http://www.change.org/p/~~number=plural
lundi 18 janvier 2016
applications militaires
L'optronique est la combinaison de l'optique et de l'électronique relevant de la détection, du traitement des images et de leur stabilisation.
Sagem (applications militaires) : grâce à la complémentarité de ses différentes expertises technologiques, la société propose une large gamme de solutions optroniques haut de gamme à ses clients.
( source : safran-group )
samedi 16 janvier 2016
vendredi 15 janvier 2016
Rayonnement corpusculaire
Le rayonnement corpusculaire est un rayonnement d'énergie électromagnétique par l'intermédiaire de particules subatomiques en mouvements rapides. Le rayonnement corpusculaire est une référence à un faisceau de particules se déplaçant toutes dans la même direction, à la manière d'un faisceau de lumière.
En conséquence de la dualité onde-particule, toutes les particules en mouvement ont aussi des caractéristiques ondulatoires. Les particules de plus hautes énergies présentent plus facilement des caractéristiques corpusculaires, alors que les particules de plus faibles énergies exhibent plutôt des caractéristiques ondulatoires.
En conséquence de la dualité onde-particule, toutes les particules en mouvement ont aussi des caractéristiques ondulatoires. Les particules de plus hautes énergies présentent plus facilement des caractéristiques corpusculaires, alors que les particules de plus faibles énergies exhibent plutôt des caractéristiques ondulatoires.
jeudi 14 janvier 2016
Rayonnement
Un rayonnement, synonyme de radiation, désigne le processus d'émission ou de transmission d'énergie impliquant une onde, une particule.
Types de rayonnements
On peut décrire les rayonnements corpusculaire grâce au type de particule qu'ils transportent. Il peut par exemple s'agir de neutrons, de protons, d'électrons, de positons, de particules alpha, de particules bêta (bêta plus ou bêta moins), de rayonnement gamma (électrons en position gamma), de neutrino, ou de muons.
Il existe également des rayonnements ondulatoires, comme le rayonnement sonore (ou acoustique), qui correspondent à la propagation d'énergie sous la forme d'une onde, ici une onde mécanique.
La dualité onde-particule enseigne que décrire un objet quantique nécessite de le considérer à la fois comme une particule et une onde. Ainsi, un rayonnement électromagnétique, peut être considéré comme un flux de photons ou comme la propagation d'une onde électromagnétique.
( source : Wikipédia )
Optronique
L’optronique est une technique permettant de mettre en œuvre des équipements ou des systèmes utilisant à la fois l’optique et l’électronique. Elle associe généralement un capteur optique, un système de traitement d’images, un système d’affichage ou de mémorisation.
Différentes techniques
Veille infrarouge
Les équipements de veille infrarouge (IRST) permettent de détecter des cibles dans un champ large (jusqu’à 360°). Ces détecteurs peuvent être actifs, comme le Lidar ou passifs, ce qui permet une discrétion totale.
Il est possible de catégoriser un système optronique par la longueur d’onde utilisée :
- la bande ultraviolette,
- la bande visible et très proche de l'infrarouge,
- la « bande 1 » : infrarouge proche, de 1 à 3 μm, cette bande est utilisée pour la détection de corps portés à températures élevées (1000 à 2000 k).
- la « bande 2 » : moyen infrarouge, permet de détecter des corps portés à une température moyenne de 600 k, par exemple des avions.
- la « bande 3 » : lointain infrarouge permet de détecter des corps autour de 300 k, et peut être utilisée pour la vision de nuit .
( source : Wikipédia )
lundi 11 janvier 2016
Vent ionique
Un vent ionique, ou vent d'ions, ou encore vent coronal est un courant d'un fluide ionisé généré par un fort champ électrique.
Principe
Les charges électriques des conducteurs résident entièrement sur leurs surfaces externes (voir Cage de Faraday), et tendent à se concentrer plutôt aux extrémités (sommets et arêtes) pointues que sur les surfaces régulières. Ceci signifie que le champ électrique généré par une charge sur un sommet conducteur aigu est beaucoup plus fort que le serait le champ généré par la même charge affectant un gros noyau conducteur sphérique et lisse. Lorsque cette force de champ électrique excède ce qu'on connaît sous le nom de gradient de voltage d'inception de décharge corona (CIV), elle ionise l'air vers l'extrémité de la pointe, et l'on peut dans l'obscurité observer un faible jet de plasma violet sur l'extrémité conductrice. L'ionisation des molécules d'air proches résulte de la génération de molécules d'air ionisées ayant la même polarité que celle des extrémités chargées.
Subséquemment, l'extrémité repousse un nuage d'ions identiquement chargés, qui s'étend immédiatement, du fait de la répulsion entre les ions eux-mêmes. Cette répulsion crée un vent électrique émanant de l'extrémité, habituellement accompagné d'un sifflement dû au changement de la pression de l'air situé à proximité de l'extrémité.
Subséquemment, l'extrémité repousse un nuage d'ions identiquement chargés, qui s'étend immédiatement, du fait de la répulsion entre les ions eux-mêmes. Cette répulsion crée un vent électrique émanant de l'extrémité, habituellement accompagné d'un sifflement dû au changement de la pression de l'air situé à proximité de l'extrémité.
( source : Wikipédia )
L'influx nerveux
Au repos, il existe une différence de potentiel négative (environ -70 mV, c'est le potentiel de repos) entre la face interne de la membrane du neurone et sa face externe. Cette différence de potentiel vient d'une part d'une différence de concentration en ions entre l'intérieur et l'extérieur du neurone et d'autre part d'un courant ionique traversant la membrane du neurone. Ce dernier, appelé courant de fuite, est essentiellement dû aux ions potassiques qui sortent de la cellule en passant dans des canaux ioniques constamment ouverts. L'influx nerveux se caractérise par une modification instantanée et localisée de la perméabilité de la membrane du neurone : des ions sodium (Na+) pénètrent dans la cellule en passant au travers de canaux ioniques sélectivement perméables au sodium. Le potentiel de membrane prend alors une valeur positive (environ +35mV). Ce phénomène porte le nom de dépolarisation. Puis, très rapidement des ions potassium (K+) sortent de la cellule en passant au travers d'autres canaux ioniques, perméables au potassium. Le potentiel de membrane reprend alors une valeur négative : on parle de repolarisation. L'ensemble constitué par la dépolarisation suivie de la repolarisation s'appelle le potentiel d'action. Il ne dure que quelques millisecondes. Le potentiel d'action, ou influx nerveux, se propage de proche en proche le long de l'axone du neurone.
Potentiel d'action
Potentiel d'action
Le potentiel d'action, autrefois et encore parfois appelé influx nerveux, est un évènement court durant lequel le potentiel électrique d'une cellule (notamment les neurones, mais aussi d'autres cellules excitables telles que les cellules musculaires et les cellules endocrines) augmente puis chute rapidement.
Le déplacement d'un potentiel d'action le long d'un axone, modifie la polarité de la membrane cellulaire. Les canaux ioniques Na+ et K+ voltage-dépendants s'ouvrent puis se ferment quand la membrane atteint le potentiel seuil, en réponse à un signal en provenance d'un autre neurone. À l'initiation du potentiel d'action, le canal Na+ s'ouvre et le Na+ extracellulaire rentre dans l'axone, provoquant une dépolarisation. Ensuite la repolarisationse produit lorsque le canal K+ s'ouvre et le K+ intracellulaire sort de l'axone. Cela crée un modification de polarité entre l’extérieur et l’intérieur de la cellule. L'influx se déplace le long de l'axone dans une seule direction, vers la terminaison axonale où il y a relais avec d'autres neurones.
Le système à énergie dirigée "en question " est un faisceau de particules chargées d'ions et d'électrons ( laser-plasma) . Les impulsions de ce faisceau envoient des chocs calibrés et paramétrés en temps et en intensité sur les tissus, ...
Le déplacement d'un potentiel d'action le long d'un axone, modifie la polarité de la membrane cellulaire. Les canaux ioniques Na+ et K+ voltage-dépendants s'ouvrent puis se ferment quand la membrane atteint le potentiel seuil, en réponse à un signal en provenance d'un autre neurone. À l'initiation du potentiel d'action, le canal Na+ s'ouvre et le Na+ extracellulaire rentre dans l'axone, provoquant une dépolarisation. Ensuite la repolarisationse produit lorsque le canal K+ s'ouvre et le K+ intracellulaire sort de l'axone. Cela crée un modification de polarité entre l’extérieur et l’intérieur de la cellule. L'influx se déplace le long de l'axone dans une seule direction, vers la terminaison axonale où il y a relais avec d'autres neurones.
( source : Wikipédia )
samedi 9 janvier 2016
Principe de Curie
« Lorsque certaines causes produisent certains effets, les éléments de symétrie des causes
doivent se retrouver dans les effets produits. »
vendredi 8 janvier 2016
Projectile à énergie pulsée
Le Projectile à énergie pulsée (Pulsed Energy Projectile) ou PEP est une technologie d'arme non létale. Il utilise l'émission d'impulsions électromagnétiques générées par un laser qui, au contact de la cible, évaporent la surface et créent une petite quantité de plasma explosif ; il en résulte une onde de choc sonore qui assomme la cible tandis que l'impulsion électromagnétique affecte les cellules nerveuses et cause une sensation de douleur intense.
En 2003, un rapport militaire Américain confirmait que les radiations électromagnétiques générées par le PEP causaient de la douleur et une paralysie temporaire lors d'expériences sur des animaux.
( source : Wikipédia )
En 2003, un rapport militaire Américain confirmait que les radiations électromagnétiques générées par le PEP causaient de la douleur et une paralysie temporaire lors d'expériences sur des animaux.
( source : Wikipédia )
Fabrice Charra - Manipuler l’onde lumineuse à l’échelle nanométrique
Publié le mardi 12 avril 2011
Mardi 12 avril à 12h00 - Le Diapason
Résumé : L’aspect visuel de notre environnement est le résultat d’échanges entre les ondes lumineuses et la matière. Qu’il s’agisse d’émission, d’absorption ou de propagation de la lumière, la plupart de ces interactions trouvent leur origine à l’échelle moléculaire ou atomique. Or, les nano-sciences et les nano-technologies permettent aujourd’hui d’observer et de façonner la matière jusqu’à de telles échelles. Grâce au développement de nouvelles techniques de microscopie, auquel nous participons, il est même possible d’imager les distributions spatiales de champs optique, c'est-à-dire les ondes lumineuses elles-mêmes, à l’échelle « nano ». Grâce à ces techniques, nous avons pu observer et comprendre comment certains nano-objets métalliques agissent sur la lumière. En mettant de tels nano-objets en contact avec des molécules fluorescentes ou génératrices de seconde harmonique optique, il est possible de maîtriser l’interaction de ces dernières avec le champ optique, phénomène que nous avons utilisé pour réaliser des nano-sources de lumière.
Faisceaux d'électrons
Les physiciens américains Tajima et Dawson ont proposé en 1979 d'utiliser des plasmas créés par laser pour accélérer des particules . Dans le cas de l'accélération d'électrons, la cible dans laquelle se propage le laser est un gaz. L'utilisation d'un gaz léger est préférable (typiquement l'hélium) car ainsi le champ électrique lié au laser ionise totalement les atomes du gaz. La partie intense du laser se propage dans un milieu homogène composé d'électrons libres et d'ions, ayant un charge globalement neutre. C'est ce que l'on nomme le plasma.
Il faut bien comprendre que le laser n'accélère pas directement les particules dans la direction de propagation de l'impulsion lumineuse. En effet, les électrons sont soumis principalement au champ électrique du laser. Dans le cas des ondes électro-magnétiques, le champ électrique est perpendiculaire à la trajectoire de l'impulsion laser et oscille à la fréquence laser. Ainsi, le champ électrique du laser ne contribue pas directement à l'accélération d'électrons à de hautes énergies.
Par contre, le passage de l'impulsion laser perturbe la densité électronique. Cette force liée au laser s'appelle la force pondéromotrice. Elle correspond à la partie basse fréquence de la variation d'intensité laser. On la nomme aussi pression de radiation du laser. À la suite de ces déplacements, le cortège d'électrons se réorganise sous l'effet des répulsions coulombiennes. Ceci provoque des oscillations dans la densité électronique. Le laser permet ainsi de générer une onde plasma qui se propage dans la direction du laser à une vitesse égale à la vitesse de groupe du laser dans le milieu. Cette onde plasma correspond essentiellement à des champs électriques longitudinaux. Ces champs sont adaptés à l'accélération d'électrons à de hautes énergies.
En bref, le laser génère une onde plasma dans son sillage dans laquelle l'accélération de particules à de hautes énergies est possible. Une analogie hydrodynamique simple pour comprendre ce mécanisme est la suivante : imaginez un bateau qui se déplace à la surface d'un lac. Ce bateau provoque des vagues dans son sillage. Un surfeur pourrait en profiter pour gagner de la vitesse et voyager à la vitesse de l'onde. En général, l'accélération se fait par piégeage dans la structure d'onde. En effet, il existe des conditions sur la vitesse initiale du surfeur pour que le piégeage ait lieu. S'il ne fait aucun effort pour prendre la vague, elle passe sous lui et s'éloigne. À l'inverse, s'il va trop vite, il dépasse la vague.
En termes scientifiques, on parle de potentiels. Des calculs faisant intervenir la transformation de Lorentz permettent de déterminer les potentiels minima et maxima en fonction de l'intensité du laser. Ces calculs sont effectués en géométrie 1D en supposant le champ laser suffisamment faible pour effectuer des développements limités.
La vitesse de phase de l'onde plasma étant égale à la vitesse de groupe de l'onde laser, ces vitesses sont proches de la vitesse de la lumière dans le vide (plasma sous critique). Des électrons injectés à de grandes vitesses peuvent ainsi être piégés par l'onde et y être accélérés. L'énergie maximale des électrons est d'autant plus grande que la vitesse des ondes plasma est grande, i.e. que la densité électronique est faible. À titre d'exemple, pour un plasma à la densité de 1019/ cm3 et pour une onde plasma d'amplitude relative de 100 %, le champ électrique est de l'ordre de 100 GV/m, ce qui permet d'accélérer à de haute énergies sur de petites distances (millimétriques).
Il faut bien comprendre que le laser n'accélère pas directement les particules dans la direction de propagation de l'impulsion lumineuse. En effet, les électrons sont soumis principalement au champ électrique du laser. Dans le cas des ondes électro-magnétiques, le champ électrique est perpendiculaire à la trajectoire de l'impulsion laser et oscille à la fréquence laser. Ainsi, le champ électrique du laser ne contribue pas directement à l'accélération d'électrons à de hautes énergies.
Par contre, le passage de l'impulsion laser perturbe la densité électronique. Cette force liée au laser s'appelle la force pondéromotrice. Elle correspond à la partie basse fréquence de la variation d'intensité laser. On la nomme aussi pression de radiation du laser. À la suite de ces déplacements, le cortège d'électrons se réorganise sous l'effet des répulsions coulombiennes. Ceci provoque des oscillations dans la densité électronique. Le laser permet ainsi de générer une onde plasma qui se propage dans la direction du laser à une vitesse égale à la vitesse de groupe du laser dans le milieu. Cette onde plasma correspond essentiellement à des champs électriques longitudinaux. Ces champs sont adaptés à l'accélération d'électrons à de hautes énergies.
En bref, le laser génère une onde plasma dans son sillage dans laquelle l'accélération de particules à de hautes énergies est possible. Une analogie hydrodynamique simple pour comprendre ce mécanisme est la suivante : imaginez un bateau qui se déplace à la surface d'un lac. Ce bateau provoque des vagues dans son sillage. Un surfeur pourrait en profiter pour gagner de la vitesse et voyager à la vitesse de l'onde. En général, l'accélération se fait par piégeage dans la structure d'onde. En effet, il existe des conditions sur la vitesse initiale du surfeur pour que le piégeage ait lieu. S'il ne fait aucun effort pour prendre la vague, elle passe sous lui et s'éloigne. À l'inverse, s'il va trop vite, il dépasse la vague.
En termes scientifiques, on parle de potentiels. Des calculs faisant intervenir la transformation de Lorentz permettent de déterminer les potentiels minima et maxima en fonction de l'intensité du laser. Ces calculs sont effectués en géométrie 1D en supposant le champ laser suffisamment faible pour effectuer des développements limités.
La vitesse de phase de l'onde plasma étant égale à la vitesse de groupe de l'onde laser, ces vitesses sont proches de la vitesse de la lumière dans le vide (plasma sous critique). Des électrons injectés à de grandes vitesses peuvent ainsi être piégés par l'onde et y être accélérés. L'énergie maximale des électrons est d'autant plus grande que la vitesse des ondes plasma est grande, i.e. que la densité électronique est faible. À titre d'exemple, pour un plasma à la densité de 1019/ cm3 et pour une onde plasma d'amplitude relative de 100 %, le champ électrique est de l'ordre de 100 GV/m, ce qui permet d'accélérer à de haute énergies sur de petites distances (millimétriques).
( source : Wikipédia )
Accélération laser-plasma
L'accélération laser-plasma est un thème de recherche visant à développer des sources de particules ayant des propriétés inédites. Actuellement, l'accélération de particules est très développée sur des accélérateurs de particules conventionnels.
Il existe aussi d'autres méthodes pour accélérer des particules. Cet article présente notamment les mécanismes d'accélération de particules en utilisant l'interaction d'un laser avec la matière. En focalisant un laser de puissance sur une cible, il est possible de créer des faisceaux de particules aux propriétés particulièrement originales (brièveté, énergie, émittance, charge). Lors de cette interaction du faisceau laser avec la matière, des champs électriques extrêmes sont produits. Atteignant des valeurs crêtes de l'ordre du TV/m, soit plus de 10 000 fois plus intenses que les champs électriques produits dans les structures RF (radiofréquence) des accélérateurs, les particules initialement au repos, quittent la cible en subissant une accélération fulgurante, de l'ordre de 1022 g (g=accélération de la pesanteur terrestre). Ces nouvelles sources ouvrent la voie à de nombreuses applications : médicale, nucléaire, chimie et biologie.
Les expériences d'interaction laser-plasma permettent d'accélérer deux types de particules : les électrons et les protons.
Les expériences d'interaction laser-plasma permettent d'accélérer deux types de particules : les électrons et les protons.
( source : Wikipédia )
jeudi 7 janvier 2016
Refroidissement d'atomes par laser
Le refroidissement d'atomes par laser est une technique qui permet de refroidir un gaz atomique, jusqu'à des températures de l'ordre du mK (refroidissement Doppler), voire de l'ordre du microkelvin (refroidissement Sisyphe) ou encore du nanokelvin.
Les gaz ultra-froids ainsi obtenus forment une assemblée d'atomes cohérents, permettant d'accomplir de nombreuses expériences qui n'étaient jusque-là que des expériences de pensée, comme des interférences d'ondes de matière.
Les gaz ultra-froids ainsi obtenus forment une assemblée d'atomes cohérents, permettant d'accomplir de nombreuses expériences qui n'étaient jusque-là que des expériences de pensée, comme des interférences d'ondes de matière.
( source : Wikipédia )
mercredi 6 janvier 2016
Optique atomique
L'optique atomique (atom optics en anglais), est le domaine de la physique qui traite des faisceaux d'atomes neutres, refroidis et très peu agités, comme un cas spécial d'étude parmi les faisceaux de particules.
Comme pour les faisceaux optiques, les faisceaux d'atomes peuvent diffracter et interférer. Ils peuvent aussi être manipulés à l'aide de lentilles de Fresnel ou de miroirs atomiques concaves. On peut aussi réaliser des séparateurs de faisceaux. L'idée importante étant qu'en optique « traditionnelle », c'est la matière qui permet la manipulation de la lumière, ici c'est la lumière qui permet la manipulation des atomes.
Ce domaine peut être principalement découpé en trois parties :
. l'optique atomique cohérente ;
. l'optique atomique quantique ;
Optique atomique cohérente
Elle se fonde sur l'analogie avec l'optique cohérente, qui utilise une source cohérente (laser). Il s'agit ici d'utiliser une source cohérente atomique, en d'autre terme il faut disposer d'atomes ayant tous entre eux une même phase bien définie, une telle source est un condensant de Bose-Einstein.
Parmi les réalisations on trouve les lasers à atomes, l'interférométrie atomique ...
Optique atomique quantique
Elle est basée sur l'optique quantique qui étudie (entre autres) les propriétés de photons uniques (dégroupement, intrication, ..). Cette branche se propose d'étudier des phénomènes analogues avec des atomes uniques. Elle permet entre autres d'étudier les différences de comportement entre fermions et bosons.
Optique atomique intégrée
Cette branche utilise une puce microlithographiée (dite puce atomique ou puce à atomes) afin de piéger et de condenser des atomes avec un système réduit.
Comme pour les faisceaux optiques, les faisceaux d'atomes peuvent diffracter et interférer. Ils peuvent aussi être manipulés à l'aide de lentilles de Fresnel ou de miroirs atomiques concaves. On peut aussi réaliser des séparateurs de faisceaux. L'idée importante étant qu'en optique « traditionnelle », c'est la matière qui permet la manipulation de la lumière, ici c'est la lumière qui permet la manipulation des atomes.
Ce domaine peut être principalement découpé en trois parties :
. l'optique atomique cohérente ;
. l'optique atomique quantique ;
. l'optique atomique intégrée.
Parmi les réalisations on trouve les lasers à atomes, l'interférométrie atomique ...
( source : Wikipédia )
Femtochimie
https://youtu.be/mFKmmR5Hh5s
La femtochimie est la science qui s'intéresse aux réactions chimiques sur des aux réactions chimiques sur des échelles de temps extrêmement courtes, de l'ordre de 10-15 secondes (c'est-à-dire une femtoseconde, d'où le nom de cette science).
En 1999, Ahmed H. Zewail a reçu le prix Nobel de chimie pour ses travaux précurseurs dans le domaine.
La méthode d'étude de Zewail utilise des impulsions de lumière laser de quelques femtosecondes de durée — une femtoseconde est égale à un millionième de milliardième de seconde (0,000000000000001 seconde ou 10-15 seconde) —, on la nomme aussi la méthode « pompe-sonde ».
Elle repose sur le principe suivant : une première impulsion de courte durée est envoyée sur les molécules pour amorcer une réaction chimique ; elle donne le temps zéro de l'expérience. Une seconde impulsion en retard sur la première d'une durée déterminée est envoyée sur le milieu où se déroule la réaction.
Cette deuxième impulsion permet d'enregistrer les spectres d'absorption des espèces chimiques transitoires durant la période de formation ou de rupture des liaisons.
Un des objectifs de cette science est de considérer les courts instants durant lesquels une réaction chimique se déroule
( source : Wikipédia )
La femtochimie est la science qui s'intéresse aux réactions chimiques sur des aux réactions chimiques sur des échelles de temps extrêmement courtes, de l'ordre de 10-15 secondes (c'est-à-dire une femtoseconde, d'où le nom de cette science).
En 1999, Ahmed H. Zewail a reçu le prix Nobel de chimie pour ses travaux précurseurs dans le domaine.
La méthode d'étude de Zewail utilise des impulsions de lumière laser de quelques femtosecondes de durée — une femtoseconde est égale à un millionième de milliardième de seconde (0,000000000000001 seconde ou 10-15 seconde) —, on la nomme aussi la méthode « pompe-sonde ».
Elle repose sur le principe suivant : une première impulsion de courte durée est envoyée sur les molécules pour amorcer une réaction chimique ; elle donne le temps zéro de l'expérience. Une seconde impulsion en retard sur la première d'une durée déterminée est envoyée sur le milieu où se déroule la réaction.
Cette deuxième impulsion permet d'enregistrer les spectres d'absorption des espèces chimiques transitoires durant la période de formation ou de rupture des liaisons.
Un des objectifs de cette science est de considérer les courts instants durant lesquels une réaction chimique se déroule
( source : Wikipédia )
mardi 5 janvier 2016
Énergie d'ionisation
Le potentiel d'ionisation ou énergie d'ionisation d'un atome ou d'une molécule est l'énergie qu'il faut fournir à un atome neutre pour arracher un électron (le moins lié) à l'état gazeux et former un ion positif.
Dans l'air " gaz " , le laser femtoseconde génère des impulsions ultra-courtes et une densité de puissance élevée, une ionisation s'amorce et démarre une conduction plasma ( cela diminue ou augmente le nombre d'électrons, créant des particules chargées appelées ions positifs " cations " ou négatifs " anions" accompagné par la dissociation des liaisons moléculaires).
"La présence d'un nombre important de porteurs de charge rend le plasma électriquement conducteur de sorte qu'il réagit fortement aux champ électromagnétiques , sous l'influence d'un champ magnétique, il peut former des structures telles que des filaments"
Formation d'un plasma
Dans les conditions usuelles, un milieu gazeux ne conduit pas l’électricité. Lorsque ce milieu est soumis à un champ électrique faible, un gaz pur est considéré comme un isolant électrique parfait, car il ne contient aucune particule chargée libre (électrons ou ions positifs). Mais des électrons libres et des ions positifs peuvent apparaître si on soumet le gaz à un champ électrique de forte tension (30 kilovolts/centimètre1(pour l'air)) ou à des températures assez élevées, si on le bombarde de particules ou s’il est soumis à un champ électromagnétique très intense.
Lorsque l’ionisation est assez importante pour que le nombre d’électrons par unité de volume soit comparable à celui des molécules neutres, le gaz devient alors un fluide très conducteur qu’on appelle plasma.
Lorsque l’ionisation est assez importante pour que le nombre d’électrons par unité de volume soit comparable à celui des molécules neutres, le gaz devient alors un fluide très conducteur qu’on appelle plasma.
( source : Wikipédia )
Énergie thermique
![]() |
Mouvement thermique d'un segment de molécule d'une protéine. |
L'énergie thermique est l'énergie cinétique d'agitation microscopique d'un objet, qui est due à une agitation désordonnée de ses molécules et de ses atomes. L'énergie thermique est une partie de l'énergie interne d'un corps. Les transferts d'énergie thermique entre corps sont appelés transferts thermiques et jouent un rôle essentiel en thermodynamique. Ils atteignent un équilibre lorsque latempérature des corps en contact est égale. L'énergie thermique est l'énergie que possède une substance en raison de l'agitation de ses particules (atomes ou molécules).
L'étude précise du rayonnement du corps noir, et des lois déterminant la nature de la lumière émise a conduit à des paradoxes lorsqu'elle était faite avec les équations de la mécanique newtonienne. C'est en cherchant à résoudre ce paradoxe que Max Planck introduit l'idée que la lumière n'était pas émise de manière continue, mais par paquets. Cette hypothèse se révéla fructueuse et est un des fondements de la mécanique quantique.
Les termes chaleur et température sont souvent confondus. À tort, on s'exclame qu'il fait chaud lorsque la température est élevée, mais il s'agit de deux concepts bien distincts. Toutefois, ils sont tous deux reliés à l'énergie thermique. En effet, l'énergie thermique dépend, entre autres, de la température qu'il fait, alors que la chaleur représente un transfert d'énergie thermique entre deux milieux.
Pour une quantité de matière donnée, sans changement d'état et isolée thermiquement avec son milieu extérieur:
Pour une quantité de matière donnée, sans changement d'état et isolée thermiquement avec son milieu extérieur:
. si on apporte de la chaleur à cette matière, sa température augmente;
. si on enlève de la chaleur à cette matière, sa température diminue.
( source : Wikipédia )
vendredi 1 janvier 2016
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