17 avril 2017

Speckle d'un faisceau laser



Les petits losanges que vous voyez sur le verre de mes lunettes sont de minuscules speckles issues d'interférences optiques provenant d'un laser à impulsions brèves et ultra-intenses type laser femtoseconde ou lidar . Ce qui est encore plus grave c'est que j'en capture aussi à l'intérieur de mon domicile . Ces speckles caractérisent une information de type pixel ou voxel .
À l'œil nu on voit seulement que de très petites particules comme de la poussière, mais avec un zoom on voit clairement la forme en losange de l'interférence optique .


Speckles d'interférences optiques capturées ,  avec un caméscope en position zoom , sur l'éclairage de lampadaires .  


Speckles sur le verre de mes lunettes , capture avec mon caméscope en position zoom à l'intérieur de mon domicile .

Les conséquences sont extrêmement graves ,  avec ce système , l'opérateur peut faire de la télémanipulation sur des cibles humaines ( piqûres , petits trous dans la peau comme sur la photo ci-dessous , excitation de la membrane cellulaire et des neuromédiateurs (appelée également neurotransmetteur), etc. ) ...

Cette contrainte provoque un comportement étrange , l'influx nerveux ne peut se propager naturellement , normalement . En effet , le champ électrique intense ( laser-plasma ) provoque l'excitation forcée de la membrane cellulaire et des organites à l'intérieur de la cellule , lesquels déclenchent des neurotransmetteurs (les neurotransmetteurs sont des composés chimiques libérés par les neurones) , par exemple l'acétylcholine , la sérotonine , la dopamine ...

Lorsque l'intensité du champ électrique en un point à la surface de la peau est ultra-intense , ça déclenche des potentiels post-synaptiques , les muscles se contractent .

                                                      ( source : lfp-tpe-2016.wixsite )













                                                           ( source : db-gersite )

L'opérateur utilise la violence pour infliger de fortes souffrances à sa victime . Cela à des fins
d'expérimentations cognitives et biologiques .

Des sons binauraux ou isochrones sont également utilisés par l'opérateur .

Copernicus est le nom d'un « programme européen de surveillance de la Terre ».

Or , Copernicus connaît vraisemblablement ce système , pourquoi laisse t'il faire ?

Dans le cas contraire , comment se fait-il qu'il ne s'en soit jamais aperçu ?

Où alors , ce programme est-il impliqué ?

Déposer plainte contre Copernicus me semble possible , je vais me renseigner.


05 avril 2017

Copernicus (programme)

Copernicus est le nom d'un « programme européen de surveillance de la Terre ». Ce programme était auparavant nommé Global Monitoring for Environment and Security ou GMES dans les versions anglaises (on conserve parfois dans la version française le sigle GMES, utilisé par tous les acteurs européens).

Il s'agit d'une initiative conjointe de l'Agence spatiale européenne (ESA) et, au travers de l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), de l'Union européenne, qui vise à doter l'Europe d'une capacité opérationnelle et autonome d'observation de la Terre en tant que « services d’intérêt général européen, à accès libre, plein et entier ».

La France s'y associe notamment via le « plan d’applications satellitaires » du ministère du développement durable, décidé en 2011.

Objectifs

Ce programme vise à rationaliser l'utilisation de données relatives à l'environnement et à la sécurité issues de sources multiples, afin de disposer d'informations et de services fiables chaque fois que cela est nécessaire. En d'autres termes, Copernicus permettra de rassembler l'ensemble des données obtenues à partir de satellites environnementaux et d'instruments de mesure sur site, afin de produire une vue globale et complète de l'état de notre planète.

Les décideurs politiques font partie des principaux utilisateurs du programme Copernicus, qui leur permet de préparer les législations nationales, européennes et internationales relatives à l'environnement (y compris celles sur le changement climatique et le droit international de la mer) et de vérifier la bonne application de ces législations.

Copernicus s'appuie sur quatre « piliers » :

   1. une composante spatiale (constituée de satellites d'observation du sol, des océans et de                        l'atmosphère),
   2. une composante in-situ (constituée d'instruments de mesure au sol ou aériens mesurant des                  paramètres relatifs à l'état des océans, du sol et de l'atmosphère),
   3. une composante normalisation et harmonisation des données,
   4. une composante de services à l'utilisateur.

L'information offerte par le programme Copernicus sera regroupés autour de six thèmes : le sol, les océans, le traitement de l'urgence, l'atmosphère, la sécurité et le changement climatique. Les services relatifs au sol, aux océans et au traitement de l'urgence et ceux relatifs à l'atmosphère et à la sécurité (aussi appelés « services pilotes ») ont été officiellement lancés à l'occasion du Forum Copernicus à Lille en septembre 2008. Ces services, actuellement en phase pré-opérationnelle, devaient entrent en phase opérationnelle en 2011 et être pleinement opérationnels en 2014.

Copernicus est donc en marche vers son fonctionnement opérationnel. La définition et la mise en place d'une gestion et d'une structure de financement européennes sont des éléments clés de la réussite du programme.

Historique

Chronologie

. 19 mai 1998 : les institutions participant au développement des activités spatiales européennes donnent naissance au GMES par la déclaration connue sous le nom de « Baveno Manifesto ». À l'époque, GMES signifie « Global Monitoring for Environmental Security » (surveillance mondiale de la sécurité environnementale).

. 1999 : GMES change de signification et devient « Global Monitoring for Environment and Security » (surveillance mondiale de l'environnement et de la sécurité), illustrant ainsi que la surveillance de l'environnement a également des implications en termes de sécurité.

. 15-16 juin 2001 : à l'occasion du sommet de Göteborg, les chefs d'États et de gouvernements demandent que la Communauté contribue à l'établissement d'une capacité européenne de surveillance globale pour l'environnement et la sécurité à horizon 2008.

. Octobre 2002 : la nature et le périmètre de la composante « sécurité » du GMES sont définis comme couvrant la prévention et le traitement des crises liées aux risques naturels et technologiques, à l'aide humanitaire et à la coopération internationale, à la surveillance du respect des traités internationaux pour la prévention des conflits, l'aide humanitaire et le secours, les opérations de maintien de la paix et la surveillance des frontières de l'Union européenne.

. Février 2004 : la communication de la Commission « GMES : mise en place d'une capacité GMES d'ici 2008 » introduit un plan d'action visant à établir une capacité GMES en 2008. En 2004, un accord cadre entre la Commission européenne et l'Agence spatiale européenne (ESA) est également signé afin d'établir les fondements de la composante spatiale du GMES.

. Mai 2005 : la communication de la Commission « GMES: du concept à la réalité » établit les priorités pour l'entrée en service des services GMES en 2008, en mettant l'accent sur les services de surveillance du sol, de surveillance des océans et de traitement de l'urgence. Des services ultérieurs appelés « services pilotes » traiteront de la surveillance de l'atmosphère, de la sécurité et du changement climatique.

. Juin 2006 : la Commission européenne crée le Bureau GMES, avec comme mission principale d'assurer la disponibilité à l'horizon 2008 des services jugés prioritaires. Le Bureau a également pour objectif de traiter les questions de gestion du GMES et du financement du système à long terme.

. Mai 2007 : adoption de la Communication sur la politique spatiale européenne, reconnaissant GMES comme une initiative phare de la politique spatiale de l'Union.

. Septembre 2008 : lancement officiel des trois services FTS et des deux services pilotes dans leur version pré-opérationnelle, à l'occasion du Forum GMES de Lille.

. Novembre 2008 : la communication de la Commission « GMES: le souci d'une planète plus sûre » établit la base des futures discussions relatives au financement, à l'infrastructure opérationnelle et à la gestion effective du GMES.

. Mai 2009 : la proposition de la Commission concernant un règlement sur « le programme européen d'observation de la terre (GMES) et sa mise en œuvre initiale (2011-2013) » propose une base légale pour le programme GMES et le financement par la Commission européenne de sa mise en œuvre initiale.

. Novembre 2010 : le règlement sur « le programme européen d'observation de la terre (GMES) et sa mise en œuvre initiale (2011-2013) » entre en vigueur.

( source : Wikipédia )

03 avril 2017

Devenir du faisceau laser lors de son contact avec la peau



Effets du laser sur les tissus

Les impacts produits par le rayonnement laser sur les tissus vivants dépendent de la puissance émise par unité de surface et de la durée d’exposition au rayonnement . Celui-ci est transformé en d’autres formes d’énergie quand il est absorbé par les tissus cibles.

Dans des ordres décroissant d’irradiance (puissance/cm2) et croissant de durée d’exposition, ces effets peuvent être photo spasmolytiques, photo-ablatifs, photothermiques ou photochimiques : une irradiation faible associée à une durée de traitement de plusieurs minutes convertit l’énergie lumineuse en énergie chimique

Effets photo spasmolytiques

Un laser de grande puissance (de l’ordre du kW/cm2 délivré par une fibre optique de quelques microns) émettant des impulsions de l’ordre de la picoseconde génère des champs électriques tels que les effets électromécaniques sont capables de porter un matériau à l’état d’un gaz ionisé et désordonné, appelé plasma.

L’onde de choc associée à la formation et à l’expansion de ce plasma engendre des ondes de pression extrêmement importantes et, par conséquent, une rupture mécanique du matériau.

( source : lepointveterinaire )