle qu’un électron se déplaçant librement autour d’un noyau d’atome, ou mis en mouvement par un champ forcé, génère un champ électrique variable dans le temps, qui d’après les équations de Maxwell se propage sous la forme d’une onde électromagnétique.

( source : Wikipédia )

Électron

L'électron est une particule élémentaire qui possède une charge élémentaire de signe négatif et est l'un des composants de l'atome avec les neutrons et les protons. Il est fondamental en chimie, car il participe à presque tous les types de réactions chimiques et constitue un élément primordial des liaisons présentes dans les molécules. En physique, l'électron intervient dans une multitude de rayonnements et d'effets.

Ses propriétés, qui se manifestent à l'échelle microscopique, expliquent la conductivité électrique, la conductivité thermique, l'effet Vavilov-Tcherenkov, l'incandescence, l'induction électromagnétique, la luminescence, le magnétisme, le rayonnement électromagnétique, la réflexion optique et la supraconductivité, phénomènes macroscopiques largement exploités dans les pays industrialisés. Possédant la plus faible masse de toutes les particules chargées, il sert régulièrement à l'étude de la matière.

( source : Wikipédia )

lundi 28 décembre 2015

Electrostatique



( source : slideplayer )

dimanche 27 décembre 2015

Journal

Le 28/12/2015 , 7 heures 38 . Le rayonnement est encore très puissant, surtout au niveau du dos, souvent , focalisation sur des points précis au niveau de la colonne vertébrale ( sensations de pression, vibration, transfert d'énergie ) . Battements sonores persistants .

Journal

Le 27/12/2015 , 20 heures 20 . Pression de radiation intense aujourd'hui ...

samedi 26 décembre 2015

télédétection

La plupart des méthodes d' observation ou de mesure des phénomènes et grandeurs physiques à l'aide d'instruments supposent ceux-ci placés in situ , au contact ou à l'intérieur du milieu constituant le site matériel ou énergétique du phénomène observé ou de la grandeur mesurée : par exemple, un thermomètre implanté dans une radiosonde ou sous une bouée mesure la température de l' air ou de l'eau qui l'environne immédiatement.

D'autres méthodes existent cependant, qui permettent un éloignement de l'instrument d'observation au milieu observé, ne fût-ce qu'en recourant à des appareils classiques d'optique ou d'acoustique (y compris l'œil ou l'oreille, d'ailleurs, quand l'observateur s'en sert sans montage intermédiaire).

Le principe de ces méthodes et de ces instruments, qui rendent possibles l'observation ou la mesure à distance et s'appellent pour cette raison les méthodes et instruments de télédétection, est donc très ancien : mais grâce à l'électronique, des techniques nouvelles, dans le prolongement de la photographie, ont énormément élargi au XX e siècle le potentiel d'exploitation de la transmission par ondes électromagnétiques ou acoustiques, sur lequel reposait déjà l'observation dans le visible ou l'audible.

Ces techniques sont réalisables aussi bien à terre ou en mer que sur un support aéronautique, comme l'avion, ou spatial, comme le satellite artificiel , et elles peuvent employer des capteurs passifs (par exemple les radiomètres ), qui se contentent de "regarder" le milieu cible en recueillant les ondes qu'il émet, ou des capteurs actifs (par exemple les radars), qui "éclairent" puis "regardent" ce milieu en captant, parmi les ondes d'autre nature qu'ils ont précédemment émises vers lui, celles qu'il a rétrodiffusées.

La météorologie moderne utilise intensément les instruments de télédétection, dans certaines stations automatiques au sol, et aussi sur des avions et des ballons d'une part, des navires et des bouées d'autre part, principalement à des fins expérimentales ; mais surtout, elle recourt à la télédétection — et souvent de façon pleinement opérationnelle — dans deux grands secteurs de l'observation : celui des satellites météorologiques , où tous les instruments travaillent bien sûr à distance, et celui des radars météorologiques , organisés le plus souvent en réseaux de radars . Par rapport aux réseaux météorologiques classiques, qui n'offrent qu'une agrégation d' observations éparses, l'observation continue de volumes atmosphériques ou de surfaces terrestres permise par la météorologie satellitaire couvre un espace bien plus vaste — ce qui est particulièrement intéressant au-dessus des océans — et se révèle bien plus riche en données brutes ; toutefois, ces avantages sont tempérés par la fréquente complexité d'interprétation de ces données (car ce ne sont pas directement des données de vent , de température, d' humidité ...) et par l'imprécision qui peut en résulter.

Les images satellite transmises par les radiomètres des satellites géostationnaires dans des canaux du visible et de l' infrarouge couvrent une large fraction de la Terre, où elles apportent une information essentielle sur les systèmes nuageux , et donc sur la structure et l'évolution des perturbations à grande échelle , mais aussi sur la température de surface de la mer par exemple. Quant aux satellites défilants , ils évaluent sur l'ensemble du globe une grande variété de paramètres atmosphériques, océaniques et aussi environnementaux, puisqu'ils peuvent observer en détail le "paysage" du sol et des côtes ; les performances de leurs sondeurs se sont accrues grâce à l'utilisation de radars à faisceau laser, ou lidars , auxquels recourent entre autres les interféromètres et les diffusiomètres . Des lidars sont également employés au sol pour mener des sondages de la basse atmosphère — à côté de radars à ondes acoustiques, ousodars , et de radars à ondes métriques ou décimétriques, utilisés comme profileurs de vent — , tandis que les radars à ondes centimétriques sont destinés à l'observation et à la mesure opérationnelles des précipitations .

( source : comprendre.meteofrance )

Journal

Le 26/12/2012 , 8 heures 41 . Avant de montrer les conséquences des interactions sur les récepteurs sensoriels, la compréhension du fonctionnement du système est nécessaire, sans précision de cause à effet, pas de preuve, personne ne peut comprendre, et encore moins la justice.

Les abus des nanotechnologies ( microscopique ) , sont plus complexes à prouver que les abus macroscopiques.

microscopique

invisible

macroscopique

Que l' on peut observer à l‘oeil nu.

vendredi 25 décembre 2015

Joyeux Noël

Que cette journée soit riche en douceur et qu'elle vous apporte l'amour et la paix . Joyeux Noël

mardi 22 décembre 2015

Modulation par déplacement de fréquence

La modulation par déplacement de fréquence (MDF), plus connue sous sa dénomination anglophone de frequency-shift keying (FSK) est un mode de modulation de fréquence numérique dans lequel le signal modulé varie entre des fréquences prédéterminées.

Minimum-shift keying

La minimum frequency-shift keying ou minimum-shift keying (MSK) est une forme très efficace de modulation FSK en termes d'occupation de spectre. En MSK, la différence entre la fréquence haute et la fréquence basse est égale à la moitié du débit binaire en bits par seconde. En conséquence, lorsqu'on transmet un 0, il s'écoule exactement 1 période de plus (ou de moins) dans le signal de sortie que lorsqu'on transmet un 1. Dans cette technique, l'indice de modulation vaut 0,5 : c'est le plus petit indice de modulation utilisable en FSK de sorte que les signaux pour 0 et 1 soient orthogonaux. Une variante de MSK, appelée GMSK est utilisée dans la norme de téléphonie GSM.

AFSK : Audio FSK

L'AFSK est une variante de la FSK dans laquelle la porteuse est un signal audible, donc de fréquence inférieure à quelques kilohertz. De cette façon, le signal modulé peut être transmis par une installation conçue pour véhiculer la voix ou de la musique, par exemple une liaison téléphone ou radio. Dans ce dernier cas, le signal est modulé une deuxième fois lors de la transmission.

( source : Wikipédia )

lundi 21 décembre 2015

Radar multistatique

Un système radar multistatique comporte au moins trois composants — par exemple, un récepteur et deux émetteurs, ou deux récepteurs et un émetteur, ou encore plusieurs émetteurs et plusieurs récepteurs. C'est, en fait, une généralisation du radar bistatique avec un ou plusieurs récepteurs traitant les informations de un ou plusieurs émetteurs situés sur des positions différentes.

( source : Wikipédia )

Radar pseudo-monostatique

Certains systèmes ont bien des émetteur et récepteur séparés mais l'angle sous-tendu par l'émetteur, la cible et le récepteur (« angle bistatique ») est voisin de zéro (l'émetteur et le récepteur sont proches l'un de l'autre) si bien que dans ce cas on est ramené au cas de figure d'un radar monostatique, c'est pourquoi cette configuration est appelée « pseudo–monostatique ». Par exemple, certains radars HF à longue portée ont leur émetteur et leur récepteur séparés de quelques dizaines de kilomètres pour des raisons d'isolation électrique, mais, au regard de leur portée de 1 000 à 3 500 km, ils ne sont pas considérés comme des bistatiques vrais et sont appelés « pseudo-monostatiques ».

( source : Wikipédia )

La résolution


La résolution des images numériques est définie par le nombre de pixels par millimètres. En télédétection, on exprime la résolution des images par la taille de la zone couverte par un pixel. Chaque pixel de l'image correspond à une partie de la surface de la terre. On parle alors de "résolution-sol".
Chaque élément sensible du CCD du capteur haute résolution du satellite SPOT ne mesure que 13 µm (0,013 mm) mais, cet élément sensible "voit" une zone d'environ 10x10 mètres à la surface de la terre à travers le télescope du système d'observation. On dira donc que la résolution de ce capteur est de 10 mètres.
Comme le capteur CCD de ce satellite est composé de 6000 éléments sensibles placés le long d'une barrette, le satellite circulant sur son orbite "balaye" une zone de 6000 x 10 m (60km) à la surface de la terre.
La résolution des satellites d'observation de la terre les plus courants est donnée dans le tableau ci-dessous :
Satellite
Capteur
Résolution-sol
Landsat
MSS
80m
Landsat
Thematic Mapper
30m
SPOT
XS (Multispectral)
20m
SPOT
Panchromatique
10m
Ikonos
Multispectral
4m
Ikonos
Panchromatique
1m

( source : eoedu.belspo )




Résolution spectrale

En fonction de leurs caractéristiques techniques, les capteurs à bord des satellites enregistrent le rayonnement réfléchi ou émis par les objets au sol dans des gammes ou intervalles de longueur d'onde donnés.

La résolution spectrale est l'aptitude du capteur à distinguer des rayonnements électromagnétiques de fréquences différentes.

( source : eoedu.belspo )

Journal

Le 21/12/2015 , 10 heures 55 . Il y a en cours et depuis une dizaine d'années une utilisation abusive de la télédétection sur des personnes ciblées qui subissent 24h/24 des souffrances physiques et morales extrêmement cruelles (Expérimentations , manipulations. Tortures ) , je pense que certains de ces opérateurs dupent les responsables politiques, en cachant la réalité de ces atrocités.

Qu'est-ce que la télédétection ?

La télédétection est une technique permettant d'obtenir de l'information sur des objets en analysant des données collectées par des instruments n'étant pas en contact direct avec ces objets.

... au moyen d'instruments placés à bord d'avions ou de satellites.

Pratiquement, les capteurs utilisés en télédétection couvrent le domaine de l'ultraviolet (<0.3 µm), le domaine visible (de 0.4 µm à 0.7 µm), l'infrarouge proche (0.7 µm à 1.5 µm) et l'infrarouge thermique (jusque 1000 µm ou 1 mm).

" le lidar utilise de la lumière (du spectre visible, infrarouge ou ultraviolet) "

L'utilisation abusive réside dans le détournement d'un système de télédétection classique, qui concerne l'image, au profit d'un système qui permet des stimulations sensorielles électromagnétiques et acoustiques à des fins d'expérimentations, de harcèlement et de tortures sur de nombreuses personnes en France et dans le monde. Les personnes qui en sont victimes vivent dans d'extrêmes souffrances physiques et morales.

samedi 19 décembre 2015

Spectre d'émission

Des atomes ou molécules excités (par exemple par chocs) se désexcitent en émettant une onde électromagnétique. Celle-ci peut se décomposer en une superposition d'ondes sinusoïdales (monochromatiques) caractérisées par leurs longueurs d'onde. Le spectre est constitué par l'ensemble des longueurs d'ondes présentes.

( source : Wikipédia )

Domaines du spectre électromagnétique









( source : Wikipédia )

Plan national santé-environnement

Le PNSE ou Plan national santé environnement vise - en France - à développer une approche pluridisciplinaire du thème « Santé-Environnement ».

PNSE 3 (2015-2019)

Le PNSE 3 s'organise autour de 4 axes : la prévention générale et collective, la prévention individuelle et ciblée, la lutte contre les inégalités territoriales de santé, le renforcement de la dynamique en santé-environnement dans les territoires. Il repose sur quatre principes.:

   . Agir pour un environnement favorable à la santé pour tous et en priorité pour les individus les plus      vulnérables
   . Mettre l’individu et la collectivité au centre du dispositif et intégrer la notion de bien-être (au sens      de l’OMS) dans la définition de la santé environnementale.
   . Favoriser les actions de prévention en agissant à la source ou en protégeant les populations et en          faisant respecter le principe pollueur–payeur.
   . Réduire les inégalités environnementales d’exposition.

27 actions ont été prescrites concernant les enjeux sanitaires prioritaires. 53 actions concernant les enjeux de connaissance des expositions, 10 actions pour la santé et l'environnement et 17 actions autour des enjeux d'information et de communication.

( source : Wikipédia )

spectre de fréquence

Décomposition d'un rayonnement électromagnétique en un ensemble de fréquences caractéristique de la source d'émission.

( source : eutelsat )

Spectre fréquentiel




















Date : 19/12/2012

Mesure avec sonde sur la peau

Spectre fréquentiel

Appareil de mesure : Fluke 199C